Quantcast
Channel: Premier portail consacré à l'actualité politique, économique, culturelle et sportive du Congo et de la RDC
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live

Musique : « Pensée positive » bientôt dans les bacs

$
0
0
Musique : « Pensée positive » bientôt dans les bacs
Ce troisième album du président de l'orchestre « Mobile cadence », JB Belonne, dit Andjendjé le grand terrien, est déjà disponible en DVD en attendant sa sortie officielle le 15 juillet

Douze titres contenus dans deux volumes font l'ossature de cet opus. Il s'agit pour le volume 1 de :Générique ; Zimba (en bakwelé), Ramiss ; Le don ;Etsalé (en français) ; Menassa oyé (en bakwelé). Le volume 2 contient : Papa Kinsangi ; Hommage à Jourdan ; Modourouka (en bakwelé) ; Le moi, le ça et le surmoi (en français) ; Mouma (en bakwelé) ; Oyayé.

L'artiste a produit près de 2000 DVD et CD lui-même, ainsi que cinq clips promotionnels déjà disponibles en DVD qui précédent la sortie officielle de l'album (le générique portant le titre de l'opus,Zimba, Ramiss, Le don, Etsalé).

Cet opus est un véritable cours de psychologie. JB Belonne explique à travers la chanson Le moi, le ça et le surmoi, comment les hommes devraient vivre sur cette terre. « Le moi, c'est notre personnalité. J'explique comment l'homme vit en société. Le ça c'est notre subconscient collectif et le surmoi c'est l'environnement dans lequel vit l'individu, et j'explique comment l'homme vit dans son entourage. Je suis dans la pensée positive. C'est d'ailleurs le titre de mon album. Je mentionne de façon positive nos pensées pour une terre paradisiaque. J'invite tous les Congolais, tous les Africains, tous les terriens comme moi, à avoir une pensée positive et à enrayer toute pensée pessimiste », indique le musicien.

Alors que dans la chanson Menassa oyé - un titre en bakwelé qui veut dire Qu'est-ce que je vous ai fait ? - l'artiste parle de l'amour idyllique qui n'a jamais connu de trahison, comme celui de l'homme et du chien. « Si un chien peut aimer une personne sans la trahir, pourquoi cela ne serait-il pas la même chose pour l'homme », s'interroge l'artiste dans sa chanson.

Chanteur deuxième voix, JB Belonne, qui déclare ne pouvoir vivre sans musique, s'intéresse à la rumba, le makossa, le bicouti, le maroungou (un style à la fois bakwelé du Congo, gabonais, camerounais, un style d'Afrique centrale). Il s'inspire beaucoup des styles de Papa Wemba, San Fan Thomas et Patience Ndébani.

Militaire de formation après sa licence en psychologie à l'université Marien-Ngouabi de Brazzaville, JB Belonne est heureux d'avoir choisi sa vocation : « Tout le monde peut devenir militaire, mais tout le monde ne peut pas devenir musicien. Le garant de la culture et des arts c'est le président de la République. Tout ce que je fais est réglementé par le règlement intérieur de l'armée où il est dit : chaque militaire est appelé à s'exprimer sur tous les plans, pourvu qu'il garde son éthique. » Il a pris pour exemples quelques officiers supérieurs qui hélas ne sont plus de ce monde et autres officiers et sous-officiers bien connus du monde musical, à savoir : le général Nzambi Makoumba Nzambi, le colonel Ibela-Ibel (décédés), le lieutenant Oxy-Oxygène, l'adjudant Gianny Olando Mwan'Eboro ou encore le sergent-chef Excellent Mavimba. « Je ne le fais pas en catimini, tous mes chefs savent que je suis artiste musicien », ajoute-t-il.

Rappelons que JB Belonne a autoproduit deux albums auparavant : « Le commencement » et « À ma mère ».

Bruno Okokana

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

PSP : Mafia ou Sécurité

$
0
0
PSP : Mafia ou Sécurité
S'il ya un endroit où un détenu devrait se sentir en sécurité, c'est bien dans un commissariat de police. Hors cela semble être tout à fait le contraire dans les nôtres où les agents font voir de toutes les couleurs aux détenus qui passent plus de temps que prévu en détention provisoire.

Sous équipés nos commissariats maintiennent des détenus dans des conditions inhumaines, avec les agents qui au lieu de veiller à leur sécurité se font les poches sur leur dos. Car la police Congolaise à défaut de nourrir ses propres agents abandonnent les détenus à leur sort et c'est à la famille et connaissances d'apporter toute forme d'aide. Une aide qui est parfois détournée par les agents, qui aussi font du chantage aux détenus. Ainsi les exactions commises sur les détenus sont fréquentes.

On se rappelle encore de cette affaire où 2 filles mineures détenues au commissariat centrale s'étaient fait violées par d'autres détenus et policiers sans que la direction de la police  ne prenne des mesures punitives à leur encontre. Tout semble se résoudre en billet de banque, même les crimes les plus crapuleux.

C'est aussi le cas de Mao, cette personne vivant avec handicap, interpellée pour la simple raison d'exercer la mendicité au centre ville et battu à mort dans un commissariat de la ville. Bref les bavures dans les commissariats sont une habitude et le mal est que la hiérarchie policière ne semble s'y intéresser comme si cela faisait partie intégrante du code policier.
Les transactions financières qui se passent dans les commissariats suite à une arrestation n'honore en rien notre police qui se voit coller l'étiquette de corrompue, car les moyens financiers résolvent les infractions, même les plus flagrantes. Et le manque d'argent équivaut à plusieurs nuits de détention dans des conditions inhumaines dans des cellules de 5 mètres carré où plus de 40 personnes sont entassées sans que cela n'attire le moindre remord.
Etaler les mauvaises conditions de détention dans nos commissariats équivaudrait à écrire tout un livre, et cela parait ne pas trouver une perceptive d'amélioration dans la mesure où les policiers eux même y travaillent dans les mêmes conditions que les détenus.

