Quantcast
Channel: Premier portail consacré à l'actualité politique, économique, culturelle et sportive du Congo et de la RDC
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live

Entretien. Prince Oniangue signe au Stade de Reims

$
0
0
Entretien. Prince Oniangue signe au Stade de Reims
Le Stade de Reims est heureux de vous annoncer la signature du milieu de terrain franco-congolais Prince Oniangue.

Ce dernier a évolué les trois dernières années à Tours, club avec lequel il a joué 84 matches de Ligue 2 (Il a notamment inscrit 9 buts au cours de la saison 2012/2013). Prince Oniangue a également disputé 6 matches de Ligue 1 avec le Stade Rennais.

A 24 ans, Prince Oniangue a signé un contrat de 3 ans avec le Stade de Reims.

Bienvenue à Prince sous ses nouvelles couleurs !

Ses premiers mots en exclusivité pour notre site officiel :

Prince, peux-tu nous parler de ton arrivée au club ?

Un accord a été trouvé début Juin. Comme j’étais en équipe nationale, il a fallu attendre mon retour. Maintenant je suis heureux d’arriver au Stade de Reims, un club historique du football français. Je remercie les dirigeants qui m’ont accordé leur confiance en me recrutant. Je remercie toute les personnes qui ont œuvré pour ma venue à Reims.

Tu connais un peu le club ?

J’avais déjà joué deux fois contre Reims. Je connais le stade Delaune. Très bon stade, très grosse ambiance et j’aime ça. Je connais également bien mes amis Diego et Bocundji Ca. J’ai joué avec eux à Tours. Je pense que mon intégration se fera plus facilement.

Quel est ton profil de joueur ?

Je suis milieu de terrain, formé au Stade Rennais. Je suis assez polyvalent. Mon poste de prédilection, c’est milieu défensif. J’ai également joué défenseur central. J’aime bien aller vers l’avant…

…tu es d’ailleurs également buteur. Tu as inscrit quelques buts l’an passé

Oui, j’ai inscrit 9 buts avec Tours. C’était d’ailleurs ma meilleure saison à ce niveau. Je pense que je suis revenu plus fort suite à une grosse blessure à la cuisse que j’ai subi en Mars 2012. J’ai grandi suite à cet événement. J’ai commencé à regarder les bons milieux de terrain, qui marquaient des buts. Et je me suis inspiré d’eux pour revenir plus fort.

Jouer en Ligue 1 a été déterminant dans ton choix ?

Quand vous jouez dans un club comme Rennes, mais que vous regardez les gros matches de championnat ou de Coupe d’Europe sur le banc, ça donne envie. Ma progression à été plus lente, il a fallu que je passe par la Ligue 2. Maintenant j’ai hâte de retrouver la Ligue 1. Surtout que nous commençons le championnat par Rennes…c’est une motivation supplémentaire. A moi de faire une bonne préparation, de mettre tous les atouts de mon côté, et de me donner les moyens de jouer et d'aider le club à se maintenir.

Le mot de Didier Perrin : Nous avons le plaisir d’accueillir Prince Oniangue. Il s’agit d’un joueur que nous suivons depuis environ deux ans. Il a un profil qui nous plait beaucoup : C’est un milieu relayeur de grande taille, c’est un battant et il marque des buts. Prince a surtout joué en Ligue 2 mais, à l’image de nos joueurs l’an passé, il va progresser grâce à la Ligue 1. Je suis certain qu’il va beaucoup nous apporter. b[

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

France: vente judiciaire des voitures du fils du président de Guinée

$
0
0
France: vente judiciaire des voitures du fils du président de Guinée
Neuf voitures de grand luxe, confisquées à Teodorin Nguema Obiang, fils du président de Guinée Equatoriale sous le coup d'un mandat d'arrêt international lancé par la France, ont été adjugées lundi à Paris pour un total de 3,21 millions d'euros, a annoncé l'hôtel des ventes Drouot.

