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Fête de la musique 2013 à l'Institut français de Brazzaville

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Fête de la musique 2013 à l'Institut français de Brazzaville
Brazzaville, (Starducongo.com) - La fête de la musique n'est plus à présenter. Comme les années précédentes,l 'IFC (ex-ccf) se met en quatre pour célébrer le 21 juin la Fête de la musique. De 17 h à 24 h, les portes seront ouvertes au public.

« Rendez-vous prisé des pros comme des amateurs » l'IFC n'a pas choisi au hasard les musiciens et groupes de la place qui auront le privilège de participer à cet événement. C'est une belle brochette d'artistes connus et inconnus qui se produiront dans la salle Savorgnan, à l’esplanade, en passant par le hall et la cafétéria. Il y aura de tout, afro-jazz, rumba, tradi-moderne, coupé-décalé, world music, hip hop, reggae, funk, et slam ! Le public de la capitale Brazzaville n'aura que l'embarras du choix.
Crée en 1982, à l’initiative de Jack Lang alors Ministre de la culture, cette fête, française au
départ, s’est depuis exportée à l’étranger au point de devenir planétaire.

CAROLE MANDELLO
carolemandello@starducongo.com

Liste des artistes sélectionnés

ESPLANADE
SCENE 1 (RAP)

Masta Obscur
Black Authentic
Boxi Malak
Mike J
BR-13 Muzik
Weldoh Larafale
YA VE
Sopha
Batiment Bleu
Héroïne
Durhiel
Noble Art
La Retine
Zone 15 Music
Fâl Nkûa Nduenga
Maxi Tenace
Matrix Lyrical
La Plume et le Micro
Key Kolos

S. DE BRAZZA
SCENE 2

Les Fils de l’Aigle (Reggae)
La Jeunesse d’abord (typique)
Liz (world music)
Cheriff Bakala (Rap en live)
Muningu (world music)
Rogadel (tradi moderne)
L’adorer (tradi soul)
Mavula Jazz (jazz)
La Famba (reggae world)
Nteko (world music)

CAFETE
SCENE 3

MKD Sat (world music)
Grand Bassam (tradi moderne)
Doppy Man (rap en live)
Chikadora (percu show)
FTS (afro beat)
LBL (R’n B)
Jolivette (chanson enfants)
Crimi Angels (Pop R’nB)
DJ Smith (coupé décalé)
Biya Lunkoyi (tradi moderne)

HALL
SCENE 4

I-Dance (danse Hip hop)
Tam tam sans frontières (ngoma féminin)
Prince Jackson (danse/show)

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PUBLIREPORTAGE. Un dimanche paradisiaque à la Résidence ELONDA

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PUBLIREPORTAGE. Un dimanche paradisiaque à la Résidence ELONDA
Brazzaville, (Starducongo.com) - Il n' y a pas de mal à se faire du bien. Dimanche dernier,17 juin, nous avons pris le temps de vivre. Nous avons quitté le sud de la ville à 10 h et direction le nord de Brazzaville. Rond point Kulunda, Ouenzé, Talangai, Ngamakosso puis nous voici sur la route de Kintélé. A mi parcours, la résidence Elonda nous accueille. Derrière un grand portail métallique de couleur ocre. Derrière les murs, nous avons découvert un petit coin de paradis.

Tout le monde sait que Brazzaville au mois de juillet et août c'est le calme plat. On dirait une ville morte. Je vous propose d'aller faire un tour à la Résidence Elonda. On ne paye pas à l'entrée mais si vous voulez consommer un conseil ne venez pas les poches vides. Si vous n'êtes pas nombreux vous pouvez prévoir un pique nique, des sandwichs, des bouteilles d'eau ou de jus pour les enfants. Mais la visite elle est gratuite, alors si vous voulez profiter un peu de la nature, d'un cadre agréable et reposant pour une après-midi en famille, ne vous posez pas trop de questions. Un week-end, habillez vous relax, tee shirt, tongs, sandalettes, chapeau de soleil et en voiture ou en bus vous y arrivez par une route impeccable, parfaitement bitumée, sans nids de poules (à Brazzaville, c'est rare).

Pour vos séjours et vos sorties à Brazzaville, voici un lieu touristique de qualité. Hôtel, resto, night club bar, salles de gym et de remise en forme, Parcs de loisirs, terrains de sport, cyber café, piscines. Elonda, vous allez aimer !

CAROLE MANDELLO
carolemandello@starducongo.com


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Papa Noël & Viviane A - Le duo Rumbaccordéon en concert cette semaine à Paris!

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Papa Noël & Viviane A - Le duo Rumbaccordéon en concert cette semaine à Paris!
France, (Starducongo.com) - PAPA NOEL (Antoine Nedule Montswet), guitariste, arrangeur et compositeur, est un des plus grands noms de la musique africaine et afro-cubaine, une légende de la rumba congolaise ! Il a d’abord marqué les esprits avec les mythiques : Bukasa, l’OK Jazz de Franco, les Bantous de la Capitales, l’African Jazz… Puis dans les années 2000, sa rencontre avec Cuba où il enregistre l’album « Bana Congo » et « Café Noir », où se retrouvent les racines communes de la rumba congolaise et cubaine. Il est également l’un des fondateurs du groupe Kekele qui réunit les vétérans de la rumba congolaise installés en France.

VIVIANE A (Viviane Arnoux) est une des accordéonistes françaises à avoir ouvert la voix de son instrument vers les musiques d’ailleurs. Son éclectisme l’a conduite sur les plus grandes scènes internationales, aux côtés d’artistes du monde entier : Hugues Aufray, Ray Lema, I Muvrini, Manau, Abed Azrié, Zao, Les Orientales, Céline Caussimon… Elle développe également ses propres projets musicaux avec son groupe MAM depuis 20 ans, et elle travaille actuellement avec la Fondation Alliance Française autour d’un programme sur l’histoire de l’accordéon dans le monde.

LA RENCONTRE

« Nous nous sommes rencontrés, voilà 15 ans, au cour de tournées internationales du chanteur angolais Sam Mangwana. Des émotions vécues sur les grandes scènes new-yorkaises, montréalaises, californiennes, brésiliennes, londoniennes, danoises, suisses…Nous nous sommes retrouvés à Paris en 2007 dans le groupe Kekele. Dans les coulisses, alors que nous chauffons nos instruments, la naissance de notre duo s’est imposée à nous, pour créer une musique acoustique qui groove et qui chante la douceur, entre nous, à l'ancienne, sans fard, juste avec notre cœur. »

Quelques mois plus tard, Papa Noel est arrivé avec plusieurs morceaux, tous plus beaux, plus chauds, plus universels les uns que les autres. Certains transpirent le blues, d'autres évoquent la jungle, tous s’inspirent de la rumba originelle. Viviane, de son côté, a imaginé un univers racontant la rencontre entre une blanche et un noir, des histoires de vie racontées en langue « plurielle ».