Daniel Nsion

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Spectaculaire Guinguette de Suresnes et Les Matinées de la Rumba

$
0
0
Spectaculaire Guinguette de Suresnes et Les Matinées de la Rumba
France, (Starducongo.com) - Cet Eté, la ville de Suresnes (92) dans la région parisienne vivra à compter de Samedi 13 Juillet au 1° Septembre 2013, (tous les samedi-dimanche après midi, au Centre Aéré des Landes) sa seconde Guinguette organisée au profit des enfants autistes de Suresnes et dans les cadre des matinées de la rumba.

Au cœur de toutes les animations, seront offertes une proximité avec les acteurs de l’association « Munvuka-Congo », les Editions Bassoka, A.M.C. qui seront en communion avec le public, pour apporter tout leur soutien, aux enfants autistes de Suresnes.

Des danses traditionnelles et modernes, écrin de la Guinguette aux manifestations de plusieurs genres seront produites pour susciter l’enthousiasme des participants.
En effet, pendant tous les week-ends, après midi les participants vibreront sur le thème de l’entraide, et à travers la vente des repas cuisinés sur place, les grillades, et les boissons de tous genres. Les ressources obtenues sont destinées aux soins des enfants autistes de Suresnes.

La Guinguette de Suresnes qui est surtout un espace de convivialité, tient à réunir les habitants de Suresnes et les citoyens du monde dans une ambiance intimiste et un cadre qui à coup sûr, proposera aux participants des nouvelles tendances d’activités socio-culturelles et caritatives qui soient capables d’apporter quelque chose de nouveau et de frais.

Participation des stars de la musique africaine

La Guinguette de Suresnes, qui constituera pour la circonstance, la scène incontournable de la musique africaine donnera rendez-vous aux mélomanes venus de toute la région parisienne, des séances de musique et de danses animées par une palette des stars de la musique populaire africaine, qui déploieront leur talent musical et leur tessiture vocale splendide.
Rappelons que la Guinguette de Suresnes, est organisée sous les auspices du Maire de Suresnes, et supervisée par Célestin Steward Sounda, président de l’Association « Munvunka-Congo. L’idée on le sait, depuis la première édition, est de proposer une programmation qui couvre le maximum d’activités artistiques et autour de la vente de divers produits culinaires, pour contribuer efficacement à ses activités caritatives, et de faire participer ses ambitions au plus grand nombre de gens, pour atteindre le but escompté.
La Guinguette Africaine de Suresnes, un véritable centre d’attraction sur des paysages divers et fructueux, tient à s’imposer véritablement sur la scène de tout public en France.

Contact: Célestin Sounda csounda@ville-suresnes.fr Tel: 0607661643/0141186902 – Cyriaque Bassoka cyriaquebassoka@hotmail.com Tel 0647147249/0680323266

Clément Ossinondé
clementossinonde@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Ecrivaines d’Afrique centrale. « MIJI » (1) d’Emilie-Flore Faignond : De l’autobiographie au romanesque

$
0
0
Ecrivaines d’Afrique centrale. « MIJI » (1) d’Emilie-Flore Faignond : De l’autobiographie au romanesque
Trois femmes et un homme métis d’une même mère, elle-même métisse. Des enfants de pères différents et dont Flore apparaît comme l’élément unificateur de la fratrie. Des enfants qui, avec leur mère, définissent l’étrange destin de Flore, personnage central du récit, s’étant mariée consécutivement à deux Européens; Lucas et Jean-Claude, voilà quelques pistes qui pourraient définir la trame de « Miji ».

Flore, une jeune et belle femme qui, après avoir souffert d’un premier mariage avec un homme qui lui laisse deux enfants à bas âge dans les bras, retrouve le bonheur de vivre quand le destin lui fait rencontrer Jean-Claude, un Belge qui travaille au Zaïre et qui lui donne un garçon quand ils sont encore dans cette grande ville africaine de Kinshasa des années 70. Mais quand le pays subit une secousse socio-économique à travers la politique de Mobutu qui voudrait favoriser l’émergence des cadres nationaux, l’amour de Flore avec Jean-Claude échappe à l’éclatement. Son contrat de travail n’étant plus renouvelé, Jean-Claude décide de rentrer dans son pays natal avec Flore laquelle il s’est marié. Et les trios enfants de Flore doivent voyager avec leurs parents. Commence alors une nouvelle vie conjugale pour Flore qui a tant souffert avec Lucas. En Belgique, aux côtés des parents de Jean-Claude, de son frère et ses sœurs qui sont en France, Flore mène une vie agréable, surtout quand le couple s’installe près de Bruxelles à Soignies. Et c’est en Belgique que va naître le deuxième enfant de Jean-Claude, une petite fille appelée Samantha. Du côté de maman Emma restée au pays, la nostalgie de tous ses enfants vivant à l’étranger, fait que cette dernière décide de rejoindre Flore en Belgique. Elle retournera un temps au pays à l’occasion de la mort de sa sœur. Mais entre temps, le foyer de Flore a subi un coup désagréable: ces deux fils qui ont passé les vacances aux côtés de leur père Lucas, n’ont plus de respect pour leur beau-père qui devient pour la circonstance violent et indifférent envers ces derniers. Une fois de plus, le bonheur conjugal de Flore se transforme en enfer : Jean-Claude est « bousculé » par l’attitude négative de son fils, sa mère lutte contre un cancer et est guérie après un lourd traitement. Flore est « sauvée » du naufrage conjugal par les vacances en famille dans le sud de la France. De retour en Belgique, avec l’harmonie qui est revenu dans le foyer, elle revoit en souvenirs son passé d’enfant en Afrique à travers l’image des parents restés aussi bien à Léopoldville qu’à Brazzaville. Et à la fin du roman, Flore et Solange de se demander à quand de nouveau les retrouvailles des quatre enfants d’Emma. « Miji » pourrait se définir comme l’après-douleur de Flore avec un certain Lucas dans le premier roman de l’auteure intitulé « Afin que tu te souviennes ».

Flore: une femme et deux hommes.