Une Bugatti Veyron 16,4 Grand Sport, datant de 2010, de couleur rouge, avec 1.209 km au compteur, a été adjugée 914.816 euros.

Une Maserati MC 12, de 2007, de couleur bleu foncé/blanc nacré, ayant 2.328 km au compteur, a été vendue 731.853 euros.

Une Ferrari 599 GTO, immatriculée en 2010, de couleur jaune foncé, avec 597 km au compteur seulement, est partie pour 277.875 euros.

Teodorin Nguema Obiang possédait également une autre Bugatti Veyron, deux Bentley, une Rolls Royce Phantom noire, une Porsche Carrera 980 GT jaune foncé et une Mercedes.

La cour d'appel de Paris a validé le 13 juin dernier le mandat d'arrêt contre le fils du président équato-guinéen Teodoro Obiang, et la saisie d'un immeuble et de meubles dans l'enquête sur les biens mal acquis (...)

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Cercle culturel Sony Labou Tansi. Le Village du FESPAM transformé en "Ngandasdrome"

$
0
0
Cercle culturel Sony Labou Tansi. Le Village du FESPAM transformé en
Brazzaville, (Starducongo) - Malgré le tarif pour la location d’un stand, soit 100 000 mille CFA pour un mois, il y a eu une ruée vers l’or. Les propriétaires de ngandas (bars) et autres débits de boissons ont envahi le village du Fespam depuis bientôt une semaine. Eh oui! Les artistes ont beau rouspéter, la direction ne va pas laisser passer cette occasion vous me direz pour remplir un peu

Tous les stands ont été loués vitesse grand V. Tout est pris même la terrasse au dessus des bureaux de la direction. La terrasse qui est encore en pleine rénovation. Nouvelle peinture murale et sol repeints à neuf pour la durée du FESPAM, pour que ça ressemble à une boîte de nuit "VIP".
Et dire que le cercle culturel Sony Labou Tansi, construit dans les années 60, n’a en tout et pour tout qu’un W.C moderne ! Dans la cour il ya bien des toilettes « locales » comme on dit, mais cela ne sera pas suffisant pour tous le public qui viendra pendant toute la durée du FESPAM boire et manger. Bonjour la pollution de l'environnement aux alentours du centre.

Mais c'est bien beau tout cela mais où est la place de la culture, lorsqu’on parle de Festival panafricain des arts? On vous répondra qu'il y a bien une scène qui a été prévue. Le public pourra bien entendu venir assister aux spectacles programmés, mais aucun siège, ni banc n'a été prévu pour le public. Tout l'espace libre est occupé par les tables et chaises des vendeurs de grillades, brochettes et bières. Vous serez donc obligés de consommer si vous voulez être assis. Sinon un conseil portez une paire de chaussures bien confortable pour tenir le coup debout. Ainsi va la vie au Congo-Brazza...

Carole Mandello
carolemandello@starducongo.com


www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Jah Thiano, une musique engagée

$
0
0
Jah Thiano, une musique engagée
Jah Thiano, leader du group de Reggae Makeda est un des meilleurs représentants de la culture Rastafari à Pointe Noire. Pour lui la Rastafari demande une forte spiritualité et un vrai engagement pour lutter contre les injustices sociales et défendre les droits de l’homme. « C’est pour cela que les gens ne se rapprochent pas du mouvement Rasta, ni ne suivent en masse nos concerts, parce que nous ne nous cachons pas et nous n’avons pas peur », dit Thiano.
Pour Jah Thiano, Brazzavillois de 31 ans résident à Pointe-Noire tout a commencé en 2003 quand il écoute pour la première fois une des chansons de Marley. Il était à la tête d’une formation de rap, où les messages des chansons étaient plus de type amoureux. La découverte du reggae l’a plongé dans la philosophie Rastafari et il se montre aujourd’hui plus revendicatif.