Info/contact : contact@terresdemusiqueprod.com

Clément Ossinondé
clementossinonde@starducongo.com


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Le prix «Inspiration 2013 » décerné à la Congolaise Bibiche Marie Louise Mumbu

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Le prix «Inspiration 2013 » décerné à la Congolaise Bibiche Marie Louise Mumbu
Ecrivaine congolaise, Bibiche-Marie Louise Mumbu a remporté, samedi 1er juin à Montréal, le prix “Inspiration 2013″. Ce trophée est attribué par le magazine Organisation des professionnels congolais du Canada (OPCC).
Cette structure a pour mission de développer un réseau crédible et solide de leaders professionnels, étudiants et entrepreneurs congolais afin d’accroître leur influence, leur épanouissement et leur intégration socioprofessionnelle au Canada.
Membre du Centre des auteurs dramatiques au Canada (CADC), elle séjourne, depuis quelques jours, à Kinshasa dans le cadre de la plate-forme «Moziki littéraire».
Cette organisation réunit trois écrivains congolais: Fiston Mwanza, Papy-Maurice Mbwiti et Bibiche-Marie Louise Mumbu, qui relatent la vie quotidienne des Congolais, à travers leurs publications.
Auteure du roman «Samantha à Kinshasa», Bibiche-Marie Louise Mumbu a également participé au festival Connexion Kin, organisé du 7 au 16 juin à Kinshasa.

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TP Ok Jazz New Look : les choses se précisent chez Un, Deux, Trois

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TP Ok Jazz New Look : les choses se précisent chez Un, Deux, Trois
Placé sous la direction artistique d’un crack de la guitare nommé Dawa, l’orchestre cher à l’impresario Manzenza Nsala Munsala se place déjà sur un bon chemin.

A l’inspiration d’Emongo Lwambo, fils aîné du feu Grand Maître Franco Lwambo Makiadi, l’orchestre TP Ok Jazz vient de renaître sur ses cendres à l’entière satisfaction des mélomanes et, principalement, de nombreux fans de la famille « Bana Odemba Bénéficiant d’un équipement de musique ainsi que d’un espace de qualité pour ses productions scéniques à Mama Kulutu, un, deux, trois, dans la commune de Kasa Vubu, un groupe d’artistes- musiciens aguerris vient de se mettre au travail pour redonner au TP OK Jazz, cette formation musicale qui avait emballé le public pendant plus de trois décennies, ses valeurs d’antan, respectant ainsi la mémoire du pionnier de la musique contemporaine que fut Franco De Mi Amor et dont les oeuvres continueront à jamais de pérenniser son image de marque à travers les générations.

Placé sous la direction artistique d’un crack de la guitare nommé Dawa, un ancien des groupes Bim Sum », « Afro de Mimi Ley », Africa Nova « de Dino Vangu, Mbonda Africa » de Bokelo Isenge qui a fait aussi on crochet chez Saak Saakul avant de faire son entrée dans « Sarakawa » de Lemba puis dans « Bana Ok », l’orchestre cher à l’impresario Manzenza Nsala Munsala se place déjà sur un bon chemin.

Les répétitions se tiennent chaque mercredi et jeudi, de 12 heures à 17 heures à l’espace sus- indiqué tandis que c’est chaque dimanche que de nombreux fans se déplacent dans ce sanctuaire de la commune de Kasa Vubu revivre les anciens temps du TP Ok Jazz.

Dans la foulée faisons remarquer que le directeur artistique Dawa se prépare à lancer sous les labels « Mama Nyota et » Garde fou deux tubes qui vont faire boucan.

Kin gunza Kikim Afri/L’Avenir

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Mort de James Gandolfini, l'acteur star de la série "Les Soprano"

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Mort de James Gandolfini, l'acteur star de la série
L'acteur américain James Gandolfini, qui a connu une célébrité mondiale grâce à son incarnation d'un mafioso dépressif dans la série télévisée à succès "Les Soprano", est décédé mercredi en Italie à l'âge de 51 ans.

"Nous avons l'immense douleur d'annoncer que notre client, James Gandolfini, est décédé aujourd'hui alors qu'il était en vacances à Rome, en Italie", déclarent dans un communiqué ses agents Mark Armstrong et Nancy Sanders.

L'acteur, qui a succombé à une crise cardiaque était attendu le week-end prochain au festival de Taormina, en Sicile, pour y participer à une table ronde avec le réalisateur italien Gabriele Muccino.

Né le 18 septembre 1961 dans une famille italo-américaine du New Jersey (est des Etats-Unis), James Gandolfini a fait ses débuts sur les planches à Broadway en 1992, dans une production d'"Un tramway nommé désir", avec Jessica Lange et Alex Baldwin.
Mais l'acteur, revendiquant l'héritage de Robert De Niro et joueur amateur de trompette et de saxophone, se tourne vite vers le cinéma.
En 1993, il se fait notamment remarquer dans le rôle d'un tueur à gages sanguinaire dans "True Romance" de Tony Scott, avant d'enchaîner les films, parmi lesquels "She's so lovely" (1997) ou "8mm" (1999).
Mais le vrai tournant de sa carrière survient en 1999, lorsqu'il est choisi pour interpréter le rôle principal de la série "Les Soprano" pour la chaîne payante américaine HBO (1999-2007).
Son rôle de Tony Soprano, mafioso dépressif et fatigué de sa vie criminelle, impose sa silhouette massive sur les petits écrans du monde entier, et lui vaut de multiples récompenses.

Au long des six saisons des "Soprano", considérée comme l'une des meilleures série de l'histoire de la télévision, il remportera notamment un Golden Globe et trois Emmy Awards, les "Oscars" de la télévision américaine.

Son succès télévisé ne l'empêche pas de poursuivre sa carrière au cinéma. On le voit ainsi dans "Le Mexicain" (2001), "The Barber: l'homme qui n'était pas là" (2001), "In the loop" (2009), le film indépendant "Welcome to the Rileys" et plus récemment "Zero Dark Thirty" (2012).
Sa dernière apparition à l'écran remonte à quelques mois à peine, dans la comédie de magiciens "The Incredible Burt Wonderstone".
James Gandolfini avait également une activité de producteur télévisé. Sous cette casquette, on lui doit notamment le téléfilm "Hemingway & Gellhorn" pour HBO, avec Clive Owen et Nicole Kidman.

Les hommages étaient nombreux mercredi soir, dont celui de l'actrice Susan Sarandon, qui a écrit sur son compte Twitter: "C'est très triste de perdre James Gandolfini. L'un des plus charmants, amusants et généreux acteurs avec qui j'ai pu travailler. Toutes mes prières vont à sa famille".
L'acteur de comédie Jonah Hill a assuré pour sa part "avoir le coeur brisé par la nouvelle de la mort de James Gandolfini. C'est l'un de mes acteurs préférés depuis toujours. C'est une perte tragique".
Steve Carrell, avec qui James Gandolfini partageait l'affiche de "The Incredible Burt Wonderstone", a déploré pour sa part "une nouvelle incroyablement triste".

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Les lunettes Google Glass rejettent les applications pornographiques


Les lunettes Google Glass devront disposer d'un écosystème applicatif très familial. La firme de Mountain View a établi de nouvelles règles ce week-end qui interdisent le développement de certaines applications. Si certains interdits ne perturberont personne, d'autres en revanche sont beaucoup plus discutables.