Lucas est le premier homme qui fait découvrir à Flore la sexualité profonde, une sexualité qui se transforme en cauchemar. Aussi quelques années après, quand elle tombe amoureuse de Jean-Claude, les tristes moments vécus avec Lucas lui reviennent à l’esprit: elle ne peut oublier le chagrin et les douleurs que lui avait imposés. Avec ce dernier, se dévoile un machiavélisme teinté de racisme quand il parle de leur petit enfant qui venait de naître: « Un macaque, un enfant de roturier qui va porter mon nom, mon nom à moi un descendant de Bourbon Parme » (p.37). Aussi, Lucas dans sa bestialité, se montre brutal avec Flore à certains moments de leur séparation de corps. Il la bat quand celle-ci se rend chez lui pour chercher l’argent pour soigner l’enfant malade, ce petit garçon qui ne peut supporter l’odieux spectacle: « Lâche ma maman (…) Sale type! Quand je serai grand, je te taperai. Méchant papa! Je ne t’aime plus! » (p.51). Flore, qui a tant souffert pour élever ses enfants auprès de Jean-Claude qui l’a remise sur le chemin du bonheur, retrouve, malgré elle, l’image maléfique de Lucas à travers ses enfants de retour des vacances chez leur père à Kinshasa. Celui-ci, par sa position matérielle et financière, a détruit la conscience des enfants qui s’en prennent à leur mère et à son mari qu’ils méprisent car considéré comme étant à l’origine de la séparation de leurs parents Aussi, se révolte souvent Franck le fils aîné de Flore contre Jean-Claude. Le bonheur conjugal de Flore bascule dans l’incertitude. Malgré toutes ces péripéties, Jean-Claude apparaît dans le roman comme le véritable amour de Flore, son “tisserand de l’espoir”, comme elle ne cesse de le déclarer tout au long du récit. Avec Jean-Claude, c’est le contraire de ce qu’elle avait vécu avec Lucas: « Jean-Claude “Son tisserand de l’espoir!”! Lui qu’elle considérait comme un sauveur. C’était lui qui avait tendu le fil d’Ariane qui l’avait enfin sortie avec ses fils du labyrinthe des larmes où l’avait entraînée Lucas » (p.23). Avec Jean-Claude, c’est le bonheur d’une mère de deux enfants acceptée par un homme décide à reconstruire une nouvelle vie avec elle. Et la couleur de peau de Flore, ainsi que les cicatrices de son premier mariage raté n’empêchent pas Jean-Claude d’aimer Flore: « Tu es une femme de couleur (…). Veux-tu m’épouser, Flore? Je sais que tu as certainement très peur de t’engager une seconde fois par les liens sacrés du mariage » (p.114). Avec Jean-Claude, s’ouvre une nouvelle page du destin de Flore qui apparaît comme une vengeance contre celle qui était écrite avec Lucas. Bonheur du couple avec la naissance du premier enfant de Jean-Claude, troisième garçon de Flore. Bonheur qui se poursuit en Belgique avec la naissance de leur fille Samantha et cela, malgré quelques relents de racisme plus ou moins remarqués du côté de quelques parents de Jean-Claude. Bonheur qui subit quelques secousses du comportement négatif des enfants du premier lit de Flore de retour de leur séjour aux cotés de leur père. Mais les vacances passées en famille en France sauvent ce deuxième mariage de Flore, Son mari ayant repris son « comportement » d’avant.

« Miji », un roman « multidimensionnel »

En dehors du destin de Flore, que l’on peut définir à travers Lucas et Jean-Claude, plusieurs autres « histoires » tournent autour d’elle. Et celles-ci pourraient développer d’autres thématiques pertinentes dans le coulé narratif. La famille, pour l’héroïne, apparaît comme l’élément essentiel de son destin tant au niveau du terroir natal que celui de son pays d’adoption. La famille, chez Flore, est synonyme d’amour. Tous les parents (grands-parents, père, mère frères, sœurs et enfants) occupent une grande place dans son cœur. Des êtres qu’elle présente aux lecteurs dans leur réelle « vie de chair et d’os » dans un spatio-temporel qui rappelle ses origines des deux Congo. Dans ce roman où l’auteure et le narrateur omniscient semblent se superposer ; et le référentiel, au service de la fiction, est tellement accentué que le texte pourrait se lire comme un « témoignage de famille ». Ce que révèle l’universitaire René Malu wa Koni sur la 4è de couverture du roman : « Lorsqu’il aura tourné la dernière page de ce livre, le lecteur saura que l’héroïne Flore avait une mission d’écriture à accomplir pour que jamais ne meurent les siens; tous ces êtres qui ont fait partie de sa vie ». « Miji », c’est aussi le majestueux fleuve Congo qui a bercé l’enfance et l’adolescence de l’héroïne; cet élément aquatique omniprésent dans son subconscient. Cet énorme serpent d’eau qui appartient à ses racines paternelle et maternelle : « Quel long chemin parcouru depuis cette petite enfance bercée par le chant d’un fleuve aux flots tapageurs » (p.344).

Pour conclure

Avec ”Miji”, se confirme la notoriété de l’écriture d’Emilie-Flore Faignond remarquée déjà dans son premier roman « Afin que tu te souviennes » où « certains personnages rappellent quelques réalités des deux Congo, un livre plein de poésie et se présentant comme une transposition fidèle d’une partie de la vie de l’auteure » (2). Et ce constat revient dans “Miji”, une saga familiale qui ne dit pas son nom.

Noël KODIA

1. Emilie-Flore Faignond, Miji, Hibuscus Editeur, Belgique, 2008, 326p.
2. Noël Kodia-Ramata, Dictionnaire des œuvres littéraires congolaises. Ed. Paari, Paris, 2010, p.
60

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

« Cindy le Cœur » sort son premier album

$
0
0
« Cindy le Cœur » sort son premier album
Le premier album de Cindy le Cœur a été présenté jeudi 6 juin à Kinshasa. Cet opus éponyme de la chanteuse du Quartier Latin international de Koffi Olomide compte sept titres. Il est produit par la maison Mpova Music, sous le label « Koffi central ».

