Quantcast
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live

La Palestine s’offre la dernière édition d’«Arab Idol». Mohamed Assaf, idole de tout un peuple

Image may be NSFW.
Clik here to view.
La Palestine s’offre la dernière édition d’«Arab Idol». Mohamed Assaf, idole de tout un peuple
Gaza, (Starducongo.com) - La saison estivale démarre sous les meilleurs auspices pour la scène musicale palestinienne avec la consécration historique de Mohamed Assaf.

Le jeune chanteur d’origine palestinienne, âgé de 23 ans, a remporté la dernière édition du plus fameux concours de télé-crochet arabe, «Arab Idol», devenant ainsi l’idole de tout un peuple et de sa cause.

C’est une première pour le peuple palestinien qui n’a pas caché sa joie, d’autant plus que ce jeune artiste s’est brillamment illustré tout au long de cette compétition au point de l’emporter haut la main, devant ses rivaux égyptien et syrien qui n’ont toutefois pas démérité.

Il y avait de la joie ce week-end dans les Territoires palestiniens où les bonnes nouvelles sont plutôt rares. Il faut dire que Mohamed Assaf, dont les portraits géants étaient placardés un peu partout dans les Territoires occupés, a de la plus belle manière remporté «Arab Idol».

C’est peu dire que de souligner que le sacre de la nouvelle étoile de la chanson arabe, saluée par tout un peuple en liesse, était attendu avec enthousiasme.
En effet, pour suivre les dernières péripéties de cette compétition, retransmise en direct sur la télévision panarabe MBC de Beyrouth, les habitants de la Palestine s’étaient retrouvés en masse dans les cafés, restaurants, hôtels et chez leurs voisins pour partager ensemble cet instant historique. Il n’était pas question dans l’esprit de tous de manquer ce grand rendez-vous télévisuel et surtout le jeune chanteur qui espérait être récompensé devant des millions de téléspectateurs.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Palestiniens ne s’étaient pas trempés quant au sacre du jeune, né à Misrata (Libye), qui vit à Khan Younès.

Dotée d’une voix exceptionnelle, il a quasiment pulvérisé le concours, impressionnant le jury et les téléspectateurs qui le voyaient déjà victorieux.

Précisons que Mohamed Assaf a interprété lors de la finale du fameux télé-crochet arabe «Ally el-Kofiya». Sans doute qu’il pressentait déjà sa victoire.

Alain Bouithy
bouithy@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Les jeunes kinois sont nombreux à se marier et à divorcer deux ou trois ans plus tard.

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Les jeunes kinois sont nombreux à se marier et à divorcer deux ou trois ans plus tard.
A Kinshasa, les jeunes sont nombreux à se marier et… à divorcer deux ou trois ans plus tard. Certains évoquent un manque de préparation ou de mauvaises raisons qui entraînent de mauvais choix. A Kinshasa, les jeunes de 20 à 35 ans sont nombreux à se marier devant un officier de l’Etat civil. Mais, dans le même temps, les tribunaux enregistrent de plus en plus de demandes de divorces de jeunes couples…
“Nous célébrons au moins 80 mariages par mois, à raison de 20 par semaine, explique Jeannine Kabasele, agent au service de l’Etat civil de la commune de Mont-Ngafula. L’âge moyen de ces couples est de 28 ans”. Mais, ces unions, souvent célébrées avec faste, sont parfois fondées sur des bases peu solides… Au tribunal de paix de Ngaliema, les demandes de divorces affluent. “Rien qu’au 1er semestre de cette année, nous avons enregistré 100 demandes provenant en grande partie de couples mariés entre 2009 et 2010″, explique Rigobert Mulango, greffier près cette juridiction.

Manque de préparation

Chacun y va de ses raisons pour expliquer ces unions éphémères. Certains pointent du doigt les services de l’Etat civil qui, selon eux, se contenteraient de percevoir les frais administratifs exigés avant d’enregistrer un mariage (entre 75 et 200 $ plus les cadeaux au bourgmestre) sans vérifier les conditions légales de formation du mariage. “C’est ce qui occasionne les divorces prévisibles”, estime Remis Mutombo, un activiste des droits de l’homme. “Lorsque les candidats viennent solliciter la célébration, nous commençons par vérifier s’ils ont respecté les conditions de fond et de forme prescrites par la loi”, rétorque Jean Robert Imaki, préposé à l’Etat civil de la commune de Ngaliema. “Parmi ces conditions, il faut que l’époux ait réellement versé la dot à la famille de l’épouse, que le couple ait manifesté son consentement par écrit en signant la fiche de demande de mariage. En plus, nous exigeons qu’ils soient accompagnés des témoins”.

Sociologue, Alain Kasala évoque, lui, d’autres raisons qui seraient à l’origine de ces séparations en cascade. “Se marier à Kinshasa est devenu une sorte de défi à relever chez les jeunes, surtout les filles, affirme-t-il. Elles ne voient que le clinquant de la cérémonie nuptiale où elles seront à l’honneur sans se préparer à vivre le mariage pour le meilleur et pour le pire”. F.K, 26 ans, dont le mariage conclu en 2010 vient d’être dissout par le tribunal de paix de la Gombe, témoigne : “Je m’étais mariée tôt pour sauver l’honneur de notre famille où les filles ne se mariaient qu’après s’être faites engrosser par un homme. En réalité, je n’avais pas pris le temps d’observer la personne avec qui j’allais me marier.”

Echec de la conciliation

Eric, en instance de divorce devant le tribunal de paix de Ngaliema, affirme de son côté s’être marié par exigence professionnelle. Devant l’urgence, “j’étais obligé de prendre une femme que je ne connaissais pas très bien. Nous avons fait seulement deux mois de fiançailles… Je suis tombé sur un mauvais choix”, se désole-t-il. J.S avoue pour sa part avoir été “influencée par ses parents pour prendre en mariage son époux, qui avait beaucoup d’argent. En réalité, je n’avais pas de sentiment pour lui…” Conséquence : à la première crise venue, ces unions fragiles volent en éclats.
Avocat, Me Auguy Kantu affirme que le Code de la famille (art. 546) prévoit “qu’une décision judiciaire prononce la dissolution du mariage à la demande d’un des époux, si le tribunal établit que la continuation de la vie conjugale et la sauvegarde du ménage sont devenues impossibles”.
Mais, avant d’en arriver là, le législateur a prévu des étapes qui passent par une procédure dite de conciliation en vue de donner la chance au couple. “Lorsqu’un des conjoints sollicite le divorce, le président du tribunal de paix commence par le convoquer, lui faire des observations, lui prodiguer des conseils qu’il estime nécessaires et attirer son attention sur la gravité d’une telle requête”, explique l’avocat. “En plus, affirme le juge Jean Baptiste Mule, l’action en divorce ne peut être intentée que deux ans après la conclusion du mariage”. Son constat est cependant qu’il reçoit de plus en plus de requête de divorce émanant de jeunes mariés qui n’ont fait qu’une année de vie commune voire moins. “Dans ce cas, nous les avons toujours renvoyés revenir après deux ans, témoigne-t-il. Ce qui est vrai malheureusement, la plupart des procédures de conciliation n’aboutissent pas, nous finissons toujours par fixer le dossier pour jugement et prononcer le divorce”.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Oracle et Microsoft main dans la main pour dominer le marché du Cloud

Impossible de penser une chose pareille il y a encore quelques semaines : les deux sociétés antagonistes Microsoft et Oracle viennent de signer un partenariat.

Microsoft et Oracle viennent d'annoncer souhaiter mettre leurs différends de côté et développer un partenariat stratégique visant le développement du Cloud d'Entreprise.
Un accord qui permettrait aux deux sociétés de s'installer plus efficacement sur le Cloud privé et le Cloud public et proposant un ensemble de services à sa clientèle.

Oracle devrait ainsi proposer son assistance aux clients travaillant déjà avec ses logiciels sur des serveurs Windows et les encourager à basculer vers les mêmes logiciels sur des serveurs Windows Hyper-V ou Windows Azure. Au passage, les utilisateurs profitent du portage gratuit de leurs licences de produits Oracles sur Windows Azure ainsi qu'une nouvelle licence mobile.
La compatibilité avec Hyper-V et Azure est déjà disponible pour les clients, mais le partenariat ne s'arrête pas là puisque les deux sociétés ont annoncé souhaiter rendre l'intégralité des services Oracle 100% compatible avec Windows Azure, y compris le support Java.