En vigueur depuis le 1er juin, les nouvelles consignes destinées aux développeurs souhaitant créer des applications pour les lunettes Google Glass ne se contentent pas d'interdire la reconnaissance faciale. Elles rejettent également les contenus pornographiques. La société MiKanDi, qui s'était vantée d'avoir sorti la première application pour les lunettes Google Glass, en a fait les frais.

Le logiciel, baptisé "Tits and Glass" (seins et lunettes), n'est plus autorisé. "Nous avons appris que Google a changé sa politique au cours du week-end pour bannir notre application pornographique destinée aux lunettes Google Glass", a réagi l'entreprise. "Le site web reste fonctionnel, mais nous sommes en train de procéder à des modifications au niveau de l'application afin de respecter la nouvelle politique de Google".

En réalité, Google ne se limite pas aux seuls contenus pornographiques. La violence, le harcèlement, les discours de haine, l'usurpation d'identité, les mauvais comportements, la diffusion d'informations personnelles ou confidentielles, la violation de la propriété intellectuelle, les activités illicites, les jeux d'argent, la promotion de produits dangereux sont désormais ciblés par des règles spécifiques.

Si l'arrivée de certaines règles ne posera aucun problème, certaines restrictions édictées récemment peuvent en revanche être discutées. Est-ce à Google de dire à l'usager ce qu'il a le droit de voir ou non ? Car tout n'est pas illicite dans la liste évoquée ci-dessus. Les contenus pornographiques et les jeux d'argent sont par exemple autorisés dans certaines conditions.

Indirectement, c'est la question de l'aseptisation du net qui se pose. D'aucuns font en effet remarquer que les géants du net, comme Facebook et Apple, se sont illustrés à plusieurs reprises par le passé en déployant de grands efforts pour retirer de leur espace le moindre contenu s'écartant de leurs règles, parfois très strictes. Google est visiblement sur une trajectoire similaire.

Julien L.

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Le Roy quitte la sélection du Congo

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Le Roy quitte la sélection du Congo
Le sélectionneur français Claude Le Roy, dont le contrat avec la RD Congo arrivait à expiration, a mis fin jeudi à son engagement, sans préciser les raisons de son retrait.

Claude Le Roy, 65 ans, entraînait depuis septembre 2011 la RD Congo et, après trois éditions de la CAN sans être parvenue à se qualifier, la sélection, sous sa houlette, avait été éliminée du tournoi continental en janvier 2013 sans pourtant avoir perdu aucun de ses trois matches.

"J'ai prévenu les joueurs que j'arrêtais après deux ans de présence, a expliqué le technicien globe-trotter de 65 ans. Avec le groupe, la fédération, nous avons passé de formidables moments. Je n'ai pas pris de décision sur le prochain continent où j'allais travailler", a-t-il ajouté.

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Médias : décès du journaliste sportif Robert Steph Malonga

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Médias : décès du journaliste sportif Robert Steph Malonga
Ce journaliste sportif aguerri s'est éteint le samedi 15 juin à Brazzaville, après avoir longtemps œuvré pour le rayonnement du sport africain au niveau des instances internationales

Né le 17 décembre 1947 à Brazzaville, Robert Steph Malonga a grandi à Poto-Poto, où il fait ses études primaires à la grande école et ses études secondaires au lycée Chaminade. Il a démarré le journalisme comme pigiste avant d'être engagé à 21 ans au service sportif de l'hebdomadaire congolais La semaine africaine. Il y acquiert une expérience qui va ensuite le conduire vers la radio nationale.

Alors journaliste à La semaine Africaine, Robert Steph Malonga est correspondant de France football, du journal de Kinshasa, Massano, et de l'agence Reuters. De 1974 à 1978, il est en formation à l'école de journalisme de Paris d'où il sort diplômé. Il rentre à Brazzaville et continue à travailler à la radio, et au quotidien national Mweti. À partir de 1981, il occupe de nombreuses fonctions à la voix de la révolution congolaise. En 1984, il est le fondateur et premier directeur du quotidien sportifLe stade.

En 1987, il quitte le journal pour rejoindre le cabinet du ministre des Sports, Jean-Claude Ganga. Il est à ses côtés au ministère et à l'Association des comités nationaux olympiques d'Afrique (Acnoa). Robert Steph Malonga a été président de l'association des journalistes sportifs congolais ; pendant dix ans président de l'union des journalistes sportifs africains (UJSA) ; pendant quatre ans, vice-président de l'gence internationale de la presse sportive et secrétaire général du comité national olympique et sportif congolais.

Sur le continent, il a longtemps été membre de la commission presse de la Confédération africaine de football (CAF) et du Comité international olympique (CIO). À partir de 1998, il est en poste à Conakry (Guinée) comme responsable de la communication, suivi et évaluation de l'ONG américaine « Ifes » (Fondation internationale pour les systèmes électoraux). Revenu à Brazzaville le 4 février 2013, il est décédé le 15 juin 2013, dès suite d'une maladie.

Désirée Hermione Ngoma

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Championnat national de football Élite 1 : les Diables noirs prennent la tête du classement

Les Diablotins sont provisoirement premiers avec 33 points en attendant le match en retard de la 14e journée, opposant le 23 juin à Owando, la formation de Cuvette FC à l'AC Léopards de Dolisie

Les Diables noirs veulent décidément se maintenir au toit du championnat national. En match de la 15e journée qui les opposait le 19 juin au stade Alphonse-Massamba-Débat à Bilombé, les Jaune-et-Noir ont cloué leur adversaire 2-0. Obassi ouvrait la marque à la 29e minute. Cinq minutes plus tard, Hardy Binguila doublait la mise pour sceller définitivement la victoire des diablotins puisqu'à la deuxième période, les attaquants ne se sont plus illustrés. Même si à la 73e minute, Ankira aurait pu alourdir le score s'il n'avait manqué le cadre des buts qui lui était largement ouvert. Cette victoire a permis à Diables noirs de disposer de 33 points devant AC Léopards qui est resté à 30 points après sa défaite face à l'AS Cheminots 1-2.

AS Cheminots impose une deuxième défaite à l'AC Léopards

Les protégés d'Alexis Ndinga, très séduisants au stade Municipal de Pointe-Noire, ont réalisé cet exploit grâce à un doublé de Yakoubou. L'équipe ponténegrine a dominé presque toute la première période en créant d'énormes occasions de but dans la surface de réparation des Fauves trahis par sa défense. Grâce à un tir croisé de Tchibinda à la 35e minute, Yakoubou, aidé par le poteau, a inscrit le premier but. Un à zéro est le score à la mi-temps. De retour des citrons, les locaux ont gardé le même rythme en multipliant des opportunités de buts. À la 67e, le même Yakoubou revient à la charge et fait tressaillir le public en signant son doublé après un travail bien fait par ses coéquipiers.

L'entrée de Nzila à la 68e a permis aux Fauves de sauver l'honneur à la 76e. L'AS Cheminots, qui compte désormais 30 points, devient ainsi le deuxième club à s'imposer devant les Léopards après les Diables noirs.

Les Fauves du Niari devraient attendre leur match remis de la 14e qui les opposera le 23 juin à Owando, à Cuvette FC, pour reprendre de l'altitude. Car en cas de victoire, ils dépasseront les Diables noirs par rapport au goal à virage.

