«École du caméléon» est l’album que l’artiste-musicien Brice Mizingou s’apprête à mettre sur le marché du disque. Le deuxième de sa carrière.

On le croyait déjà à la retraite artistique. Pourtant, on va, de nouveau, écouter Brice Mizingou. Cette fois-ci, ce n’est pas pour conscientiser les populations sur les dangers du Sida. Comme cela avait été le cas, il y a dix ans, à travers le titre «Malari me ka ha» (la maladie est là, en lari). Ce sera, plutôt, pour faire écouter au public les onze titres de «École du caméléon»
L’album pourrait être disponible en décembre prochain, en CD audio et vidéo, et en cassettes.
C’est une invite à la patience et la persévérance, car à l’image du caméléon, l’homme est tenu de marcher et mener lentement, mais sûrement, ces entreprises, afin d’atteindre ses objectifs. «Un adage dit ‘‘quelle que soit la durée de la nuit, le jour apparaîtra toujours’’. Bien que marchant lentement, le caméléon arrive toujours à destination. Ce n’est pas en se précipitant qu’on peut réaliser nos rêves», explique Brice Mizingou.
Chanté en lingala, français, kituba, lari et bembé, le produit à venir de Brice Mizingou est un mélange harmonieux de plusieurs styles, dont le «wala» lari, le «mututa» bembé et le «kingoli» mbochi.
Brice Mizingou qui vient d’achever une tournée au Tchad et au Cameroun, envisage ainsi, avec beaucoup d’optimisme, son avenir artistique. «École de caméléon sera, pour moi, un tremplin, afin de me tourner vers de nouveaux horizons. Le moment est venu, pour moi, de décoller», déclare-t-il. Mais, il dit être toujours à la recherche d’un sponsor. «Je suis à la disposition de tous et m’attends à plus d’invitation pour contribuer au rayonnement de la musique congolaise à l’étranger. J’y parviendrai, comme ma muse, le doyen Jacques Loubelo», ajoute-t-il.
John NDINGA-NGOMA et Alain Prince EALE
L’album pourrait être disponible en décembre prochain, en CD audio et vidéo, et en cassettes.
C’est une invite à la patience et la persévérance, car à l’image du caméléon, l’homme est tenu de marcher et mener lentement, mais sûrement, ces entreprises, afin d’atteindre ses objectifs. «Un adage dit ‘‘quelle que soit la durée de la nuit, le jour apparaîtra toujours’’. Bien que marchant lentement, le caméléon arrive toujours à destination. Ce n’est pas en se précipitant qu’on peut réaliser nos rêves», explique Brice Mizingou.
Chanté en lingala, français, kituba, lari et bembé, le produit à venir de Brice Mizingou est un mélange harmonieux de plusieurs styles, dont le «wala» lari, le «mututa» bembé et le «kingoli» mbochi.
Brice Mizingou qui vient d’achever une tournée au Tchad et au Cameroun, envisage ainsi, avec beaucoup d’optimisme, son avenir artistique. «École de caméléon sera, pour moi, un tremplin, afin de me tourner vers de nouveaux horizons. Le moment est venu, pour moi, de décoller», déclare-t-il. Mais, il dit être toujours à la recherche d’un sponsor. «Je suis à la disposition de tous et m’attends à plus d’invitation pour contribuer au rayonnement de la musique congolaise à l’étranger. J’y parviendrai, comme ma muse, le doyen Jacques Loubelo», ajoute-t-il.
John NDINGA-NGOMA et Alain Prince EALE
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