De son côté, Microsoft devrait ajouter de nouvelles infrastructures côté serveurs et installer des versions préconfigurées d' Oracle Database et de serveurs Oracle Weblogic pour ses clients qui n'ont pas de licences Oracles.

Face au développement des divers services Cloud du marché, les deux sociétés ont sans doute fini par préférer s'allier pour continuer de dominer le marché que de continuer de se déchirer au profit des sociétés émergentes. De son côté, Oracle a toutefois annoncé souhaiter développer d'autres partenariats avec Salesforce et Netsuite.

Par Mathieu M.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Congo : Luis Fernandez sélectionneur ?

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Congo : Luis Fernandez sélectionneur ?
La fédération de football de la République Démocratique du Congo, a commencé la recherche d'un successeur au sélectionneur national, Claude Le Roy, dont le contrat a été résilié à l'amiable la semaine dernière. Luis Fernandez serait l'un des candidats.

Libre de tout contrat depuis décembre 2011, et son départ d'Israël, Luis Fernandez pourrait rebondir du côté de la RD Congo. Selon Afrik-Foot, l'actuel consultant de RMC figure en bonne place sur la liste des dirigeants locaux. Outre l'ancien coach du PSG, Pierre Lechantre, ancien sélectionneur du Cameroun, serait également un candidat sérieux pour le poste. Un technicien local pourrait toutefois être préféré à un homologue étranger. Alors, c'est Otis N'Goma, ancien adjoint de Le Roy et de Claude Nouzaret chez les Léopards, qui fait figure de favori selon la même source.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Congo : 47% de veuves maltraitées par les familles de leurs conjoints

BRAZZAVILLE (Xinhua) - Le gouvernement congolais a déploré qu'une forte proportion de femmes et leurs enfants soient maltraités après le décès de l'époux et père.
Alors que le monde célébrait la Journée internationale de la veuve, le 23 juin, la ministre congolaise des Affaires sociales et de la solidarité, Emilienne Raoul a attiré l'attention de la communauté congolaise sur la progression des maltraitances à l' égard de cette catégorie de femmes.

« L'année 2013 n'est pas terminée mais parmi les veuves identifiées par les circonscriptions d'action sociale à Brazzaville, 47% ont été chassées du toit familiale », a-t-elle indiqué.

La pratique est de plus en plus courante dans ce pays. Après la mort du mari, souvent principal pourvoyeur des moyens de subsistance de la famille, les proches de sa famille d'origine récupèrent l'essentiel des biens légués par le défunt, y compris la maison s'il en existait. Ainsi, des veuves se retrouvent sans toit avec des orphelins sous la main.

Les services des Affaires sociales qui s'occupent de la question explique la montée de ce phénomène surtout par « la cupidité et la propension à un enrichissement illicite » de la part des proches des défunts. Dans cet esprit la Journée internationale de la veuve a été placée sous un thème évocateur : « Veuves et orphelins : la perte de l'époux, la perte du père = perte du toit ».

Selon les veuves, la cupidité seule cependant n'explique pas le phénomène. La situation des veuves et des enfants au Congo est, entre autres, caractérisée par « une quasi-absence de protection sociale tant du point de vue de la sécurité sociale que de la protection juridique », a soutenu Colette Mfoundou, une porte parole des veuves.

Dans ce pays, les références légales en la matière sont la loi portant protection de l'enfant et le code de la famille congolaise. Ce dernier code est actuellement en instance de révision et semble ne plus répondre à toutes les exigences de l' heure.

Une de ses dispositions sur la question stipule : « En toute circonstance, le conjoint survivant aura droit au maintien dans l' habitation principale, pendant une durée d'un an, à compter du décès ou jusqu'au règlement amiable ou judiciaire de la succession. Les héritiers pourront, avec son accord, reloger le conjoint survivant en dehors de l'habitation principale, dans les conditions analogues de ce qu'il connaissait du vivant du défunt ».

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Parfait Young, « Sans un bon producteur, Il y a beaucoup de choses qu’on n’arrive pas à concrétiser »

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Parfait Young, « Sans un bon producteur, Il y a beaucoup de choses qu’on n’arrive pas à concrétiser »
Parfait Young, artiste aux multiples facettes vient de sortir son premier album. Pour le plus grand plaisir des mélomanes qui connaissent déjà ses qualités d’arrangeur, il dévoile enfin « cette fusion de visages qui donne à la fin un seul ».

bSTARDUCONGO : « [LE VRAI VISAGE » a été présenté au public le 28 septembre 2012, au centre culturel russe. Ensuite il y a eu le concert unique à l’Institut français du Congo (ex-ccf) au mois de mars 2013. Vous êtes toujours dans la promotion de l’album, dîtes-moi quel effet cela fait lorsqu’on tient dans ses mains « son premier bébé» ?

Parfait Young]b : Pour toute personne au monde, avoir un bébé c'est quelque chose de merveilleux. C’est vraiment un sentiment de joie.

STARDUCONGO : Votre concert à l’Institut français de Brazzaville au mois de mars dernier, a fait l’unanimité. Il y avait une bonne organisation et vous avez réussi presque à remplir la salle. Vous devez avoir derrière vous une équipe bien rôdée ?

Parfait Young
: C’est grâce à mon staff d’abord. Mais dans toute chose c’est la volonté qui compte. Pour un premier spectacle, rien que le décor de la scène a couté beaucoup d’argent. Il y’avait le plein lors du concert à l’IFC mais ce sera plus que ce que vous avez vu. Ce n’est qu’un début.

STARDUCONGO : Parfait Young serait-il à la recherche d’un producteur ?

Parfait Young:
c’est un artiste qui sait ce qu’il fait, qui est précis. Son rêve c’est d’avoir un très grand producteur qui pourra faire en sorte que l’artiste ressorte tout ce qui est dans sa tête. C’est le besoin primordial. Il y a beaucoup de choses qu’on n’arrive pas à concrétiser.

STARDUCONGO : Vous travaillez dans le milieu de la musique depuis un bon nombre d’années. Qu’est-ce qui vous a poussé aujourd’hui à enregistrer votre premier album ?

Parfait Young
: Je suis dans le milieu de musique depuis l’âge de 4ans, je chantais dans la chorale. Donc, sortir mon CD n'est que la suite logique de mon destin.
« Le vrai visage » a pris le temps nécessaire parce-que de nature, je ne suis jamais pressé et j’aime la perfection. Tout le disque a été presque réalisé dans mon home studio (PROMIUS) qui n'est que ma salle d’arrangement. Il y a quatre titres dans l’album parce-que mon staff a pensé qu’il vaut mieux commencer par quatre au lieu de mettre beaucoup de titres sur le marché pour aucun résultat.

STARDUCONGO : On sent dans cet album plusieurs influences : rumba, salsa, jazz, c’est très éclectique. Comment définiriez-vous votre style musical ?

Parfait Young: Pour la pluralité de rythmes c'est normal. Parfait Young fait de la musique de recherche en ajoutant sa touche personnelle.
Mon style c’est une fusion de plusieurs musiques. J’ai eu à collaborer avec beaucoup d’artistes différents, j’ai intériorisé tout cela. A la fin quand je compose c’est normal que tout cela ressorte.

STARDUCONGO : Le titre : « LE VRAI VISAGE » a une signification ?

Parfait Young : C’est un titre très significatif. Je suis preneur de son, arrangeur, guitariste, chanteur, il fallait bien que le public découvre cette fusion de visages qui donne à la fin un seul.

STARDUCONGO : Votre CD est-il déjà distribué ? Où peut-on l’acheter ?

Parfait Young: Jusqu'à présent le disque se vend par téléphone en appelant aux numéros: 00242 05 525 63 36 // 00242 06 630 89 50.
Le CD sera très bientôt dans les maisons de distribution. C’est nous qui retardons, parce qu’on ne sait pas contrôler le marché. Donc on ne peut pas prendre le risque de mettre l’album dans les mains des distributeurs. S’il y en a qui se décide sérieusement à prendre en charge la distribution, à ce moment-là on signe un contrat et on peut céder le disque.

Propos recueillis par CAROLE MANDELLOcarolemandello@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Diaspora. Le Collectif CCAO désigne ses représentants en Afrique de l’Ouest

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Diaspora. Le Collectif CCAO désigne ses représentants en Afrique de l’Ouest
Cotonou, (Starducongo.com) - Moins d’un mois après le lancement du CCAO (Collectif Congolais de l’Afrique de l’Ouest), la nouvelle organisation désigne ses représentants en Afrique de l’Ouest.