Dans l'autre rencontre, Patronage Sainte-Anne et Nico-Nicoyé faisaient jeu égal 1-1. Ngoyi ouvrait la marque avant la pause pour Nico-Nicoyé avant que Sylver Ngavoula ne remette les deux équipes à égalité à la 78e. Alors que le 18 juin, à l'ouverture de cette 15e journée, Jeunesse Sportive de Talangaï (JST) prenait le dessus sur FC Kondzo 2-1. Pourtant FC Kondzo avait ouvert la marque à la 46e grâce à Mimy. JST mettait la pression sur son adversaire au point d'obtenir un pénalty transformé à la 52eminute par Mokili. Six minutes après, Tsiba donnait l'avantage à JST.

Interclub en perte de vitesse

Le match qui opposait Inter Club à Saint-Michel de Ouénzé, a vu les militaires de l'Inter s'incliner 3-2. Puisque dès la 4e minute, Saint-Michel de Ouénzé (SMO) ouvrait le score grâce à Sylva Kotoli. Mokombo inscrivait le deuxième but juste avant la pause. Dès l'entame de la deuxième période, Sirge Kala-Kaya réduisait la marque, puis Niva Ekoma égalisait à la 79e, suite à une boulette du portier de SMO. À la 90e, Kely Ibara marquait le but de la victoire de SMO. La rencontre opposant au stade Municipal, US Saint Pierre à Étoile du Congo, s'est soldée sur un score de parité de 0-0. Us Saint Pierre reste dernier avec 4 points alors qu'Étoile du Congo en compte désormais 18 points.

Rominique Nerplat Makaya et Charlem Léa Legnoki

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L’hôtel Panorama sommé de déguerpir

Le propriétaire de l’hôtel Panorama, basé dans la zone du Camp 15 août, est appelé à déloger son établissement hôtelier, a indiqué le 21 juin à Brazzaville, le ministre des affaires foncières et du domaine public, Pierre Mabiala.

Selon M. Mabiala, ce déguerpissement obéit aux articles 62 et 63 de la loi 9 portant code pénal du domaine de l’Etat qui dispose : «…quand vous n’êtes pas propriétaire du terrain et que vous venez bâtir sur le terrain qui ne vous appartient pas, ce que vous avez bâti appartient au propriétaire du terrain …».

Certains indiquent que ce terrain appartenant au ministère de la défense était géré par la direction centrale des logements et bâtiments administratifs (DCLBA) qui l’aurait mis en location ou vendu chez les particuliers. Un préavis avait été donné au propriétaire de l’hôtel de libérer les lieux au plus tard le 26 mai dernier.

Pierre Mabiala a précisé que la mise en contrat de bail des immeubles de l’Etat n’était pas une compétence dévolue au service de la DCLBA, mais des ministères des finances et des affaires foncières.

«On ne discute pas lorsqu’on a violé la loi et les sanctions ne devraient pas tarder. C’est pour cela que nous sommes venus pour faire appliquer la loi au nom du principe de la puissance publique. Nous avons attendu depuis longtemps, un dossier a été instruit et nous avons imparti un délai après les pourparlers que nous avons eus avec le secrétariat général de la présidence. Tout ceci s’est avéré comme étant nul et sans effet ce qui crée la désobéissante. Devant la récalcitrante, la loi ne transverse pas, elle s’applique. Nous sommes là pour déguerpir, ce récalcitrance domanial, la loi est claire en la matière, lorsque vous construisez sur un terrain d’autrui toutes ces constructions sont propriété du propriétaire du terrain», a-t-il déclaré.

Fortune Linge Mbochi

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Rencontres internationales des artistes à Brazzaville et Kinshasa. Entretien avec Jean-Claude Kodia, chorégraphe danseur, initiateur du projet

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Rencontres internationales des artistes à Brazzaville et Kinshasa. Entretien avec Jean-Claude Kodia, chorégraphe danseur, initiateur du projet
Brazzaville, (Starducongo.com) - Le Réseau RADCAM Culture donne un rendez-vous inédit du 5 au 25 juillet 2013 aux artistes amateurs et professionnels. Ce sera pour eux l’occasion rêvée de pouvoir se former à travers des ateliers, des cours qui seront assurés par des formateurs étrangers invités par le Réseau Radcam culture avec à sa tête le chorégraphe danseur congolais Jean Claude Kodia.

STARDUCONGO : Avant de parler de ces « Rencontres » qui ont déjà débuté puisque certains ateliers de formation sont effectifs depuis le 10 juin 2013. On aimerait savoir qui est derrière ce Réseau Radcam culture ?

Je suis le fondateur du Réseau Radcam culture qui rassemble plusieurs disciplines dans le monde dans le but de développer l’art à travers des ateliers et de créer des spectacles avec des jeunes talents ou des anciens. Ce qui peut les aider à s’épanouir et à élargir leurs carnets d’adresses.

STARDUCONGO: Quel est l’objectif que vous souhaitez réellement atteindre? Votre projet est ambitieux, d’abord parce qu’il est itinérant et s'étale jusqu'en 2015. Brazzaville n’est que la première étape, ensuite vous partez au Tchad, en République centrafricaine, au Gabon et en RDC.

L’objectif c'est d’aller dans plusieurs pays et de relever le niveau artistique de jeunes talents. C’est un projet que je dirige depuis 2010, je n’étais pas pressé. Je réfléchissais, je voulais innover et ne pas faire quelque chose qui va me détruire dans le sens de ressembler à un autre. Parce que ressembler à l’autre c’est de l’imitation. Et dans une imitation on n’est jamais réel.
Ces « Rencontres » sont comme un marché où des artistes se retrouvent et font des ateliers de formation. A la fin ils présentent ce qu’ils ont créé et pour les artistes en formation, cela leur permet de savoir comment créer un spectacle, un solo, un duo, un trio, etc. Pendant l’événement ils vont se produire devant la foule et si c’est bien on pourra les aider à aller en résidence de création pour soutenir leur projet.

STARDUCONGO: Pourquoi avoir intitulé votre projet « Rencontres internationales des artistes » ?

Tout simplement parce qu’il y a plusieurs artistes qui se retrouvent. D’ailleurs sur notre affiche ce sont bien deux figures qui se regardent et qu’on a multiplié en plusieurs. « Rencontres internationales » parce que les artistes doivent toutefois se retrouver, pas seulement ceux issus d’un même continent parce que l’art est au-dessus de la politique. L’art nous permet de briser les mythes.

STARDUCONGO : Qu’est ce qui va advenir des artistes qui vont être formés au cours de ces rencontres ?

Pour les danseurs ça va leur ajouter de l’épanouissement, la facilité d’interpréter les mouvements et connaître l’écriture des autres. Le Réseau Radcam culture n’est pas une association ou une compagnie de danse mais c’est l’ensemble des artistes qui peuvent être un appui pour eux. On pourra me consulter et me demander si cet artiste est passé par chez nous. C’est vrai que nous ne sommes pas un centre ou une école mais dans le rapport nous avons les noms, les photos et les images de tous les participants.

STARDUCONGO : Mais dans l’avenir cela pourrait le devenir ?