Tous les titres de l’album ont été écrits par Koffi Olomide. Cindy le Cœur affirme ne pas être gênée d’interpréter des chansons de son patron.

« Ça ne me dérange pas. Même si je n’étais pas au Quartier Latin, je demanderai à Koffi de m’écrire des chansons. Je suis très fière d’avoir chanté des compositions de Koffi Olomide », explique-t-elle.

Est-ce que tous les musiciens du Quartier Latin auront l’occasion de sortir des albums au sein du groupe ?

« Non, je ne donnerai pas à n’importe qui cette opportunité. Je la donnerai à ceux qui le méritent », répond le patron de Quartier Latin.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Tsonga est passé au travers

$
0
0
Tsonga est passé au travers
Jo-Wilfried Tsonga ne rejoindra pas Yannick Noah au palmarès de Roland-Garros. Il ne rejoindra même pas Henri Leconte, dernier finaliste tricolore en 1988. Le Manceau est totalement passé à côté de son sujet, vendredi, s'inclinant en trois manches contre l'Espagnol David Ferrer (6-1, 7-6(3), 6-2).

Lire la suite sur Europe1

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Mondial 2014: la RDC et la Libye font match nul (0-0)

$
0
0
Mondial 2014: la RDC et la Libye font match nul (0-0)
La République démocratique du Congo (RDC) a réalisé un nul vierge (0-0) face à la Libye, en match de la 4e journée des éliminatoires- zone Afrique du Mondial –Brésil 2014, disputé ce vendredi 7 juin au stade du 11 juin de Tripoli.

Les Libyens auraient pu ouvrir le score à la 14ème minute lorsque l’arbitre botswanais Joshua Bondo a indiqué le point de penalty pour les Chevaliers de la Méditerranée sur une faute de la défense congolaise. Et, Robert Kidiaba a parfaitement détourné le tir du capitaine libyen, Ahmed Osman, en plongeant sur sa droite.

Les Léopards ne se sont entraînés en terre libyenne que le jeudi 6 juin.

A l’issue de cette rencontre, le Cameroun qui jouera le dimanche 9 juin contre le Togo (dernier avec 1 point), garde la tête du groupe I avec 6 points, ex aequo avec la Libye. La RDC est toujours troisième du groupe avec 5 points (+1).

Les Léopards regagnent le pays, ce dimanche, pour préparer la 5e journée de ces éliminatoires face au Cameroun. Elle est prévue le dimanche 16 juin au stade des Martyrs de Kinshasa.

La RDC avait concédé, le 24 mars dernier à Kinshasa, un nul contre la Libye en match de la troisième journée.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Des taxis de la mort à Makélékélé

$
0
0
Des taxis de la mort à Makélékélé
• Ces taxis sont exemptés de tout contrôle tant policier que municipale
• Chacune de ses vielles voitures versent un montant définit aux autorités municipales


Le chemin qu'emprunte le pays nécessite une certaine rigueur pour que les choses aillent dans les normes, car tout compte fait c'est le but recherché par tous. Que nul ne soit au dessus de la loi, et ne se soustrait à la légalité en prétextant une certaine immunité d'actions. Combien de fois nous nous indignons de constater qu'à chaque déplacement le chef de l'Etat organise un blocage routier dans la ville causant in situ d'énormes bouchons avec toutes les conséquences que cela entrainent dans le quotidien des usagers de la route.

Au sortir des guerres que notre pays a connu, les vainqueurs avaient le lourd défi de se partager le gâteau sans léser qui que soit. Ainsi, des guerriers qui n'avaient pour curriculum vitae que la bonne manie des armes étaient bombardés à des postes de responsabilité. Donc ils devaient gérer des hommes et femmes autrement qu'au champ de bataille. Dans cette optique, un guerrier inculte et peu lettré devenait maire du premier arrondissement de la capitale, Makelekele. Installé à la tête de ce
grand arrondissement, Morel Kihounzou fait face à la réalité et ne parvient pas à créer des emplois pour les jeunes dont 98% sont au chômage.


Des échappatoires, ce Maire en trouve toujours, car si le gouvernement de la république n'arrive pas à créer des emplois ce n'est pas lui qui va le faire. Mais face au chômage croissant des jeunes, il faillait bien les calmer pour éviter toute rébellion urbaine, alors les solutions les plus faciles sont donc envisagées dont la plus ingénieuse est celle du transport urbain. Car l'orientation professionnelle des jeunes congolais demeure dans l'informel et le gouvernement qui depuis des années ne promet que du paradis à cette jeunesse vient en soutien au Maire de Makelekele au lieu de mettre en place des politiques d'emplois durables et décents.


Il est donc autorisé aux chômeurs de rentrer dans l'illégalité pour le besoin de la cause, en développant un réseau mafieux de transport en commun dont le maire et la police aussi en tirent profit. Un circuit englobant aussi l'arrondissement numéro deux Bacongo est crée afin d'élargir le périmètre d'action à toutes ses vielles voitures qui vont devoir faciliter la mobilité des populations de ces deux arrondissements. Ainsi, tous ceux qui se lancent dans ce métier sont exemptés de permis de conduire, assurance, carte grise, contrôle technique, en un mot des vrais cercueils roulant, pour dépanner la population.
Pris au piège et n'ayant plus d'autres solutions, les populations qui disons le aussi manquent totalement de civisme s'engouffrent tranquillement dans ces taxis de la mort tant que cela les arrange.

Rappelons qu'en cas d'accident personne ne bénéficiera d'une indemnisation quelconque, et non plus d'une assistance de la mairie de Makelekele. Mais par contre la mairie qui a favorisé ce business perçoit chaque jour une somme que chaque taxi de la mort lui reverse, ainsi que la police qui ferme les yeux. Et ce qui est plus drôle dans tout ça, c'est cette politique par la police de deux poids, deux mesures entre les taxis légaux et ces taxis de la mort. Devant même ceux de la mort qui roulent en toute impunité sans aucun document, le chauffeur sans permis de conduire et un véhicule, plus en état de circuler, les taxis légaux sont arrêtés et sommés d'être impérativement en règle ,au risque d'une confiscation du permis de conduire du chauffeur et documents du vehicule dont le retrait se fait moyennant une certaine somme. Quel paradoxe !