Le président Fresnel Poungou Mouelé a entamé une mini-tournée à travers l’Afrique de l’Ouest où son bureau a procédé à la mise en place de ses représentants.

En compagnie du Vice-président, Lylian Gilchrist Villotte Nkouka-B, et de la Chargée culturelle du Collectif, Bénédicte M'vouama, le Bureau du CCAO s’est rendu en premier à Cotonou au Bénin où M. Chanel Goma et Mme. Gerlyse Nsonde ont été désignés représentants du CCAO au Bénin.

Au cours de leur séjour, les responsables du CCAO ont échangé avec des ressortissants congolais présents sur place et rencontré les talents de la diaspora. A l’instar de la chanteuse de gospel Dulcie Kiyindou résidant au Bénin.

Le Bureau a également rencontré la présidente de la Mutuelle des femmes congolaises au Bénin(MFCB) lors d’une grande soirée du groupe N’SAMINA (Collectif des artistes congolais de la diaspora au Bénin), organisée au Centre culturel de Tchif à Cotonou.

Enfin, dans un tout autre registre, le Bureau a été reçu par le promoteur du festival « Feux de Brazza », M. Gervais Hugues Ondaye.

Membre du C.I.M (Conseil international de la musique) et conseiller socioculturel du Maire de Brazzaville, ce dernier « a accepté de venir en aide au Collectif en lui prodiguant ses conseils », s’est réjouit Lylian Gilchrist Villotte Nkouka-B.
Dans le cadre de sa tournée, l’équipe du Collectif CCAO se rendra ensuite au Ghana, autre pays de la région Ouest-Afrique.

Patricia Engali
redaction@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Koffi Olomide : son cortège frôle un accident mortel à Mbanza- Ngungu

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Koffi Olomide : son cortège frôle un accident mortel à Mbanza- Ngungu
Le cortège du patron de Quartier Latin accompagné de ses musiciens a frôle un accident mortel à Mbanza- Ngungu où son groupe s’est produit le week end dernier.

« Mopao Mokonzi Quadrakoraman », Koffi Olomide accompagné de sa protégée Kanku Candy mieux connue sous l’appellation de « Cindy le Cœur » et le groupe Quartier Latin International se sont produits avec succès le samedi dernier au stade de Kitemoko, dans la contrée de Mbanza-Ngungu, dans la province du Bas-Congo. Sans sponsor, l’artiste chanteur a félicité la performance de ses musiciens du Quartier Latin International.

Mais un fait regrettable mérite d’être mentionné. En effet, son cortège a connu un accident à l’aller.

Sa luxueuse voiture a été légèrement endommagée et l’on rapporte que l’excès de vitesse serait à la base de cet incident. Plus de peur que de mal, il n’y a pas eu de blessés, mais cela a obligé Koffi Olomide d’annuler le concert qu’il devait donner dans la soirée, à son retour.

17 jours après la sortie du single de six chansons de « Cindy le Cœur » qui occupe déjà une place de choix dans le hit parade Trace Afrika et dont la présentation du disque se fera dans les prochains jours, « Koffi Central » se concentre sur son dernier album dénommé « 13ème apôtre » puisque versé désormais dans la production privée, compte surprendre ses nombreux mélomanes par des mélopées hors du commun telle la chanson éducative pour la jeunesse intitulée « Mwana ».

Franck Ambangito/L’Avenir

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Des pièces de monnaie de plus en plus rares à Brazzaville

Depuis quelque temps, les Brazzavillois se plaignent de ce que les pièces de monnaie de 100 francs CFA, 50 francs CFA, 25 francs CFA, 10 francs CFA et 5 francs CFA, se font de plus en plus rares sur le marché. Difficile d'en trouver même dans les supermarchés, les pharmacies, les boulangeries et les véhicules de transport en commun, où l'on trouvait plus facilement ces pièces.

Des pièces de monnaie de plus en plus rares à Brazzaville

Les commerçants ont de la peine à trouver la monnaie pour rendre la différence à leurs clients. Dans le bus, où la course est fixée officiellement à 150 francs FA, le contrôleur prévient que seule la personne disposant des pièce est autorisée à monter. Il crie : «2000F, 1000F, 500F, pas de monnaie», cela pendant toute la journée.

Les chauffeurs de taxi ne disposent plus jamais de pièces de monnaie, à tel point que la somme de 1000 francs CFA est devenue la règle, alors que le prix de la course est fixé à 700 francs CFA.

«Il y a trois semaines, je n'ai pas pu acheter des produits à la pharmacie, parce que qu'il n'avait pas de pièce à me rendre en échange. La vendeuse m'a signifié qu'elle avait déjà refoulé plusieurs clients avant moi pour la même raison», a expliqué une citoyenne ayant requis l'anonymat.

Lorsqu'on dispose d'un billet de 500 francs CFA, 1000 francs CFA et 2000 francs CFA, l'achat des biens courants comme le pain ou le sucre devient un véritable casse-tête, surtout aux premières heures de la matinée.

Face à cette situation qui perdure, les interrogations persistent. Mais aucune autorité en charge de la monnaie ne donne d'explication.

Messilah Nzoussi

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Un dimanche dans une église de réveil

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Un dimanche dans une église de réveil
Quand ma tante qui est une fervente croyante d'une église de réveil fait sonner mon téléphone ce dimanche matin, j'hésite de décrocher avant de le faire sous son insistance. Depuis quelques jours, elle me harcèle pour aller assister au culte du dimanche dans son église où dit on le pasteur opère des miracles avec des prédications émotives. Mais plus pragmatique qu'elle, je ne souhaitais pas du tout aller assister à ce que j'imaginais déjà. Elle y va depuis 5ans et sa vie n'a changé en rien positivement, mais l'espoir et la fée étaient son quotidien.

A notre arrivée, dans ce grand hangar qui sert d'église vers 08h 16mn, je suis surpris de constater qu'évidemment cette église fait tabac par la présence massive des croyants si tôt. Chacun vient à une telle heure y trouver une bonne place, pour certainement suivre mieux la prédication ou peut être recevoir en premier les onctions du prédicateur, pour qui du reste un autel tout en rouge est monté en son honneur. Pendant un moment, cela m'a rappelé Mobutu Sese seko et Bokassa Ier. Dieu a-t-il besoin de tout ça ? Les fideles ont toujours une explication à vous donner pour défendre leur « pasta »

L'identité remarquable des Congolais est la seule chose qui me plait pendant qu'une hôtesse nous installe légèrement à droite de l'autel du pasteur .Ah oui ! Je suis fan des louanges et l'orchestre de cette église avait vraiment de la matière m'entrainant dans la foulée à danser sous l'admiration de ma tante qui à ce moment cru m'avoir eu. De plus en plus, les fideles arrivaient, ainsi que les membres du bureau qui s'installèrent tous juste à gauche de l'autel.


Et ce que je redoutais arriva ; sous les vibrations de ce que je refuse de qualifier de chorale, mais plutôt d'orchestre, des hôtesses munies chacune d'un panier commencèrent à longer les couloirs pour récolter la quête. Je fis alors la remarque à ma tante sur cet agissement avant même l'arrivée du pasteur, et comme je pouvais m'y attendre elle trouva des mots accompagnés des versets Bibliques pour justifier cela. « Quelle bornée ! » je grinçai au fond de moi sans évidemment glisser une monnaie dans le panier, bien que ma tante ait donné pour nous deux.

Les paniers sont déposés juste devant près de l'autel où un diacre prend le micro pour bénir ce que selon lui Dieu vient de donner à l'église. Juste après une maman « Mokambi » arrangue les fideles et nous demande de nous lever pour accueillir le pasteur qui fait son entrée en compagnie de sa femme et ses deux filles. Pochette blanche à la main, le pasta l'agite avant d'arriver à son autel où il reste debout, tandis que sa femme et filles prennent place légèrement à gauche où trois chaises spéciales les sont réservées. Ce positionnement protocolaire m'indigne, mais ma tante comme toujours y trouve une justification. Entre temps l'orchestre enchaine les louanges et je me passe un moment de mon indignation en m'emportant dans la danse.