Oui, c’est vrai parce-que nous avons déjà un espace de 80 m2 carrés dans le secteur de Mfilou et si avec le temps on peut avoir des partenaires qui peuvent nous soutenir dans ce projet, c’est bien. Il y a déjà une personne qui s’est engagé à faire une auberge pour faciliter l’hébergement des artistes. Un centre de formation, c’est vraiment quelque chose que j’aimerais qu’on puisse avoir au Congo. Il y a des danseurs qui ont des familles qui ne peuvent les soutenir. Comment faire pour partir se former ailleurs ? Cela fait très mal de voir un homme qui a des capacités et qu’il lui manque juste le soutien financier ou le manque d’opportunités.

Propos recueillis par CAROLE MANDELLO
carolemandello@starducongo.com

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Brazzaville, capitale de la piraterie artistique

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Brazzaville, capitale de la piraterie artistique
La capitale Congolaise qui vit déjà à l’heure du Fespam (Festival panafricain de musique) est devenue la plaque tournante de la piraterie des œuvres d’esprit. Plus d’un artiste, surtout les musiciens se demandent bien si le ministre de la culture qui s’affiche médiatiquement comme un défenseur acharné de la culture vit dans une même ville qu’eux ? Tenez ! Parcourez les différentes artères de la ville et vous remarquerez que dans chaque coin des gens incrédules étalent des œuvres musicales et théâtrales piratées vendues à un prix dérisoire oscillant entre 300 et 1000frs cfa.

Les Congolais se plaignent toujours du caractère mendiant de leurs artistes, mais comment ces gens qui pourtant agrémentent nos vies peuvent ils vivre de leurs œuvres dans un pays ainsi ? Il est impérieux aussi que cette corporation qui manque toujours de solidarité se mobilise contre ce phénomène en employant tous les recours possible. Le ministre qui aime bien tenir des discours positifs dans les medias doit être ramené à la réalité et enfin voler au secours des artistes en appliquant juste la loi.

Oui ; cette loi dont le tout nouveau bureau Congolais des droit d’auteurs se plait à appliquer par l’intermédiaire de la police dans le recouvrement des droits par les transporteurs urbains, lesquels voient leurs taxis et bus saisis en cas de non paiement. On ne peut pas qu’être animé par la volonté du gain sans penser à la protection des œuvres. Il sied à souligner aussi que pendant que chaque taxi et bus est sommé de verser la somme de 12000frs comme droits d’auteurs pour la musique balancée dans leur véhicule, l’artiste musicien lui ne perçoit que près de 50000frs chaque trimestre.

Le Congo qui, avait jugé bon d’ouvrir ses frontières aux commerçants Chinois pour renforcer sa coopération avec ce géant asiatique avait parallèlement oublié que les chinois sont des experts en piraterie. Au su et vu de tous, ces asiatiques dupliquent les Cds musicaux, et cinématographiques que les Congolais et Ouest africains se plaisent de vendre. Cela revient à la pensée collective de « l’immigration abusée ».Le Congo reçoit des gens qui viennent toujours abuser de son hospitalité !

L’incivisme des populations est aussi un facteur positif en faveur de ces pirates qui évidemment font des chiffres d’affaires importants sur le dos des artistes qui eux ont toutes les peines du monde à survivre. Ne dit on pas que la charité bien ordonnée commence par soi même ? Que les artistes musiciens se mobilisent et commencent par signaler tous ces lieux où les Chinois, Libanais, et Ouest Africains dupliquent tranquillement les supports de leurs œuvres

Ghislain Malekat Mankou / Mimiche Ndouna

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Coup de coeur musical : Eved Voice

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Coup de coeur musical : Eved Voice
Brazzaville, (Starducongo.com ) - De son vrai nom SITA OD EVED, il est né d’un père musicien et d’une mère mélomane. Son enfance s’est déroulée tout en musique, influencée par diverses sonorités.

Allant de la rumba congolaise, à la musique traditionnelle et aux confluences sophistiquées du jazz et de la soul. Toutes ces musiques deviendront Ses préférences musicales et les sources de son inspiration, qui saura y trouver les couleurs et les substances pour créer les fusions de style tel un jeu d’artifice lancé dans le ciel immense de la Word musique. Des fusions de style que l’artiste a baptisé « Ethnik soul groove ».

Ethnik soul groove, n’est pas qu’un simple style de musique que l’artiste baptise mais aussi le nom de son groupe qui l’accompagne toujours dans diverses prestations.

Carole Mandellocarolemandello@starducongo.com

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Fally Ipupa et plusieurs autres artistes musiciens se sont produits sur le podium du Zénith le samedi 15 juin

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Fally Ipupa et plusieurs autres artistes musiciens se sont produits sur le podium du Zénith le samedi 15 juin
Le choix porté sur Fally Ipupa « La Merveille » est le résultat d’une enquête menée par un organisme de renommée qui a sanctionné le compositeur de « Droit Chemin » comme étant la meilleure star congolaise de la chanson.

Fally Ipupa ainsi qu’un carré des musiciens venus de plusieurs pays du monde, se sont retrouvés au devant de la scène, le samedi 15 juin 2013, sur le podium de la mythique salle du Zénith à Paris, en France.

Comme on pourra le constater, le choix porté sur Fally Ipupa « La Merveille » est le résultat d’une enquête menée par un organisme de renommée qui a sanctionné le compositeur de « Droit Chemin » comme étant la meilleure star congolaise de la chanson.

De ce fait, il se révèle aussi comme étant la voix la mieux écoutée de la musique congolaise à travers le monde. Cela, en prélude de sa promotion sur le plan international qui est menée par son producteur attitré l’Ivoirien David Monsoh.

De son choix

Mais, qui est Fally Ipupa et pourquoi avoir porté le choix sur lui ? On l’appelle le Charmantissimo, mais lui préfère s’identifier sous de nombreuses appellations qui restituent son évolution en tant qu’artiste.

Il se fait aussi appeler Dicaprio en référence à un acteur du cinéma américain et « La Merveille » pour son talent et aussi de par sa constitution physique qui ne laisse aucune âme sœur indifférente.

Fin danseur, doté d’une voix envoûtante, Fally Ipupa fait parler de lui aujourd’hui à telle enseigne qu’on croit que l’élève est entrain de dépasser son maître. Chose pas étonnante lorsqu’on sait que ce jeune chanteur est, jusque là, le seul qui a vraiment émerveillé par rapport aux autres musiciens et chanteurs ayant évolué au sein de l’orchestre « Quartier Latin International » de Koffi Olomidé.

C’est par la grande porte, après un test de recrutement bien réussi, que Dicaprio a été retenu, en 1999, pour rester auprès de Mopao Mokonzi au sein du « Quartier Latin International » où, du reste, il n’a pas tardé Fally Ipupa à imposer sa voix accompagné de ses coups de reins érotiques.

Deux chansons cultes : « Éternellement » contenue dans l’album « Force de frappe » et « Kokokoko » dans l’opus « Affaire d’Etat » devenues des tubes, ont suffi pour rendre Fally Ipupa aussi célèbre que ses pharamineux aînés.