Hamelia Ondongo

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Congo : Décès d'Epako

$
0
0
Congo : Décès d'Epako
Attaquant du CS Don Bosco et capitaine des Diables Rouges juniors, Bel’ange Stevy Epako (18 ans) est décédé lundi à Brazzaville des suites d'une crise de paludisme.

L’attaquant du CS Don Bosco, Bel’ange Stevy Epako, est décédé à l'âge de 18 ans des suites d'une crise de paludisme. Le décès est survenu lundi dans la matinée à Brazzaville où il était en convalescence dans sa famille après plus d’un mois d’hospitalisation à Lubumbashi. Ce joueur longiligne, capitaine des Diables Rouges juniors, était considéré comme l'un des plus grands espoirs du football congolais.

P.J

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

RD Congo : Avec T.Nzuzi, sans Mbokani

$
0
0
RD Congo : Avec T.Nzuzi, sans Mbokani
Le stage de préparation des Léopards de RD Congo pour la réception du Cameroun débute à Kinshasa. 21 joueurs y prennent part, dont Toko Nzuzi, qui a obtenu le feu vert de la FIFA. Dieumerci Mbokani est en revanche absent.

Ce sont 21 Léopards qui vont débuter sous les ordres de Claude Le Roy la préparation pour la réception du Cameroun, dimanche à Kinshasa. Pour ce stage, le technicien français pourra compter sur Toko Nzuzi. Le milieu terrain du Grasshopper Zurich, passé par les sélections suisses de jeunes, a vu la FIFA valider sa lettre de désistement en faveur de la RDC. Absents, les attaquants Yves Diba Ilunga et Diemerci Mbokani sont attendus plus tard dans la semaine.

P.J

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

CONGO-BRAZZA. Ces prénoms de bébés qu'on devrait interdire

$
0
0
CONGO-BRAZZA. Ces prénoms de bébés qu'on devrait interdire
Brazzaville, (Starducongo.com) - Un jour il faut savoir s'arrêter! "C'est joli pour un bébé, c'est original " mais imprononçable parce que complètement tiré par les cheveux. Il faut savoir que chez nous au Congo-Brazza, la mode, ces 25 dernières années consiste pour les futurs parents (pas tous heureusement) à composer les prénoms de leur bébé. Les prénoms du calendrier n'ont plus du tout la côte. Alors il a fallu en inventer.

Alors il y a eu un papa ou une maman qui a eu la bonne idée de composer un prénom d'une façon très simple. Imaginez que le père s'appelle François et la mère Angélique, le bébé, fruit de leur amour s'appelle " Francelique". Un autre exemple papa Valery maman Julia", cela donne un petit bout de chou prénommé " Julvary".

Il y a eu aussi dernièrement des prénoms à "consonance religieuse". J'en cite quelques uns: Mervedi (merveille de Dieu), Plamedi (plat merveilleux de Dieu), Dieumerci, Gloire, etc.
Et j'en passe des prénoms imprononçables et complètement ahurissants mais qui passent comme une lettre à la poste sur les registres de l'état civil depuis la fin des années 80.

Non, parfois il faut penser à ses rejetons. Il va porter ce prénom toute sa vie, alors c'est bien beau de rivaliser d'originalité. Mais il y a des limites. Même la Nouvelle-Zélande vient d'interdire 50 prénoms de filles et de garçons dernièrement.
A mes compatriotes qui cherchent des prénoms originaux, pourquoi ne pas revenir à nos prénoms africains et les remettre à la mode? Si vous êtes à court d'idées, vous en trouverez pas mal sur Google.

Je vous donne déjà deux prénoms de filles que j'aime bien: kimia (paix en lingala et Malaika (ange en swahili).

CAROLE MANDELLO
carolemandello@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

« Mwana Djambala » (Théo Blaise Kounkou). L’Hymne pour les Plateaux et pour la Municipalisation accélérée

$
0
0
Que la fête commence !
« Mwana Djambala » (Théo Blaise Kounkou).  L’Hymne pour les Plateaux et pour la Municipalisation accélérée
Djambala, (Starducongo.com) - La fête le 15 Août 2013 à Djambala est programmée dans le cadre de la Municipalisation accélérée du département des Plateaux. Un évènement attendu des congolais où toutes les familles du département des Plateaux sont les bienvenues.

Dans la ville nouvelle de Djambala, une chanson se fête aussi…

Jamais dans l’histoire de la musique congolaise, une chanson en l’honneur d’une tribu congolaise, avait connu autant de succès au Congo, sur le continent africain et dans le monde : « Mwana Djambala » de Théo Blaise Kounkou dédiée aux « Tékés » et qui avait battu tous les records de vente en Afrique Centrale, et placé en tête des Hits parade de divers médias Afro-Antillais dans les années 80/90. La chanson qui a rang de classique, continue à faire des ravages sur les pistes de danse, chaque fois qu’elle est jouée. Récemment, les Tékés de la diaspora à Paris, ont élevé Théo Blaise Kounkou au rang honorifique du premier « Ngatsié » de la diaspora, au cours d’une manifestation qui a donné naissance à une Association «Mwana Djambala » de France.

« Les Plateaux » berceau du Protectorat français de 1880

La chanson « Mwana Djambala » de Théo Blaise Kounkou résume à elle seule, l’histoire du royaume « téké » du roi Makoko, qui a régné sur les « Tékés » du Gabon, du Congo et de la RDC.

En effet, pour la petite histoire, le premier traité de protectorat fut présenté par De Brazza, à Ndouo, village de Makoko en date du 10 septembre 1880. En bas de ce traité sera apposé en guise de commun accord le signe du Roi et la signature de Savorgnan De Brazza.