Du coup, je remarque que tout le monde se dirige vers l'autel, et là une fois de plus, il s'agissait d'une autre partie des « Mabonza ».Wahouuu ! Quelle église ?... « C'est pour souhaiter la bienvenue au pasteur » justifie une fois de plus ma tante. L'état d'aliénation des fideles était exceptionnel et mon admiration au pasta d'avoir réussi cela. Le pasteur prend la parole et dans la foulée salue ses fideles et prie pour bénir ses entrées financières.

Une fois de plus je m'exclame quand on procède à une autre quête avant que le pasteur ne passe à la prédication du jour qui elle a pour thème LA DÎME...Et juste après cette prédication des enveloppes blanches sont proposées aux fideles et ma tante me glisse que c'est pour les donations spéciales en faveur de l'église, suivi de la quête habituelle du culte du dimanche. Apres avoir comptabilisé les MABONZA, je fis savoir à ma tante que la prédication n'avait rien d'enseignement ! « Yo oza na milimo mabe na kati na yo...Donc mateya ya DÎME o landi yango té ? Bible elobi to pessa ka DÎME »
A ma sortie de ce que ma tante appelle église j'avais du mal à croire que tant de gens pouvaient se laisser hypnotiser par un charlatan de ce genre ? Mais, la pauvreté dont souffre le peuple est la raison fondamentale de ce repli vers ces aventuriers qui profitent au nom de DIEU.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

4ème édition du Festival concours «Tobina». Danse et création à l’honneur à Paris

Image may be NSFW.
Clik here to view.
4ème édition du Festival concours «Tobina». Danse et création à l’honneur à Paris
France, (Starducongo.com) - La quatrième édition des Rencontres chorégraphiques de Paris 10ème, Festival « Tobina », se déroulera dans les prochains jours à Paris. Avec la participation de plusieurs artistes de danse africaine, danse contemporaine ainsi que de jazz et hip hop.

Conférences, débats, concours de danse, exposition d’artistes plasticiens et d’instruments traditionnels, stages de danse et divers spectacles figurent au programme de cette manifestation artistique dont le coup d’envoi sera donné vendredi 5 juillet prochain dans la capitale française.

Organisé sous le signe « Danse et création du lien et Social », le Festival Tobina « est un temps fort artistique et culturel. Il s’agit, à la fois, de permettre aux jeunes artistes de se faire connaître et d’échanger sur leurs pratiques, mais aussi d’apporter un plus au développement socioculturel du quartier de la Grangeaux-Belles par l’accueil de spectacles, d’animations et de stages gratuits », souligne l’Association organisatrice NGAMB’ART. Et d’ajouter qu’« à travers ces rencontres, nous désirons également faciliter l’insertion personnelle et l’épanouissement de jeunes en difficulté suivis par des équipes de prévention ou par des centres sociaux (AJAM et Club Tournesol, Centre Social AIRES 10, Aremedia, Emmaüs)».

Trois jours durant, les festivaliers seront invités à participer aux différentes activités organisées sous la direction artistique de Kévin Kimbengui.

Durant ces rencontres, « 15 compagnies et/ou artistes sélectionnés auront chacun 15 minutes sur scène devant le public, le jury et les producteurs », explique la maquette du festival. Qui précise que trois prix récompenseront les lauréats.
Il est à souligner que le Festival « Tobina », qui se déroulera jusqu’au 7 juillet, accueillera exceptionnellement la compagnie Transe-en-Danse de Belgique en représentation hors concours.

Patricia Engali
redaction@starducongo.com

Renseignements et inscriptions
Association NGAMB’ART
9, rue Louis Blanc – 75010 PARIS
 + 33 (0) 1 42 03 26 45 – + 33 (0) 6 50 73 43 53
Courriel : ngamb-art@wanadoo.fr
www.reseau-festival-tobina.com
https://www.facebook.com/festivaltobina?ref=ts&fref=ts

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Thione Niang à Barak Obama Lettre du 18 juin 2013

Le 18 juin 2013

President Barack Obama
La Maison Blanche
1600 Pennsylvania Avenue, N.W.
Washington, DC 20500
Cher Mr. President:


Permettez-moi d’abord de vous remercier pour le leadership exemplaire que vous ne cessez d’offrir à notre grande nation. Comme par le passé, je reste déterminé à travailler avec vous et l’Administration pour promouvoir des politiques qui offriront aux Américains plus d’opportunités pour améliorer leur qualité de vie et démontrer notre engagement à promouvoir la paix et le développement dans la communauté mondiale.

En tant que sénégalo-américain et me rendant fréquemment dans mon pays d’origine pour y inspirer les jeunes, je veux que vous sachiez que votre présence dans cette région aura un effet absolument transformant pour les jeunes. J’ai eu le privilège de partager mon histoire en Amérique, le fait d’avoir travaillé pour vous lors de vos deux campagnes et de m’engager auprès des jeunes au Sénégal et à travers le continent africain – vous leur donnez l’espoir et les inspirez au-delà de leurs plus folles imaginations.

Depuis l’élection de novembre 2012, j’ai passé beaucoup de temps à travailler dans toute l’Afrique sub-saharienne et à rencontrer les dirigeants africains, les organisations de la société civile et des jeunes. Ces voix africaines ont partagé leurs espoirs et ont discuté de leurs problèmes et du rôle que les Etats-Unis pourraient jouer en tant que partenaires pour promouvoir la paix, le développement et la sécurité sur le continent africain.

Là-bas, j’ai visité de nombreuses universités et passé beaucoup de temps à écouter les jeunes, l’avenir du continent.

L’objectif principal de cette lettre est de partager les leçons tirées des discussions sur le terrain au cours des sept derniers mois. Une attention particulière est accordée au rôle de la jeunesse dans l’avenir de l’Afrique et à l’importance que je vous invite à donner aux questions qui touchent la jeunesse africaine et leur potentiel pour contribuer à la croissance et au développement du continent.

Votre voyage se déroule au moment où aux États-Unis les partenariats avec l’Afrique font partis des sujets phares, notamment concernant l’augmentation des investissements des États-Unis en Afrique, les partenariats bilatéraux, la sécurité, les infrastructures et le commerce. Huit des dix économies les plus dynamiques du monde se trouvent en Afrique. Selon la Fondation Mo Ibrahim, «L’Afrique est le seul continent dont le nombre de jeune croît significativement. Dans moins de trois générations, 41% de la jeunesse du monde sera africaine. D’ici 2035, la population active de l’Afrique sera plus grande que celle de la Chine. »

Aujourd’hui, environ soixante-cinq (65) pour cent de la population d’Afrique sub-saharienne est âgée de moins de 35 ans et cinquante (50) pour cent, au sein de ce groupe d’âge est au chômage. Beaucoup sont livrés à eux-mêmes sans les moyens suffisants pour vivre. Alors que la jeunesse africaine peut-être invisible pour beaucoup, leur rôle est un élément essentiel et central dans l’avenir du continent. Beaucoup n’ont pas accès aux opportunités, sans espoir et sans accès à ce que Dieu nous a donné. Le temps est venu de répondre positivement

et de manière appropriée à leur besoin d’accéder à des opportunités, à l’éducation, à un environnement sûr et sécurisé à partir duquel apprendre, vivre, grandir et travailler.

Monsieur le Président, je recommande que vous utilisiez votre voyage historique en Afrique pour mettre en évidence la nécessité d’autonomisation des jeunes africains et d’encourager les gouvernements africains et leurs dirigeants à utiliser leurs ressources pour garantir l’accès à l’éducation pour tous les enfants de leurs pays respectifs.

Pour beaucoup de jeunes dans les pays africains, l’accès à l’éducation reste un rêve inaccessible, car la majorité de ceux qui ont eu la chance d’avoir un tel accès constate qu’ils doivent le faire dans des conditions très difficiles. Par exemple, lors de ma visite à Dakar, au Sénégal, le mois dernier, j’ai rencontré une jeune femme inscrite à l’Université Cheikh Anta Diop, une université conçue pour accueillir 35.000 étudiants, mais en accueillant actuellement 85,000. Elle est la première de sa famille à venir du village pour aller à l’université. En raison de la surpopulation, les élèves doivent s’asseoir sur le sol, s’ils souhaitent assister aux cours. Dans un autre pays, une étudiante m’a demandé comment elle serait en mesure de poursuivre ses études sans avoir de quoi manger. Aissatou, une étudiante, a indiqué qu’elle n’avait pas mangé depuis deux jours. Elle m’a dit ce qui suit: «Je n’ai rien à manger, je ne peux pas acheter mes fournitures scolaires et aucun des membres de ma famille ne peut se le permettre ». Monsieur le Président, j’ai rencontré beaucoup d’Aissatou en Afrique.