Possédant un sens très poussé dans la conception des choses plutôt que dans l’écriture de ses chansons, la sortie de l’album « Droit chemin », son premier album solo, réalisé à Paris avec l’aide du mécène ivoirien David Monsoh s’est révélé comme étant un best seller.

Étoile montante de la musique congolaise, le chanteur Fally Ipupa est devenu « Monsieur spectacle » du Quartier Latin International dont le spectacle, à guichet fermé, le 7 avril 2007 à l’Olympia de Paris, avait confirmé la force de frappe de « La Merveille ».

De sa naissance

Issue d’une famille chrétienne, c’est en 1977 que Dicaprio Fally Ipupa a vu le jour à Kinshasa, la capitale africaine de la musique. Comme bon nombre des jeunes de sa génération, la musique sera d’abord son hobby avant de s’imposer à lui comme une priorité et de prendre le pas sur ses études.

Très tôt, il se découvre un don pour la chanson avec sa voix cristalline, bouleversante, prédisposée à la rumba et aux chansons langoureuses. Dès lors il ne vivra qu’à travers et pour la musique.

Il débute ses classes musicales dans divers petits groupes de Kinshasa au début des années 90. Avide de découvertes et de renouveau, il ne s’éternise pas dans ces groupes et passe de formations en formations, pour finalement trouver sa place au sein d’un orchestre bien nommé : Talents Latents. Avec ses nouveaux coéquipiers, il attire l’attention du public kinois, lors des concours des orchestres en herbe de la capitale.

Après cette péripétie, Fally Ipupa travaille son chant et finit par attirer l’attention de Koffi Olomidé, dont il intègre l’orchestre à la fin des années 90. Le jeune homme y trouvera finalement sa place et deviendra l’un des piliers incontournables.

Pendant près d’une décennie, Fally Ipupa conforte son art et exprime son talent auprès de Koffi Olomide et maîtrise, de mieux en mieux, l’écriture au fil des albums du groupe. C’est avec « Éternellement » et « Ko ko ko », deux chansons majeures dont il est auteur-compositeur, que Fally prendra du galon et gagnera en assurance jusqu’à occuper, en dépit de son jeune âge, le poste de chef d’orchestre.

Le public Congolais qui affectionne les sobriquets et les superlatifs ne tardera pas à le surnommer Dicaprio pour sa beauté, Anelka, le transfert le plus cher pour sa valeur, ou encore « La merveille » pour son talent.

Fally Ipupa est musicalement curieux et gourmand. Ses goûts musicaux vont du classique au Hip-hop, parmi ses modèles se trouvent Marvin Gaye, Shaggy ou Craig David. Ses influences mariées à son talent en font un artiste hors du commun, qui rêve des sonorités nouvelles, des aspirations qui ne sont pas évidentes à concrétiser dans un groupe comme Quartier Latin.

C’est dans un souci de liberté artistique que Fally Ipupa s’engage dans le projet d’un album solo et personnel, qui lui ressemble et qui mêle, sans mal, l’expression de sa créativité à celle sa personnalité. Jeune s’entend, mais il demeure, à jamais, le premier artiste congolais de sa génération à avoir tenté l’aventure d’une carrière musicale bivalente, qui mêle innovation et tradition.

De nombreux featuring réalisés tant avec de nombreux artistes congolais, continentaux, américains ou afro caribéens font de lui la star la mieux structurée et disposée à contribuer à la réussite et à l’expansion de la culture mondiale. Si bien qu’aujourd’hui, en solitaire, ce chanteur à la voix mélancolique accumule plus d’une dizaine de trophées lui décernées par des institutions internationales. Un vrai record.

C’est donc dans ce contexte que le choix a été porté sur ce jeune chanteur plein de bon sens pour cette production du Zénith à Paris et dont les recettes vont être diligentées dans la lutte contre la trypanosomiase. Et comme on devait s’y attendre, Fally Ipupa a valablement défendu sa classe le week-end dernier aux côtés de stars comme Mokobe, Lafouine et les autres.

Kingunza Kikim Afri/L’Avenir

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Le musicien congolais résidant en Suède, Getty Domein sort son premier single

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Le musicien congolais résidant en Suède, Getty Domein sort son premier single
« Dance with the devil » est le titre du premier single de l’artiste musicien congolais évoluant en Suède, Getty Domein. Dans ce single, l’artiste donne une vision, plutôt positive qu’il a du monde.

Getty Domein a affirmé avoir concocté cet opus sur demande de l’équipe de production suédoise “fête foraine”. Celle-ci avait apprécié la chanson en Lingala intitulée « Yeba » qu’il avait présentée à l’eurovision en 2012. En effet, il était le premier africain à concourir à cette compétition de musique européenne avec une chanson dans son dialecte.

Getty Domein chante en lingala, en anglais et quelque fois en français.

« Dance with the devil » est une musique moderne avec un mélange d’euro-pop et afro-rythmes.
A treize ans, Getty s’est retrouvé orphelin de père et de mère. Sans aucun soutien familial, il a été accueilli dans les foyers d’accueil et des institutions de la jeunesse. Malgré les difficultés rencontrées dans sa vie, Getty Domein tient à communiquer l’énergie et la liberté dans ses chansons.

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RD-Congo: Un père de 50 ans brûle son fils homosexuel de 20 ans

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RD-Congo: Un père de 50 ans brûle son fils homosexuel de 20 ans
.Son père n’ayant pas digéré la métamoprhose de son fils a décidé de passer à l’action

Les habitants du quartier Yolo n’ont pas condamné l’agissement du père de la victime car, disent-ils, la victime a été à plusieurs reprises conseillée pour qu’elle arrête avec son comportement lié à sa métamorphose. Son père n’ayant pas digéré cela, est passé à l’action sans tenir compte du sens de l’humanisme.

Un papa de cinquante ans a renversé de l’eau chaude sur le corps de son fils d’une vingtaine d’année le dimanche 16 Juin 2013 au quartier Yolo Sud dans la commune de Kalamu. Tout a commencé lorsque le père a constaté que son enfant s’est féminisé avec des comportements et des actes propres aux femmes.

Et cela a provoqué la colère de ce dernier, jusqu’à l’amener à jeter de l’eau chaude sur le corps de son garçon. Le jet de cette eau a provoqué des brûlures intenses sur le corps de la victime. Sa figure a même été déformée avec des plaies liées aux brûlures. “J’étais dans un état que je pourrais qualifier d’envoutement car ce que j’ai fait est inhumain voir même diabolique.

Quelque soit le problème, je ne devais pas le faire“, a regretté le père de la victime. Face à cette situation qualifiée de criminelle, le père a été arrêté et conduit au sous commissariat de Police de Yolo. Il est détenu et entendu sur le PV avant qu’une décision tombe. Entre temps, la victime a été conduite dans un centre de santé pour un suivi médical approprié et une administration d’un bon traitement. Selon des informations en notre possession, son cas demeure inquiétant.

Les habitants du quartier n’ont pas condamné l’agissement du père de la victime car, disent-ils, la victime a été à plusieurs reprises conseillée pour qu’elle arrête avec son comportement lié à sa métamorphose. Son père n’ayant pas digéré cela, est passé à l’action sans tenir compte du sens de l’humanisme. Aucun voisin n’a condamné l’action du père contre son enfant. D’ailleurs, beaucoup des gens ont apprécié la réaction du père car ce comportement est fustigé par plusieurs personnes qui estiment que ce n’est pas la culture Rd- Congolaise.