Le second traité de protectorat vit le jour le 3 octobre 1880. Ce document préparé et présenté par De Brazza fut ratifié par la Chambre en Métropole le 18 Novembre 1882. Le Roi Iloo Premier spécifia à De Brazza des mesures clémentes prises à son égard avec toute la considération qu’il mérite en tant que représentant du gouvernement français. Ce document comporte la signature et l’enseigne de Vaisseau du chef de mission de l’Ogooué et du Ko-ngo intérieur ; Pierre Savorgnan De Brazza et celui du Roi Iloo Premier souverain du peuple « Téké ».

« Muana Djambala » l’hymne pour les Plateaux et pour la Municipalisation accélérée.

Ce petit rappel historique marque l’ampleur tout autant que l’originalité d’une telle chanson qui ne peuvent surprendre. La culture est devenue pour nous un instrument essentiel de notre développement et de notre unité, et c’est ce dont nous souhaiterons qu’au cours des festivités de la Municipalisation accélérée à Djambala, que la chanson mythique des « Tékés » soit retenue comme l’hymne pour la Municipalisation accélérée et voir son auteur invité à Djambala pour l’exécution solennelle de cet hymne en compagnie des meilleurs musiciens fils des Plateaux et du Congo.

Ici, nous invitons au travers ces quelques lignes, le Comité d’Organisation de la Municipalisation accélérée des Plateaux de saisir cette belle occasion d’associer Théo Blaise Kounkou à la grande fête de Djambala. Ce qui revient pratiquement à lier culture et festivités, culture et histoire, culture et développement.

Clément Ossinondé
clementossinonde@starducongo.com


www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Football : Jean-Michel Mbono appelle au soutien des Diables rouges

$
0
0
Football : Jean-Michel Mbono appelle au soutien des Diables rouges
Le président de la Fédération congolaise de football (Fécofoot) a demandé à l'ensemble du peuple congolais de communier avec l'équipe nationale afin que celle-ci réussisse le pari de la qualification pour le Mondial 2014 au Brésil

Jean-Michel Mbono s'associe à la vision du ministre des Sports et de l'Éducation physique. Il avait initié un élan de solidarité pour pousser les Diables rouges à la qualification pour la phase finale de la Coupe du monde 2014 au Brésil. « Le peuple devrait s'approprier l'invite du ministre des Sports en se constituant en 12e homme sur le terrain, samedi 15 juin au stade Municipal, contre les Étalons du Burkina-Faso », a commenté le président de la Fécofoot. Et ce dernier d'exhorter le ministre, qui n'a cessé d'accompagner les Diables rouges dans toutes leurs sorties, d'en faire davantage, sans perdre de vue les pouvoirs publics, en tête desquels le chef de l'État ne ménage aucun effort pour redorer le blason terni du football congolais et donner une meilleure visibilité mondiale du pays à travers le sport.

« La position de notre équipe nationale devrait, pour l'ensemble du peuple congolais comme pour la famille du football congolais, susciter davantage d'admiration, d'encouragement, de reconnaissance. Le peuple congolais est d'ailleurs invité à vivre en communion cette aventure avec son équipe nationale, comme l'a rappelé le ministre des Sports », a poursuivi Jean-Michel Mbono.

Le président de la Fécofoot s'est dit très satisfait du parcours du Onze national lors de la première phase éliminatoire de la Coupe du monde 2014. Les Diables rouges ont, d'après lui, respecté la consigne selon laquelle « porter le maillot national est un honneur, le mouiller est un devoir ». Ils mènent en effet le peloton avec dix points, suivis des Étalons du Burkina-Faso, six points, des Panthères du Gabon, quatre points, et du Mena du Niger, trois points. Le Congo, pour être qualifié au dernier tour, devrait tout simplement éviter la défaite contre le Burkina-Faso à Pointe-Noire. « Le match nul à cette occasion suffira pour ouvrir les portes de la deuxième étape du parcours sans se préoccuper des résultats de la dernière journée contre le Niger en septembre », a expliqué Jean-Michel Mbono.

Rappelons que dans la deuxième étape des éliminatoires, cinq rencontres en aller et retour opposeront les dix équipes sorties du lot de la première étape, dans le but de sélectionner les cinq qualifiés pour le Brésil 2014.

James Golden Éloué

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Onces de pensées pour Noces de Diamant

$
0
0
Onces de pensées pour Noces de Diamant
Les 60 ans de la littérature congolaise d’expression française (1953-2013) sont une manne, une cure de jouvence, une renaissance de la pensée littéraire, une panacée, un don congolais, une rédemption de la patrie congolaise, que dis-je, de sa fratrie culturelle, de sa société… Ils représentent une émergence de l’être congolais ; un renouvellement du savoir-être du Congo, fait de son savoir-faire culturel et livresque, rehaussé par son savoir-dire, son dire sans dire et son sans-dire avec dire. C’est un nouveau départ culturel, socle du mieux-vivre-ensemble tant prié

60ans

Les 60 ans de la littérature congolaise d’expression française sont à prendre pas à laisser. Elles sont à prendre avec joie, sans effroi ni égarement, requinqué pas éhonté… par tous !

Après Lyon (du 8 au 9 juin), Paris (le 14 juin à Galerie Congo Sony Labou Tansi est à l’honneur), à qui le tour ?... A Tours ? A Nice? A Marseille ? A Orléans ? à Reims ?... A Montréal peut-être ? Au Congo de chambouler le PLM (de Paris-Lyon-Marseille) par la virtuosité de ses artistes disséminés aux quatre vents de la France et de Navarre, urbi et orbi… avec ses Noces de Diamant, jusqu’au 31 décembre 2013, dotés de résolutions de diamant pour 2014. Car, nous nous devons de bâtir des ponts culturels Nord-Sud sur le troisième millénaire, pour faire traverser la jeunesse sans danger, en la tenant à la main au besoin… grâce au livre, mieux, à la pensée amplifiée.