Les étudiants n’ont pas accès à des bibliothèques, à des livres et aux autres données fondamentales nécessaires à l’éducation. Le continent africain ne se développera pas si nous n’investissons pas dans l’éducation de nos jeunes. Ils seront les leaders de demain et doivent être prêts à concourir localement et internationalement.

Monsieur le Président, pouvez-vous imaginer combien de jeunes gens sont là, en Afrique, et qui ont le potentiel pour devenir comme vous? Le malheur est que beaucoup trop d’entre eux n’auront jamais accès aux possibilités d’atteindre leur plein potentiel. Nous les perdons. Ils sont désespérés. Certains prennent des risques en bateaux dans des eaux dangereuses en direction de l’Europe. Beaucoup d’entre eux sont morts pendant le voyage à la recherche d’une vie meilleure, d’un avenir meilleur. Ces choses se produisent pendant que vous lisez cette lettre. Le plus triste est que l’Afrique possède d’abondantes ressources naturelles et un capital humain important, et pourtant, ses citoyens ne peuvent pas se permettre d’avoir une éducation ou une vie décente. Beaucoup vivent avec moins d’un dollar par jour. Avec Give1Project, nous continuons à travailler avec les jeunes d’Afrique par la promotion de l’esprit d’entreprise, la formation éthique de développement du leadership et des initiatives d’émancipation. À la suite de séances de formation en leadership offertes par l’organisme, les jeunes de Lakossa au Bénin ont eux-mêmes obtenu un financement et ont construit une école pour les jeunes enfants dans leurs communautés. Ils ont depuis développé 40 projets en un an qui ont touché la vie de plus de 15.000 personnes dans leur communauté.

Cependant, Monsieur le Président, les réalités africaines et le futur du continent demandent que tous ses enfants aient un accès égal à l’éducation. Sans cela, seul un très petit nombre bénéficiera des ressources du continent et seuls quelques-uns seront en mesure de contribuer à son développement. Seuls les riches deviendront plus riches. En mettant l’accent sur l’éducation de tous les jeunes du continent, nous allons équiper ses nations à gérer leur propre développement.

Le rôle et l’éducation des filles sont d’importants problémes en Afrique. Les filles n’ont tout simplement pas les mêmes chances de réussir. Si nous sommes sérieux au sujet de l’évolution du continent et même du monde, nous devons éduquer et élever nos jeunes femmes au même niveau. Il n’existe pas de nation qui peut se développer sans le développement de la parité entre les sexes, parmi les jeunes dont la nature nous dote.

Monsieur le Président, je vous remercie d’avance pour votre considération. J’espère que cette lettre vous poussera à aborder le rôle de la jeunesse de l’Afrique dans son développement et la nécessité de lui assurer l’accès à l’éducation pour gérer efficacement ses ressources et son développement. L’accès à l’éducation doit être assuré pour la masse de jeunes et de filles au même titre qu’il est garanti pour les enfants des élites.

Respectueusement,

Thione Niang
Give1 Project – Founder/President

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Championnat départemental de handball de la ligue de Pointe-Noire : AS Cheminot dames aux abois

L'équipe senior dame de l'Association sportive Cheminot a été atomisée à domicile, le 23 juin, par Tié-Tié Sport sur un score sans appel de 10 à 41, en match comptant pour la quatrième journée du championnat senior dame de la ligue de Pointe-Noire
Malgré l'entame de jeu difficile de Tié-Tié Sport, mené au score 0-2 jusqu'à la 7eminute, les dames de Cheminot ont finalement cédé à la pression de leurs adversaires qui ont renversé le match à leur avantage. Physiquement et techniquement supérieures, les joueuses de Tié-Tié menaient à la mi-temps 16 buts à 5. Poussées par la colère et les encadrants techniques, à la deuxième période, les pouliches de Jonas Yamba ajoutaient 5 autres buts à leur score alors que Tié-Tié les chargeait. Score final, 41-10.
À l'issue de cette troisième défaite consécutive de Cheminot senior dames, l'entraîneur a indiqué : « Nous sommes en train de sauver la saison et pour cela, nous devons éviter des forfaits. Cette saison nous avons enregistré 90 % de départs de nos joueuses dans les équipes de la place et d'autres à Brazzaville, mais à la fin de la saison, on fera un recrutement pour refaire l'équipe. »
Chez les juniors dames, Banko a laminé le Centre technique Avenir de handball (CTAHB) sur le score de 54 à16 tandis que dans la même catégorie, Tié-Tié Sport a battu Munisport sur le score de 28 à 22.
Chez les cadettes, Banko a disposé de CTAHB, 35-14. L'entraîneur du centre, Phileas Sita Batantou, a salué ses pouliches qui jouaient leur premier match officiel. « La défaite des juniors me choque énormément parce que nous attendions ce championnat depuis longtemps. Malheureusement, nous avons perdu dans les deux catégories. L'équipe des juniors a eu du mal parce que ces derniers temps, le rythme d'entraînement était insuffisant et cela a pesé sur l'aspect technique du match. Il y a eu beaucoup d'occasions ratées. Quant aux cadettes, la majorité touchait pour la première fois le ballon officiel correspondant à leur niveau », a dit l'animateur du centre qui souhaite corriger les lacunes constatées lors de la prochaine journée.

Charlem Léa Legnoki

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Musique : Passi et ses invités envoient le public du Divan du monde au septième ciel

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Musique : Passi et ses invités envoient le public du Divan du monde au septième ciel
Entouré de ses prestigieux invités, parmi lesquels Manu Dibango, Fally Ipupa, Calogero ou encore Meiway, Passi a présenté son nouvel opus « Ère Afrique » au public du Divan du monde, à Paris, mardi soir. Un concert « chaud bouillant » qui a fait planer l'assistance. Atterrissage et décollage réussis pour le rappeur congolais

Une salle intimiste mais pleine à craquer, une liste d'invités de renom et un choix de titres allant du « Secteur A » à son dernier album, « Ère Afrique »... tous les ingrédients étaient réunis pour passer une bonne soirée au Divan du monde. Et ce fut le cas, mardi soir, à l'occasion de la présentation du dernier opus de Passi. L'ambassadeur de choc de la compagnie Ecair est resté dans un registre aérien avec ce sixième album solo.

C'est en effet un tour d'Afrique musical qu'il offre avec « Ère Afrique », puisque l'auditeur va parcourir le continent du Cameroun (Manu Dibango) au Sénégal (Naby et Moussier Tombola), de Kinshasa (Fally Ipupa et La Piosh) à Monrovia (Peeda), de la Côte d'Ivoire (Meiway) au Cap-Vert (Jacky Brown). De son port d'attache de Brazzaville, la flotte aérienne d'Ère Afrique dessert également les Antilles et les Caraïbes (le Cubain Roldan, l'Haïtienne Milca ou encore le Jamaïcain Nicky B), donnant un impact international à ce disque, qui fera probablement danser les foules cet été.

Tous les featuring présents sur l'album n'étaient pas présents mardi soir, mais la liste des invités était éloquente, pour le plus grand plaisir du public. À qui Passi a offert un final qui cartonne toujours : trois titres d'un Bisso na Bisso (photo 3) qui ne vieillit pas. Car si les voyages forment la jeunesse, voyager sur Ère Afrique semble l'entretenir. Le commandant de bord Passi vous remercie d'avoir choisi Ère Afrique et espère que vous avez passé un agréable voyage.