Par: Aliou FAMA

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Sam Mangwana bien dans son culte…. depuis 50 ans (1963 – 2013)

Une voix veloutée, un timbre reconnaissant entre mille
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Sam Mangwana bien dans son culte…. depuis 50 ans (1963 – 2013)
Afrique, (Starducongo.com) - Architecte de la rumba, Sam Mangwana a valorisé le talent de quelques musiciens dont il a interprété les chansons. L’orsqu’ on s’intéresse à son cas, le chanteur, auteur, compositeur et interprète incontestable, on constate que la frange des critiques qui ont vanté ses mérites entre 1966 et 1980, s’accorde à reconnaître ses prouesses toujours en évolution. Car, à écouter de façon suivie tous les enregistrements auxquels il a participé pendant toute sa carrière, on se persuade assez aisément que son art présente des premiers aux toutes récentes une exceptionnelle continuité. Au vrai, il est peu de grands « rumberos » qui aient manifesté dans leurs conceptions une telle persévérance.

Une extrême disponibilité

Son idée, largement développée par lui-même dans le genre « rumba originale », c’est que le chanteur ténor doit pouvoir se concentrer sur ce qu’il désire faire avec intensité, sans être influencé par des suggestions extérieures. Mangwana est unique dans son style. Tout le travail de la tessiture veloutée - envisagé dans le sens de la plus totale intégration - consiste seulement à le rendre plus libre dans son exploration harmonique. L’intelligence et la pudeur sont ses vertus majuscules. Intelligent, il parvient à prévoir avec sûreté l’itinéraire de ses accompagnateurs vocaux. La première de ces deux qualités est l’effet d’une règle harmonique subtile et nuancée, capable de multiples variations ; la seconde est la cause d’une véritable philosophie dans ses compositions.

Influence = forte impression

Sam Mangwana représente à lui seul, un évènement d’importance. Parce que se retrouve chez lui cette « différence » essentielle qui sépare un chanteur de qualité ressentant la nécessité impérieuse de chanter en ténor et en solo ou dans un orchestre comprenant d’excellents instrumentistes, mais dont la réunion est dû au travail de concerts ou d’enregistrements en studio. Notons que, outre la rumba, c’est la musique afro-caribéenne qui a eu le plus d’influence sur lui.

Une carrière époustouflante.

Sam Mangwana, en effet n’est pas né d’un accident fortuit. Il sait pourquoi il est arrivé à son niveau actuel. Cette présence correspond à un choix délibéré et, lorsqu’on examine sa carrière, on s’aperçoit vite qu’il est dans le lot habituellement réservé aux professionnels de la musique congolaise de premier plan, mais qui a donné l’impression d’instabilité à force de passer d’une formation à une autre.

Kinshasa 1963 : Cette année peut être considérée comme celle qui a vu naître sa vocation pour la musique. Avec Théo Bitsikou, son ami d’enfance, il s’exerce à la pratique du chant aux environs du quartier dit « Zando ya Bayaka » à Kinshasa. Mangwana, commence également à cette période à côtoyer Tabu Ley qui s’y plaît à ses talents de compositeur. Notons qu’auparavant, comme il est de coutume pour nos grands chanteurs, Mangwana a commencé à chanter dans une chorale de l’Armée du Salut à Kinshasa.

Brazzaville 1964 - Sam Mangwana, Théo Bitsikou, Gérard Kazembe, Diki Baroza… sont sollicités par Mr Touneleck, un homme d’affaires camerounais installé à Brazzaville pour renforcer l’orchestre qu’il vient de créer du nom de « Los Batchichas ». Cet orchestre qui a compté parmi les meilleurs de cette époque, peut être considéré comme celui qui a donné naissance à la carrière professionnelle de Sam Mangwana.

Kinshasa 1966 – Sam Mangwana rejoint l’African Fiesta de Tabu Ley et Nico. Dans la foulée, il rencontre Wendo Kolosoy avec qui il tourne en Europe, puis en Zambie l'année suivante. C'est ce qui a constitué son bagage comme chanteur dans le groove de la rumba congolaise.

Kinshasa 1967 – Sam Mangwana intègre l’orchestre Vox Africa de Jeannot Bobenga. il chante en compagnie de Ntesa Dalients et Jeannot Bobenga, mais juste pour quelques mois car, dans la même année, Sam Mangwana rejoint l’African Fiesta National de Tabu Ley et prend part au voyage de Montréal au Canada.

Kinshasa 1968 - Sam claque la porte à Tabu Ley pour créer avec Dalients, Guvano, Dizzy Mandjeku, Mavatiku, Johnny Bokosa, Nzenze Jean Trompette, Barami, Kaya Depuissant, Gérard et Makulukala, l’orchestre Festival des Maquisards, qui, hélas, Se disloque en 1969, suivi de la création du groupe Festival de Sam avec Dino Vangu.

Kinshasa 1972 – Sam Mangwana, fait un grand pas en avant, car il intègre avec fracas le TP OK Jazz de Luambo Makiadi, aux côtés de Michel Boyibanda et Youlou Mabiala. Dans la foulée, il rend si bien les compositions « Ebale ya Zaïre », « Ceidu » « Djemelasi », « Minuit eleki », etc. Cette intégration dans l’OK suscite un conflit aigu entre Luambo et Tabu Ley.

Kinshasa 1974/1975 – Adieu l’OK Jazz et retour aux sources dans l’Angola de ses ancêtres, le temps de retrouver les siens et de se faire une belle place dans le cercle culturel angolais. En effet, en 1975, le voici de nouveau avec Tabu Ley, et dans sa besace, 2 chansons qui illustrent son séjour angolais : « Minha Angola » et « Mosekonzo ».

Afrique-Europe 1976/1979 – Après avoir roulé sa bosse dans presque tous les grands orchestres kinois, l’honneur lui échoit d’entamer une carrière solo et internationale. Il sillonne les capitales des pays comme Centrafrique, le Cameroun, le Nigéria, le Bénin, puis le Ghana où il met sur pied le groupe Africa all stars, avec les musiciens Syran, Bopol Miasamina, Pablo, Dizzy Mandjeku…et enregistre sous le label Suzana Coulibaly , le mécène du groupe. Deux titres sortent du lot et embrasent toute l’Afrique : « Georgette Eckains » et « Eyebani » (sept.1979) puis « Maria Tebo » et « Mathilda » (1980). Sam, qui entre-temps s’est rapproché de Théo Blaise Kounkou, crée des rythmes extrêmement novateurs. Il tient d’ailleurs, en cette année 1979, à vouloir se développer une nouvelle configuration, ce qui l’oblige de descendre à Kin et de ramener avec lui Canta Nyboma. Abidjan va constituer pendant plusieurs années le centre de vitalité du groupe, avec des allers et venues en Europe, aux Etats-Unis, en Afrique de l’Est… car la fièvre Mangwana a longtemps gagné les grandes salles du monde.