60 ans

60 ans d’expressions littéraires ! Cela se célèbre, quoi ! Cela se fête, partout, pour tous ! Avec tous ! Dans l’union, dans l’unité, comme un seul homme, à l’image du chœur congolais, qui amplifie l’idéal national congolais, avec un hymne à la joie nommé la Congolaise, socle de l’Unité-Travail-Progrès vert-jaune-rouge. Oui, le rêve congolais existe ! Et, c’est cela le rêve congolais : le progressisme, qui ne commence que par les passeurs de rêves, que sont les écrivains, les hommes d’idées, les artistes, les virtuoses de la pensée, qui, du reste, sont toujours progressistes dans leur essence profonde.

60 ans

Exprimer le Congo, c'est exprimer sa littérature ; exprimer le Congo, c'est exprimer son exception culturelle... Car, sans les Molière, Corneille... Voltaire, Rousseau, Diderot, Hugo ou Zola, on ne sait, par exemple, ce qu'aurait été la place de la France aujourd'hui dans le concert du monde ; on ne sait si Paris aurait toujours valu une messe. Donc, voici le temps de faire tous pour un, un pour tous : mousquetons ensemble pour l’embellie congolaise, lettres à la main, pour venir à bout de l’inculture mère de l’intolérance, non sans lettre de poigne.

Et si nous n’exprimons pas le Congo, dans la philosophie du Ngo, qui le fera pour nous? Tant que les panthères n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse se termineront toujours à la gloire des chasseurs.

Ravisons-nous, en prêtant main forte à l’association congolaise AGORA (agorale@yahoo.fr), qui organisera le clou des cérémonies des 60 ans de la littérature congolaise nommé Festivités 60, pour célébrer la culture congolaise partout dans le Congo et dans sa Diaspora d’octobre à décembre 2013, avec des concours littéraires, des lectures sur les places publiques d’Impfondo à Pointe-Noire, de nombreuses tables rondes sur l’héritage culturel congolais et les perspectives culturelles au Congo, un colloque sur la place du livre au Congo… Cette association volontariste a besoin de mécènes, de sponsors… d’un appui logistique et financier de toutes parts, pour réussir cet évènement qu’elle prépare pour tous depuis décembre 2012 en ayant associé tous les écrivains congolais.

Aimé EYENGUE
Promoteur des 60 ans de la littérature congolaise

agorale@yahoo.fr

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Mondial francophone de Taekwondo: les Léopards en route pour Vietnam

$
0
0
Mondial francophone de Taekwondo: les Léopards en route pour Vietnam
Les Léopards taekwondo (Messieurs et Dames) participent, du 15 au 17 juin, à la 9e édition des Championnats du Monde de leur discipline, à Hô-Chi-Minh-Ville (Vietnam). Des sources concordantes affirment qu’une délégation congolaise de 15 personnes (12 athlètes et 3 membres du staff technique) a quitté Kinshasa ce mardi 11 juin.

Les Léopards locaux seront rejoints au Vietnam par Mike Kalikat et Wembo Loke, deux compétiteurs évoluant en France, ainsi que par Mustapha Aku, entraîneur de l’aile Europe de la sélection congolaise.

Pour Edgard Mayembe, entraîneur national des Léopards Messieurs, l’objectif final pour la RDC est de faire mieux qu’à la 8e édition de la Coupe du monde francophone, organisée à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Aux 8e championnats du Monde Francophone tenus en Côte d’ Ivoire en 2012, la RDC avait terminé à la 6e place avec 6 médailles dont 2 en argent et 4 en bronze. Mlle Keleku Rosa (45 kgs) et Kamuania Gradi (68 kgs) ont remporté les médailles d’argent, tandis que MM. Lumu Fiston (moins de 80 kgs), Kikima Fanfan (plus de 80 kgs), Botalatala Cédric (moins de 68 kgs) et Mlle Bolili Parker (moins de 49 kgs) celles de bronze.

Des athlètes congolais retenus pour Vietnam
Léopards Dames
Bolili Parker -46Kg
Kelelu Rosa -49Kg
Mahonza Brynda -57Kg
Grady Kamuanya -62Kg
Léopards Messieurs
Mika Kalikat -54Kg
Mansua Pronce -58Kg
Botalatala Cédric -63Kg
Abedi Sagesse -68Kg
Giresse Kakesa -74Kg
Lumu Fiston -80Kg
Fanfan Kikimo -87Kg
Carolus Badiashile -68Kg

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Foot-Transfert: Dieumerci Mbokani a signé pour 3 saisons à Dynamo Kiev

$
0
0
Foot-Transfert: Dieumerci Mbokani a signé pour 3 saisons à Dynamo Kiev
L’international congolais Dieumerci Mbokani a signé pour trois ans avec le club ukrainien de Dynamo Kiev, a affirmé, mercredi 12 juin, le journal belge Le Soir. Selon ce tabloïd, les arguments financiers avancés par le club ukrainien ont finalement persuadé le Congolais de signer ce contrat.
Les mêmes sources affirment que Dynamo Kiev et Anderlecht ont déjà trouvé un accord.
La première offre de 7 millions d’euros ayant été rejetée par Anderlecht, Dynamo a accepté de déposer 12 millions d’euros sur le bureau du manager anderlechtois, Herman Van Holsbeeck.
Ce dernier a jugé cette somme suffisante pour laisser partir Dieumerci Mbokani.
L’Ukraine n’était pas, au départ, la destination dont rêvait le jouer congolais, qui se voyait plutôt en Italie ou en Angleterre.
Mais les clubs intéressés dans La Botte ou Outre-Manche n’ont remplis les conditions de transfert proposées par les dirigeants anderlechtois.
Après avoir trouvé un compromis avec la direction du Dynamo Kiev, Mbokani a pris la route de Kinshasa où il va jouer, dimanche 16 juin, le match contre le Cameroun au stade des Martyrs.
Ce match entre dans le cadre des éliminatoires-zone Afrique du Mondial 2014.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Côte d’Ivoire : l’international Drogba s’essaie dans le secteur minier

$
0
0
Côte d’Ivoire : l’international Drogba s’essaie dans le secteur minier
L’international ivoirien Didier Drogba, évoluant dans le football turc, tente la carte du secteur minier.

