Collectionneuse d'œuvres d'art, Julie Tshiongo Theys, experte en la matière depuis bien des années, a fait le déplacement de Kinshasa à Brazzaville il y a quelques jours. Elle a effectué une visite au musée-galerie du Bassin du Congo
Animée d'une passion dans la tâche qu'elle s'est assignée depuis plus d'une décennie, Julie Tshiongo Theys estime que le plus important est de partager avec les autres l'héritage artistique traduisant la dimension culturelle qu'on reconnaît au Congo.
Julie Tshiongo Theys s'est dite satisfaite du travail de collecte d'œuvres au musée-galerie du Bassin du Congo, qui souhaite accueillir dans son espace les œuvres d'art de la sous-région du Bassin du Congo. Elle-même ne ménage pas ses efforts depuis dix ans pour mettre en valeur l'art congolais dans toute sa diversité.
« Ce que je viens de voir au musée-galerie du Bassin du Congo représente un grand pas en avant. Tout est bien aménagé et bien expliqué pour mieux renseigner ceux qui veulent en savoir davantage sur la richesse des objets présentés. C'est une initiative très encourageante, j'en suis heureuse, et on ne peut que souhaiter voir naître de pareils sites ici et là », a indiqué Julie Tshiongo.
Que peut-on attendre de l'apport de Julie Tshiongo Theys ? « Une franche collaboration, a-t-elle répondu. Nous sommes deux pays frères, nous sommes liés et nous devons voir comment organiser une exposition d'œuvres d'art dans nos deux pays à l'avenir. Ce n'est qu'un premier contact, il y en aura bien d'autres. »
Julie Tshiongo Theys est convaincue que la culture, vecteur patrimonial d'un pays, n'a pas besoin d'être imposée pour être reconnue. Comme toute autre communauté, les Congolais ont intérêt à s'approprier leur culture avant de vouloir que celle-ci soit aimée d'autrui.
Jean-Dany Ébouélé
Animée d'une passion dans la tâche qu'elle s'est assignée depuis plus d'une décennie, Julie Tshiongo Theys estime que le plus important est de partager avec les autres l'héritage artistique traduisant la dimension culturelle qu'on reconnaît au Congo.
Julie Tshiongo Theys s'est dite satisfaite du travail de collecte d'œuvres au musée-galerie du Bassin du Congo, qui souhaite accueillir dans son espace les œuvres d'art de la sous-région du Bassin du Congo. Elle-même ne ménage pas ses efforts depuis dix ans pour mettre en valeur l'art congolais dans toute sa diversité.
« Ce que je viens de voir au musée-galerie du Bassin du Congo représente un grand pas en avant. Tout est bien aménagé et bien expliqué pour mieux renseigner ceux qui veulent en savoir davantage sur la richesse des objets présentés. C'est une initiative très encourageante, j'en suis heureuse, et on ne peut que souhaiter voir naître de pareils sites ici et là », a indiqué Julie Tshiongo.
Que peut-on attendre de l'apport de Julie Tshiongo Theys ? « Une franche collaboration, a-t-elle répondu. Nous sommes deux pays frères, nous sommes liés et nous devons voir comment organiser une exposition d'œuvres d'art dans nos deux pays à l'avenir. Ce n'est qu'un premier contact, il y en aura bien d'autres. »
Julie Tshiongo Theys est convaincue que la culture, vecteur patrimonial d'un pays, n'a pas besoin d'être imposée pour être reconnue. Comme toute autre communauté, les Congolais ont intérêt à s'approprier leur culture avant de vouloir que celle-ci soit aimée d'autrui.
Jean-Dany Ébouélé
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