1981 Retour à Kinshasa : Victime de son succès, le groupe African All stars se sépare de Sam, qui revient à Kinshasa, tandis que le reste du groupe s’installe à Paris sous une autre dénomination : « Les quatre mousquetaires ». A Kinshasa, et fort de son expérience, Sam Mangwana fait le tour du Zaïre en compagnie de sa nouvelle trouvaille ; Marie-Claire Mboyo « MBilia Bell », qui fait ses débuts à la chanson. Il ouvre après cette tournée, la voie à Mbilia Bell qui atterrit chez Tabu Ley en 1982.
1982, Sam Mangwana est disponible et sa voix impressionne. C’est dans ce contexte, qu’il chante « Faute ya commerçant » de Lutumba Simaro avec l’accompagnement de Luambo-Makiadi et le TP OK Jazz. En tout cas, pendant une bonne période Sam prête sa voix à de nombreux artistes qui se plaisent à sa voix et à son timbre de charme.

1984 – Sam Mangwana se joint à Ndombe Opetum et Empompo Deyesse pour créer l’orchestre dit « Tiers-Monde Coopération », en réaction contre « les trois mousquetaires » (Luambo-Tabu Ley-Kiamuangana) considérés comme le triumvirat qui domine la musique congolaise au détriment des jeunes groupes.

Luanda 1998 – Sam Mangwana qui est depuis installé à Luanda où il a été reçu en apothéose, n’arrête pas de chanter et de voyager entre le Congo, l’Afrique, l’Europe, et le monde. Il sort l’album « Galo Negro » avec l’accompagnement de Nedule Papa Noël.

La sortie de « Galo Negro » a un tel retentissement international qu’il remporte le « Crossroads Music Awards » de la World Music comme "Gold Star 1999. Avec cet album électro-acoustique, Sam Mangwana renoue avec ses racines avec une forte prédominance des musiques traditionnelles tout en gardant une dimension résolument moderne. L’accordéon du Malgache Régis Ghisavo répond à la guitare de Papa Noël faisant chanter le « coq noir » éveilleur des consciences africaines. En 1999, dans le même élan, il sort avec Dino Vangu l’album « Femme africaine » qui connaît une large diffusion et un énorme succès auprès des Angolais.

Luanda 2003 - Sam Mangwana continue de porter en lui le lyrisme lusophone de ses origines angolaises, sans s’éloigner de la rumba congolaise dont il est un des derniers géants. Son nouvel album, Cantos d’Esperança, résolument nostalgique, a le parfum des premiers jours des indépendances.

Paris Juillet 2013 : Sam Mangwana se trouve à Paris où il répète avec quelques artistes la comédie musicale dénommée « Heza » - dans le cadre du Festival Arts Comores – qui a lieu à Marseille le 30 juin 2013.

Sam Mangwana Congolais ou Angolais ?

Une question qui ne devrait même pas se poser, mais que d’aucun ne cesse de poser. Sam Mangwana est né à Léopoldville-Kinshasa (Congo-Belge) le 21 Février 1945, de parents originaires de Maguela do Zombo, (Province d’Ulge, au nord de l’Angola) et qui ont travaillé toute leur vie à Kinshasa. Naturellement, à l’indépendance de l’Angola en 1975, tout Angolais se devait soit de garder les deux nationalités soit de réintégrer sa nationalité d’origine ; le cas de Sam Mangwana. Quoi qu’il en soit, il tire de la présence familiale au Congo Belge, puis au Congo démocratique un goût prononcé pour le voyage, les langues et une curiosité naturelle pour les autres cultures. Sa connaissance du Portugais, du Lingala, du Swahili, du Français, de l’Anglais, du Kikongo et son apprentissage de l’Espagnol font de lui le chanteur ténor le plus polyglotte du continent. Mais étant africain, il demeure chez lui dans tous les pays d’Afrique où la culture est Une.

Les Albums : Pour l’essentiel, ci-après le recueil des albums de Sam Mangwana :
• Cantos de esperança • The very best of 2001 • Wenze wenze • Galo negro • Maria Tebbo - Waka waka • Georgette Eckins • No me digas no • Rochereau, Sam Mangwana et L'African Fiesta 1968 / 1970 • Rumba music • Mega mix • Sam et Franco : Forever • Aladji • For Ever • Franco & Sam Mangwana et le T.P. OK Jazz (1981-1982)

Clément Ossinondéclementossinonde@starducongo.com


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Album : L’ultime touche de Papa Roye de Wisdom Classic

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Album : L’ultime touche de Papa Roye de Wisdom Classic
Brazzaville, (Starducongo.com) - Le prochain opus de Papa Roye du groupe chrétien Wisdom Classic, intitulé «The last touch» (traduire L’ultime touche), sera dans les bacs avant la fin de cette année.

«La date précise de la sortie de l'album n'est pas encore connue, mais avant la fin de cette année tout sera mis en œuvre pour que cet album ait un succès souhaité sur le marché», nous a confié une source proche de l’artiste.

«Ce titre est le fruit de toutes les expériences pour la plupart difficiles que l’artiste a traversé ces dernières années», nous avait-on expliqué dans une note dont nous avons eu copie, en juillet dernier.

Selon cette note, «le leader du groupe se donne le défi de nous chanter douze (12) chansons à lui tout seul!!!».
A suivre!

Patricia Engali.
redaction@starducongo.com

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Saintrick Mayitoukou révèle l’esprit de partage

Un évènement à l’ambiance conviviale
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Saintrick Mayitoukou révèle l’esprit de partage
Sénégal, (Starducongo.com) - A Dakar au Sénégal, la fête de la musique le 21 Juin 2013 a eu droit de cité dans la salle CSMH, entre Saintrick Mayitoukou et les élèves des Cours Sainte Marie de Hann, qui ont veillé à l’équité des forces en présence pour faire le plein de spectacles au titre évocateur : PAE (Programme d’Action Educatif)

En effet, pour la seconde fois consécutive, et grâce à la collaboration avec Madame la directrice des Cours Sainte Marie de Hann de Dakar, Saintrick Mayitoukou, en partenariat avec les artistes Lady Zee, Ellick Gniimadi, Janvier Mayitoukou, Mame Lena Kanoute et Luc Mayitoukou ont organisé une comédie musicale avec une soixantaine d’ élèves de 6e, 5e, 4e, 3e, 2nd et 1ère, dans le domaine des mixtures sonores et rythmiques, pleines de ramifications.

L’art de se mettre en valeur

Un exploit pour la troupe conçue, sur le modèle « Jazz Band » formé en 10 jours seulement et qui a donné une nouvelle impulsion aux musiques façonnées par Saintrick, ce fidèle initiateur du label ZHU Culture. Cette édition 2013, toujours dans l’optique d’intégrer la culture à l’école, a permît de faire le plein de bonnes vibrations, à en juger par les nombreux scènes dédiées au chant, à la danse, aux instruments, dans les genres africain, (afro-beat, rumba, coupé décale…), afro-américain (Hip Hop, Rnb, rap…) qui ont bien sûr séduit le public des Maristes, mais aussi le public dakarois, en montrant le visage d’une jeunesse dynamique porteur de valeur de modernité et d’innovation.

Clément Ossinondé
clementossinonde@starducongo.com

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