Camille Delourme

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

La 1ère cérémonie des Trophées francophones du cinéma sur TV5/Canada le 3 juillet

Image may be NSFW.
Clik here to view.
La 1ère cérémonie des Trophées francophones du cinéma sur TV5/Canada le 3 juillet
La cérémonie des premiers Trophées francophones du cinéma animée par Boucar Diouf le 29 juin courant à Dakar, sera diffusée à travers la planète sur les ondes de TV5 Monde selon l’horaire suivant :

CANADA : mercredi 3 juillet à 00 h 30 et ensuite disponible au www.tv5.ca durant 7 jours ;
FRANCE, BELGIQUE, SUISSE : lundi 1er juillet à 21 h 00 ;
EUROPE : mercredi 3 juillet à 21 h 00 heure de Paris / Berlin ;
AFRIQUE : lundi 1er juillet à 22 h 45 heure de Paris
MAGHREB/ORIENT : mercredi 3 juillet à 00 h 00 heure de Paris / 23 h 00 heure de Rabat, Alger, Tunis ;
ASIE : mercredi 3 juillet à 17 h 30 heure de Paris / 22 h 30 heure de Bangkok ;
PACIFIQUE : lundi 1er juillet à 16 h 30 heure de Paris / 23 h 30 heure de Tokyo ;
ÉTATS-UNIS : mardi 2 juillet à 05 h 00 heure de Paris / lundi 1er juillet à 23 h 00 heure de New York ;
AMERIQUE LATINE : mardi 2 juillet à 04 h 00 heure de Paris / lundi 1er juillet à 23 h 00 heure de Buenos Aires.

Rappelons que 72 films en provenance de 27 pays différents ont été soumis aux membres de l’Académie francophone du cinéma. À l’issue de ce premier tour de vote, 46 nominations se sont réparties sur 18 long-métrages et 5 court-métrages provenant de toute la francophonie :

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DE L'INTERPRETATION FEMININE

Evelyne Brochu dans Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette
Emilie Dequenne dans À perdre la raison de Joachim Lafosse
Rachel Mwanza dans Rebelle de Kim Nguyen
Djamila Sahraoui dans Yema de Djamila Sahraoui
Léa Seydoux dans le film L’enfant d’en haut de Ursula Meier

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DE L'INTERPRETATION MASCULINE

Yvan Attal dans 38 Témoins de Lucas Belvaux
Slimane Dazi dans Rengaine de Rachid Djaïdani
Serge Kanyinda Rebelle de Kim Nguyen
Melvil Poupaud dans Laurence Anyways de Xavier Dolan
Saul Williams dans Aujourd’hui d’Alain Gomis

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DU SECOND RÔLE FEMININ

Zorah Benali dans Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette
Aïssa Maïga dans Aujourd’hui d’Alain Gomis
Manie Malone dans Viva Riva de Djo Tunda Wa Munga
Sabrina Ouazani dans Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette
Natacha Régnier dans 38 Témoins de Lucas Belvaux

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DU SECOND RÔLE MASCULIN

Dans cette catégorie, six nominations au lieu de cinq pour cause d’ex æquo
Eriq Ebouaney dans Le collier du Makoko de Henri Joseph Koumba-Bididi
Mohamed Majd dans Zéro de Nour Eddine Lakhmari
Aziz Ouédraogo dans Moi Zaphira d’Apolline Traoré
Yousef Sweid dans Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette
Samir Yahia dans Yema de Djamila Sahraoui
Malamine Dramé « Yalenguen » dans La pirogue de Moussa Touré

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DU SCÉNARIO

Jamal Belmahi dans Les Chevaux de Dieu de Nabil Ayouch
Alain Gomis dans Aujourd’hui d’Alain Gomis
Eric Névé et David Bouchet dans La pirogue de Moussa Touré
Kim Nguyen dans Rebelle de Kim Nguyen
Christophe Wagner et Frédéric Zeimet dans Angle mort de Christophe Wagner

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DE LA RÉALISATION

Xavier Dolan dans Laurence Anyways de Xavier Dolan
Alain Gomis dans Aujourd’hui d’Alain Gomis
Joachim Lafosse dans À perdre la raison de Joachim Lafosse
Cyril Mennegun dans Louise Wimmer de Cyril Mennegun
Djamila Sahraoui dans Yema de Djamila Sahraoui

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DE LA CONTRIBUTION TECHNIQUE

Nicolas Bolduc pour la photographie du film Rebelle de Kim Nguyen
Jérôme Colin et Jérôme Le Maire pour la photographie du film Le thé ou l’électricité de Jérôme Le Maire
Issa Karantao pour la photographie du film Moi Zaphira d’Apolline Traoré
Raphaël O’Byrne pour la photographie du film Yema de Djamila Sahraoui
Thomas Letellier pour la photographie du film La pirogue de Moussa Touré

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DU COURT MÉTRAGE

LA NUIT DE L’OURS réalisé par Samuel Guillaume et Frédéric Guillaume
CE N’EST PAS UN FILM DE COW BOYS réalisé par Benjamin Parent
LE CRI DU HOMARD réalisé par Nicolas Guiot
BANC PUBLIC réalisé par Djamel Allam
PRESIDENT DIA réalisé par Ousmane William MBaye

NOMINATIONS POUR LE TROPHÉE FRANCOPHONE DU LONG MÉTRAGE

LES CHEVAUX DE DIEU réalisé par Nabil Ayouch
L’ENFANT D’EN HAUT réalisé par Ursula Meier
INCH’ALLAH réalisé par Anaïs Barbeau-Lavalette
LA PIROGUE réalisé par Moussa Touré
REBELLE réalisé par Kim Nguyen

Les Trophées francophones du cinéma bénéficient du soutien institutionnel de l’OIF et de l’appui des gouvernements français, belge, québécois, et sénégalais. TV5Monde en est le diffuseur international.

Site officiel : www.trophees-francophones.org
Twitter : #TropheesFrancophones
Facebook : www.facebook.com/trophees.francophones

Source: Communiqué

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Free Lance Contacts bien dans l’air du temps…. depuis 14 ans

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Free Lance Contacts bien dans l’air du temps…. depuis 14 ans
De bons résultats

De bons résultats pour l’image positive du Congo. Le tout en guise de satisfecit, a communiqué la responsable de Free Lance Contacts ; Esther Ahissou Gayama.

En effet, Free Lance Contacts est un organisme qui s’est spécialisé depuis plusieurs années sur la gestion de plusieurs activités, dans le domaine des prestations de services évalués sur une note dans l’ensemble satisfaisante. Notamment, des prestations à l’accueil, au protocole et à l’interprétariat lors des conférences, séminaires, colloques et autres cérémonies officielles et privées.
Ces résultats traduisent pour Free Lance Contacts des relations professionnelles dans le cadre économique, sociale et artistique de haut niveau, sous la houlette d’Esther Ahissou Gayama, et les bénéficiaires des services multiformes.

Des avancées déjà réalisées.

Free Lance Contacts est un organisme qui bouge ! Il a beaucoup évolué ces dernières années et cela va continuer. Au chapitre des réalisations et des projets, les exemples affluent. Chacun convient aujourd’hui que la réalisation des prestations à travers tout le Congo est une réussite. Irrigué par les nombreuses manifestations officielles, l’ensemble traduit un vrai « plus », aussi bien pour les populations en termes de qualité de vie que pour la valeur éducative des distractions des jeunes.

Favoriser la formation des jeunes dans le domaine des services

Un dispositif impulsé par Esther Ahissou Gayama favorise la formation des jeunes dans le domaine précis des services. Un pas de plus vers l’insertion des jeunes sur le marché du travail. En effet, vous êtes jeunes et avez un bon niveau de culture générale, vous êtes de bonne moralité et voulez vous ouvrir au monde - Rejoignez une équipe dynamique d hôtesses d’accueil et de guides interprètes qui œuvrent pour une image positive du Congo à travers des prestations précitées.- Vous rejoindrez Free Lance

Contacts pour un entretien personnalisé – L’ Agence est située au 62 Boulevard Denis Sassou Nguesso Ex Trésor Contacts ;06919131 - 066681775 - Courriel : freelancebzv@hotmail.com

Clément Ossinondé
clementossinonde@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Portrait de Jonas Bahamboula Mbémba Tostao : une légende du football congolais

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Portrait de Jonas Bahamboula Mbémba Tostao : une légende du football congolais
Né le 2 février 1949 à Brazzaville, Jonas Bahamboula Mbémba Tostao est l'une des perles rares du football national. Ce joueur au talent inégalable et doté d'un réel sens du fair-play, a marqué toute une histoire et demeure l'un des meilleurs joueurs congolais de tous les temps.

Jonas Bahamboula Mbémba Tostao commence à jouer au football dès son jeune âge à l'école primaire et dans les rues de Brazzaville, comme gardien de but puis comme ailier droit. Dans son quartier d'enfance de Poto-Poto, alors qu'il n'a que 12 ans, il devient vite fanatique de l'équipe de Patronage dont le seul rêve était de l'intégrer un jour. Il prend rapidement le surnom de « petit Moulélé », son mentor. Malheureusement, le divorce de ses parents va compromettre ses ambitions sportives, car il va rejoindre avec sa mère, le village de Matoumbou dans la région du Pool, et un peu plus tard celui de Jacob, actuellement appelé Nkayi.

