Aussi paradoxal que cela puisse paraître, une famille ayant déposé le corps d’un de ses membres décédé, une femme d’une cinquantaine d’années, à la morgue municipale de Brazzaville, ne l’a plus reconnu, deux semaines après. C’était, samedi 3 novembre 2012, jour de l’enterrement. En voulant procéder à la toilette du corps, les parents ont constaté que le corps était en état de putréfaction avancée et présentait un creux au niveau de la cage thoracique, du côté de la région du cœur. Et pourtant, le corps était placé dans un casier de la morgue. La famille a, néanmoins, procédé à l’enterrement, après s’être posé mille et une questions.
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