L’attaquant de Galatasaray a acquis 5 % d’une mine d’or dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, selon le ministre ivoirien des communications Bruno Koné rapporté par Africa Top Sports.

L’Ouest de la Côte d’Ivoire est une des régions aurifères de ce pays, avec la fameuse mine d’or d’Ity et sur laquelle plusieurs permis de recherche sont octroyés. L’Etat ivoirien a récemment cédé une partie de ses actions dans cette mine d’Ity à des privés, permettant à la compagnie canadienne La Mancha de porter ses actions de 45,9% à 55%

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Aïkido : quatre ans de temps additionnel pour Henri Djombo

$
0
0
Aïkido : quatre ans de temps additionnel pour Henri Djombo
Le président réélu de la Fédération congolaise d'aïkido (Fédéca) veut œuvrer pour plus de visibilité de la discipline
Henri Djombo a promis de projeter l'aïkido congolais dans une nouvelle ère. L'immobilisme qui a caractérisé la discipline, a-t-il indiqué, devrait désormais appartenir au passé. Le nouveau bureau de la Fédéca travaillera d'arrache-pied pour installer les ligues sur tout le territoire national puisqu'à ce jour, il n'en existe que deux : celles de Brazzaville et de Pointe-Noire. La construction des infrastructures pour la pratique de cet art martial est également prévue outre les stages et les formations sur divers aspects techniques.

Durant ce mandat, la Fédéca travaillera de concert avec le ministère des Sports et de l'éducation physique ainsi que le Comité national olympique congolais même si l'aïkido n'est pas un sport olympique. Cet art martial, en effet, n'admet pas de compétition.
Pour parvenir à la réalisation des objectifs fixés, le président de la Fédéca sera assisté par un bureau de douze membres, dont Bernard Pandi est le premier vice-président. Ce dernier est respectivement secondé par Duc Michel Nguebana et Carine Oyoma. Marcel Moutou assume les fonctions de secrétaire général avec, pour adjoint, Sylver Loemba. La trésorerie est confiée à Jean-Baptiste Sengomona et Antoine Mahoungou. Didier Makola, Patricia Bandoki et Arnaud Pélé sont membres. Le commissariat aux comptes sera pris en charge par Jean de Dieu Bosseko et Aimé Loussakou. Marius Ossey Diagne, première ceinture noire congolaise d'aïkido, se chargera de la direction technique nationale.

L'aïkido, rappelons-le, est un art martial créé entre 1925 et 1960 par le japonais Morihei Ueshiba. Cette discipline se compose de techniques de défense avec armes (blanches) et à mains nues. L'objectif n'est pas de vaincre l'adversaire, mais de réduire à néant sa tentative d'agression. C'est ce facteur qui explique l'absence de compétition dans cette discipline. Hors du Japon, l'aïkido se pratique dans plusieurs pays du monde, dont le Congo. La France compte le plus de pratiquants avec près de 60 000 licenciés.

Rominique Nerplat Makaya

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Musique : Roger Lutin Mayala décède en plein concert

$
0
0
Musique : Roger Lutin Mayala décède en plein concert
Un mois et demi après la disparition de Jady Abouka, l'orchestre Les Makandas vient à nouveau d'être cruellement frappé. Roger Lutin Mayala est mort brutalement le 9 juin, victime d'un accident cardiovasculaire (AVC) en plein concert à Mpaka, dans le 6e arrondissement de Pointe-Noire, Ngoyo
L'orchestre Les Makandas se produisait à son espace fétiche, le bar Sami Cointreau, le temple rouge. Après quelques chants, au moment où il entonnait Mabélé de Lutumba Simaro, Roger Lutin a été pris d'un malaise qui l'a empêché de continuer, avant de s'écrouler en coulisse. Amené à l'hôpital, il rendait l'âme quelques heures plus tard.

Cette mort brutale de Roger Lutin a attristé non seulement ses amis musiciens, mais aussi ses nombreux fans. Il s'était signalé dans les années 1990 dans les orchestres Véritable Mandolina et Loussaka Foula avec des chansons qui sont restées gravées dans les mémoires comme Mille rivaux, Wabakuludia et des albums comme Mambu ya bilele, Lunama, etc.
Au faîte du succès, Roger Lutin a chanté en featuring avec le regretté Debaba El Shabab. Il a été aussi le premier musicien congolais à chanter avec Papa Wemba dans l'orchestre Viva la Musica.

Au début des années 2000, il vient s'installer à Pointe-Noire et dirige quelques ensembles avec les musiciens de la place. Séduit par l'idée de Me Patrick Makanda de créer un ensemble musical professionnel à Pointe-Noire, il intègre les rangs de l'orchestre Les Makandas et joue aux côtés de Sambadio, Rolita, Jean Valise et Déchaux et le regretté Jady Abouka.

Tous les week-ends, l'orchestre se produisait au Bar dancing Sami Cointreau à Mpaka où Roger Lutin Mayala enchantait les musiciens de sa voix aiguë et de ses crescendo inimitables.

Arrivé à Pointe-Noire à l'annonce de la tragique nouvelle, Bernard Bouka, président de l'Union des musiciens congolais, a demandé aux musiciens présents dans la ville océane, aux fans et aux autorités de la ville de s'impliquer dans l'organisation de l'ultime adieu pour que Roger Lutin soit inhumé dans la dignité, mardi 18 juin à Pointe-Noire.

Hervé Brice Mampouya


www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

L’artiste musicien Mbuta Likasu annonce la sortie de l’album «Carnaval»

$
0
0
L’artiste musicien Mbuta Likasu annonce la sortie de l’album «Carnaval»
L’artiste comédien et musicien congolais Ngimbi dit Mbuta Likasu compte lancer en décembre prochain sur le marché du disque son nouvel tube intitulé «Carnaval».Le patron de l’orchestre Staff International revient d’une longue tournée en Afrique de l’Est qui l’a conduit au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie où il a livré plusieurs concerts.
Mbuta Likasu compte dans son actif deux opus: «Attention obus» et «Sauve qui peut» qui s’étaient bien comportés sur le marché congolais du disque.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live