C'est en 1964 à Mindouli, dans son village paternel, que Tostao prend la carrure d'une grande star et profite de la flamme qui brûle en lui en éblouissant de sa gestuelle footballistique inédite, les habitants de cette contrée. En 1967 à Kinkala, s'instaure la semaine culturelle au cours de laquelle chaque région doit présenter une sélection. Ainsi, avec la sélection du Pool, il saisit sa chance et fait une belle prestation qui lui permet de se faire connaître du grand public. Dès lors, il attire l'attention des grands clubs de la ville capitale.

En 1968, alors qu'il n'a que 18 ans, il intègre l'équipe des Diables noirs, une équipe truffée de joueurs talentueux, comme Matima, Bikouri, Ndzabana Jadot, Tandou, Lasconi, Déker et bien d'autres. Et là, c'est une nouvelle histoire qui commence. Les surnoms se succèdent : de « petit Moulélé » à « moustique », « Tostao » et « Ya Tao ». En effet, avec l'équipe des Diables noirs, qui sera d'ailleurs son club à vie, Tostao devient champion du Congo en 1977 et remporte la première Coupe de la ville la même année. Avec ses dribles et ses buts d'anthologie, dont certains vont faire lever le président Marien Ngouabi de son siège au stade de la Révolution, il sera couronné à plusieurs reprises « meilleur joueur de Brazzaville ».

Avec l'équipe nationale qu'il rejoint en 1970, Tostao est champion d'Afrique des Nations en 1972 à Yaoundé, meilleur ailier droit d'Afrique en 1972 et meilleur joueur d'Afrique centrale en 1973. Il a participé avec la sélection africaine en 1973, au Mondialito au Mexique.

Enfin, signalons que Jonas Bahamboula Mbémba Tostao a fait son jubilé en 1988. Avec ses 117 sélections, il a participé à trois CAN en 1972 à Yaoundé, en 1974 en Égypte et en 1978 au Ghana. Actuellement, il est conseiller spécial, chargé de recrutement à l'équipe des Diables noirs.

Prosper Mabonzo

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Chantal ZOCK. Une percée internationale d'une Congolaise de Brazzaville

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Chantal ZOCK. Une percée internationale d'une Congolaise de Brazzaville
Originaire du Congo Brazzaville, Chantal Zock représente un nouveau genre de leadership. Femme de débat et chef d’entreprise, La native de Brazzaville est animée d’une foi infaillible en l’avenir du continent, son action se traduit par un champ d’action pluridisciplinaire : l’entrepreneuriat, les médias et le développement économique. Actuellement directrice de publication des Magazines Afrique et du Magazine Nord-Américain Africa Winners, le Magazine qui célèbre le leadership des acteurs politiques et économiques à travers le monde. Le développement de son activité et son œuvre entrepreneuriale lui valent de se faire remarquer au niveau international, avec en 2011, une nomination au festival des perles organisé par la diaspora Afro-antillaise en Floride aux USA et d’un titre de la femme Congolaise de l’Année.

Elle se fait tout d’abord connaître en travers sa première Corporation, Mike. T import-export Inc.

Une société spécialisée dans la vente et la location des aéronefs. C’est dans le souci de participer au développement économique du continent à travers le transport aérien que la jeune femme Congolaise de Brazzaville se lance dans cette activité après la fin de son cycle universitaire en Amérique du Nord. en 2008, elle met en place le plus grand Cabinet conseil appartenant à une femme issue de l’immigration, Gareth Conseil qui se spécialise dans la formation des cadres Africains en droit international du Pétrole des minerais et de l’énergie. Soucieuse du manque des cadres formés dans ce domaine, la jeune femme organise des formations en Amérique du Nord et dans quelques pays Africains. Après un succès fulgurant, elle lance GARETH CONSULTING en 2009, une filiale du Groupe spécialisée dans la gestion d’entreprise, l’achat et la vente des corporations à l’échelle internationale.

Excellente communicatrice, consciente du pouvoir des médias, elle décide d’en faire usage dans son action pour le développement du continent par la mise en lumière des compétences des personnes issues du Continent à travers 20 magazines en Afrique. Elle est la fondatrice du réseau international des compétences Africaines. ‘’ AFRIQUE EXPERTISE’’ Ses projets principaux : La formation, le réseautage, le développement des partenariats et l’octroi des bourses d’études aux élèves du cycle primaire et secondaire en Afrique.

Le but premier du réseau Afrique Expertise est de créer une synergie de compétences entre les professionnels et les responsables des corporations en Afrique.

Après plusieurs invitations dans le monde en qualité de conférencière, elle est le récipiendaire du PRIX CONGO DIASPORA 2013 au palais des congrès de Brazzaville décerné à l’occasion de la cérémonie CONGO AWARDS. Elle est propriétaire d’un mensuel international des gens du Congo Brazzaville célébrant les compétences des personnes issues de ce pays disponible dans les kiosque et librairies dans deux grandes villes du Congo.

Toujours dans le souci de participer au développement économique de son pays d’origine, Chantal Zock met en place le réseau ‘’Congo Expertise’’, un réseau international des formateurs volontaires. Le but étant d’offrir des formations en gestion d’entreprise et d’accompagner les projets dans le domaine du développement économique au Congo.

Présidente de l’association ‘’MY LIFE ‘’ une initiative née en Amérique du Nord pour encourager l’éducation de la petite fille au sein du Continent Afrique et en Amérique Latine. Elle est diplômée en planification de développement IPD-AC. Titulaire d'un B.A en Économie - Sociologie, LL.M en gestion et communication Et d'un Diplôme de 2è cycle en Management obtenu à l'université LAVAL en Amérique du Nord orienté vers la réingénierie des processus opérationnels et le développement stratégique des entreprises.

Vidal Salama
Journaliste Elite

Contact: www.chantalzocktv.com / +1 (613) 709 45 48 / Chantal ZocK / Facebook / Twitter/ Linkedin
Les entreprises: www.lesmagazinesafrique.com / www.garethconseil.com / www.mike-t.org

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Fête de la musique.Prestation scénique des musiciens congolais au stade des Martyrs : ni vainqueur ni vaincu

Image may be NSFW.
Clik here to view.
Fête de la musique.Prestation scénique des musiciens congolais au stade des Martyrs : ni vainqueur ni vaincu
Vendredi 21 juin 2013, le stade des Martyrs de la Pentecôte a servi de cadre à l'organisation de la deuxième édition du Festival de la musique.
Organisée par une grande société brassicole locale, cette fête de la musique a connu la participation de 9 orchestres modernes et 3 groupes tradi-modernes évoluant à Kinshasa. Il s'agit de : La Casa Do Canto de Reddy Amissi, Pondération 8 de Blaise Bula, Viva-la-Musica de Papa Wemba, Wenge Bon Chic, Bon Genre de JB Mpiana, Wenge Musica Maison Mère de Werrason, Cultur'A Pays vie de Félix Wazekwa, Jet Set de Ferre Gola et Zaïko Langa Langa Nkolo Mboka de Nyoka Longo, pour les orchestres modernes. Tandis que pour les groupes tradi-modernes, les organisateurs ont sélectionné Empire Lunda de Kas Kasongo, Bayuda du Congo de l'Empereur Lelimba et 8-8 de Mabele Elisi.
Prévu à 12 heures, le concert a débuté vers 17h56' pour finir à minuit 00h56' à la grande déception du public qui a longtemps attendu la première note de la fête. Le public impatient n'a pas pu supporter ce retard et a quitté même le stade avant le début même de la fête. Selon la règle de prestation, les organisateurs ont accordé à chaque groupe 10 minutes pour balancer les instruments et 30 minutes pour se produire.

Invité à monter sur le podium par l'animateur de choc Sparta Baku surnommé le " Grand coach", Empire Lunda le premier groupe à se produire, suivi de Bayuda du Congo et 8-8 de feu Mabele Elisi. Chaque groupe s'est bien défendu à la grande satisfaction du public avec sa musique du terroir. Empire Lunda a fait la fierté de la culture " Yaka ", Bayuda du Congo de " Baluba " et 8-8 celle des "Mongo ". L'ambiance était totale à chacune de prestation de ces groupes tradi-modernes qui ont emballé le public avec leur style chaud jusqu'à la fin de la première partie de la soirée.

La deuxième partie du festival a été concerné par les orchestres de la musique moderne. La Casa Do Canto au grand complet et en super forme, était le premier groupe à monter sur le podium. Avec son leader Reddy Amisi, cet orchestre a tenu le public en haleine par ses chansons captivantes et anthologiques. Bayilo Canto a démontré son professionnalisme en jouant une musique de compilation et non-stop. Emballé par les belles mélodies des cantiques de Reddy Amisi, l’assistance l'a accompagné à l'unisson dans toutes les chansons telles que " Ekomba ", " Libala ", "Assistance sociale ", "Bomengo ata kala ", " Aziza", " Ipo "…

La foule au stade de Martyrs, a créé une véritable ambiance de fête du début à la fin de la prestation de Reddy Amisi et ses musiciens. Pondération 8 et son leader Blaise Bula, sont montés à leur tour sur scène et ont exécuté leur répertoire en respectant leur philosophie de " Beta nde, yemba nde et bina nde ". Ils ont convaincu tout le monde par leur prestation.

Viva-la-Musica conduit par Papa Wemba qui a bénéficié des acclamations frénétiques du public lors de sa montée sur scène, a émerveillé la foule par son rythme de la rumba " Frechen ". " Notre Père " a associé les Sapeurs dont " Kaditoza " lors de sa prestation afin de donner une coloration particulière à la fête. Wenge BCBG avec l'élégance de ses musiciens sur scène, a permis à ses fans de scander à l'unisson " Oh Souvé aye… ".

A son apparition sur scène, JB Mpiana a interprété parfaitement en solo la chanson " Essaie " suivie de "Patrick Bolonia " à la grande satisfaction du public. Le cri "Biloko" et ses variantes ont soulevé le public. Les danseuses de Wenge BCBG proprement vêtues, ont séduit tout le monde par leur façon de danser et la discipline qu'elles ont instaurée sur scène.

C'est dans l'ambiance du feeling de seben du soliste Fi-Carré accompagné de l'animation " Tokosimbana, toko yambana " que Wenge BCBG a terminé sa prestation. A l'annonce de Wenge MMM par Sparta Baku, tout le stade a acclamé comme un but marqué lors du match de football entre V.Club et DCMP.

Le groupe de la Zamba Playa a pris beaucoup de temps pour balancer les instruments de musique. Wenge MMM a joué, également, pendant 40 minutes contrairement aux autres groupes qui ont tous respecté les 30 minutes imparties. Cherchant à faire de l'excellence, la sonorisation utilisée par Wenge MMM n'a pas convaincu le public. Mais par contre, le " Roi de la Forêt " et son groupe ont présenté un beau spectacle. Accompagnés de leurs danseuses, ils ont joué tour à tour, " Ami Kapangala " et "Nzela y'accident " en compilation suivi de " Azmak", " Kibwisa Mpimpa ", " Techno malewa " et " Satellite ".

A sa descente de podium, comme dans ses habitudes, Werrason est sorti avec ses nombreux fanatiques qui l'ont accompagné en sifflotant à l'unisson jusqu'à la Zamba Playa, leur quartier général. Les musiciens de Cultur'A Pays Vie à leur tour, sont venus réparer le son et ont chauffé le public avec leur musique.

Félix Wazekwa et son groupe ont interprété une belle chanson dédiée à leur sponsor officiel. S'Grave a profité de cette occasion pour présenter ses musiciens au public. Chaque chanteur est intervenu par un solo-vocal au plaisir du public. Le " Monstre d'amour ", ses danseuses et musiciens ont épaté tout le monde par leur chorégraphie.

Rentré fraichement de Paris, la voix caressante de la musique congolaise, Ferre Gola a démontré sa valeur artistique. Accompagné de son groupe Jet Set, Ferre Gola a commencé à lancer au micro : " Je suis venu à la fête de la musique pour chanter " et tout le stade l'a applaudi. Entouré de ses danseuses, "Chair de Poule " a interprété " Papy Kake " et " Lekeleke".

En chantant, Hervé Gola a mis tout le monde pantois. Tous ses chanteurs se sont bien défendus à la grande satisfaction du public. Lui aussi, à sa sortie du stade, a drainé ses fans. De même pour son animateur " Bercy Muana " qui a électrisé le stade lors de sa montée sur le podium. Après la sortie de Ferre Gola du stade, les gradins étaient restés vides.

Il faisait déjà minuit 22', l'heure à laquelle Zaïko LL Nkolo Mboka a débuté à se produire devant la foule qui se trouvait devant le podium. Avant que " Ya Jossart " monte sur la scène, Zaiko LLNM a exécuté " Leki ya Baby ".

Après l'exécution d'une musique religieuse par le dynamique claviériste et directeur artistique, Modeste Modikilo, Nyoka Longo a monté sur le podium en appuyant sur l'accélérateur. Il a entonné " Boh " qui a soulevé tout le monde. Tous ceux qui sont restés au stade pour soutenir Zaïko LLNM et son président Nyoka Longo, ont vécu la force de la danse " Mukongo ya Koba " et ses variantes : "Ma Siska ", " Moellon " et "Volé n'est pas bon ".

Tout le monde a dansé à l'uniforme accompagné des animations de Doudou Adoula et Alain. L'ambiance était totale et tout le monde est rentré satisfait à minuit 55' l'heure à laquelle Nyoka Longo et son groupe ont terminé leur prestation avec une mention de félicitation.

Tel que nous l’avons vécue la fête de la musique au stade des Martyrs, n'a eu ni vainqueur, ni vaincu. Par contre, c'est la musique congolaise qui a été à l’honneur.

Coup de chapeau au Major Danny Oleko, ses éléments de la Police de Proximité et le commandant Auguy Lutula pour la sécurité musclée qu'ils ont assurée pendant la fête à l'intérieur et à l'extérieur du stade des Martyrs. Malgré la foule qui a envahi le stade, on a enregistré aucun dégât matériel ni humain. Cette sécurité sans famille a permis aux artistes-musiciens de se produire dans le calme et au public a rentrer chez soi sans inquiétudes.

José Mpaka Ikombe

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

L’habillement des Kinois agace Félix Wazekwa

Image may be NSFW.
Clik here to view.
L’habillement des Kinois agace Félix Wazekwa
Dans la quasi-totalité des orchestres kinois, les jeunes filles (danseuses) sont utilisées comme des bêtes de somme qui mettent, sans pudeur, leur corps en compétition pour simplement gonfler les poches de leurs patrons qui, au retour, ne leur accordent aucun crédit.

En acceptant de se dénuder sur scène pour le simple plaisir du public, ces filles ne se rendent pas compte qu’elles bafouent les prescrits de la coutume bantoue qui place la femme à la tête de la famille. Etre sacré, la femme est une créature qui ne doit nullement présenter ses « privés » n’importe où et à n’importe qui.

Cette attitude a retenu l’attention du patron de l’orchestre « Cultur’A Pays vie », S’Grave « Mokuwa bongo », qui tape du poing sur la table. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer le mauvais comportement de certains artistes-musiciens qui n’accordent aucun crédit aux œuvres qu’ils écrivent, ne se contentant plus que de présenter au public des chansons immorales et pleines d’insanités…..

Poussant encore plus loin, ils continuent leurs frasques même dans le secteur de l’habillement où ils se prélassent dans des accoutrements indécents. Ce qui n’est pas digne des ambassadeurs de la culture congolaise qu’ils sont étant donné que même à l’extérieur de nos frontières, ils continuent à véhiculer des messages indignes. Les étrangers qui les voient et les suivre croient que c’est là la réalité de vie en RDC.

Tablant sur ces faits, et en sa qualité de leader d’opinion de la musique congolaise, le patron de « Cultur’A Pays Vie » demande à la Commission Nationale de Censure de jouer correctement son rôle régulateur. Car, trop c’est trop. Il faudra que les musiciens d’aujourd’hui puissent se comporter comme des vraies références de leurs aînés d’hier qui n’avaient jamais agis de la sorte.

Il demande, en outre, que cesse cette canalisation mercenaire dans le circuit de la musique congolaise. Les musiciens, dont la plupart sont des pères de familles, sont censés afficher une attitude digne et non faire de la fornication leur essence de vie. Quelle leçon donneront-ils à leurs rejetons ?

Kingunza Kikim Afri

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live