En 2004 Thiano crée le groupe Makeda et il se consacre entièrement à la musique Reggae. « Quand les gens m’entendent chanter le reggae, ils me demandent si je viens d’Afrique de l’Ouest, parce qu’ils ne sont pas habitués à voir un Congolais faire ce style de musique; et cela me touche vraiment». À Pointe-Noire il y a plus de 10 groupes de reggae et ils ne sont pas toujours sérieux. À Brazza il y a plus de formations, mais ils n’organisent pas de concerts, donc le message qu’ils veulent transmettre se perd. D’après Thiano, ces derniers temps les Medias sont en train de sortir de leur anonymat les groupes de Reggae, mais malgré ce fait, il y a beaucoup de personnes qui refusent de travailler avec eux par d’éventuelles représailles.

Autre fait qui favorise la mauvais réputation des rastas au Congo, c’est la croyance que ses adeptes portent des habits sales. « Quand les gens nous voient avec des locks, ils imaginent trop choses dans leurs têtes ; mais un rastafari ne doit pas avoir forcement des rastas. Ce qui identifie vraiment un rasta man c’est son esprit, son cœur et son positivisme. Moi même, je ne fume pas et je ne bois pas, je ne l’ai jamais fait ».

« La Voix du Silence » est le nom du dernier spectacle du groupe Makeda, qui aimerait représenter avec ses chansons tous ceux que, pour diverses raisons, ne peuvent pas s’exprimer librement ; « mais les jeunes doivent se réveiller. Ils sont obligés de revendiquer. Tant que la corruption ne sera pas punie au Congo, il n’y aura pas une réelle réconciliation dans ce pays» commente le leader de la formation.

Jah Thiano voudrait aussi faire parvenir son message positif aux enfants des orphelinats de Pointe-Noire. Pour cela, il est en train d’organiser des concerts pour que ces enfants puissent aussi se débarrasser de la peur et hurler pour défendre leurs droits.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Shéda, pièce fleuve du dramaturge-poète Dieudonné Niangouna

$
0
0
Shéda, pièce fleuve du dramaturge-poète Dieudonné Niangouna
C'est un fleuve de mots, habité par les vivants et les morts, les sorciers et les dieux: Dieudonné Niangouna, acteur et metteur en scène de Brazzaville, a accouché dimanche soir d'une longue transe poétique avec "Shéda", au Festival d'Avignon.

"Dans ce désert de pierres, rien ne peut se résoudre, tout se bat pour survivre", énonce-t-il au début de cette fresque de quatre heures, qui se déroule dans une symbiose parfaite avec le cadre minéral choisi, une ancienne carrière qui n'est plus exploitée, située à une quinzaine de kilomètres d'Avignon, dans le sud de la France.

Le décor pourrait figurer un camp de réfugiés, un terrain vague avec ses vieilles carcasses industrielles abandonnées, un village africain dévasté par la guerre: ici une carrosserie rouillée, là des conduits, des toboggans qui crachent parfois des corps. Au premier plan, un crocodile. En arrière-plan, une chèvre tourne autour de son piquet.

Du haut de la carrière déboule au pas de course un petit commando: les douze acteurs, entraînés à marche forcée par le chorégraphe DeLaVallet Bidiefono pendant plusieurs semaines en Afrique. Des corps rompus à la lutte, au combat, à la danse, qui vont se rouler dans la poussière, s'arroser d'eau et prendre peu à peu la couleur des statues de terre de l'artiste d'origine sénégalaise Ousmane Sow.

Le théâtre de Dieudonné Niangouna est fait de bruit et de fureur. Aux mouvements des corps répond le déferlement de la parole. Né d'un père grammairien et universitaire ami de Senghor, nourri au berceau de littérature française, Niangouna s'est forgé une "métalangue" métissée de poésie et d'argot, une déferlante de mots. Il dit chercher "l'écriture dans le ventre de la parole. Et la parole vient du ventre de la mère".

Il n'y a pas une histoire, mais mille histoires. Comme celle de la maison des chats, où une fillette a brûlé, et sur son dos les brûlures deviennent hiéroglyphes. Ou celle de l'enfant "gardien de la ville morte". Le matin, il ouvre les magasins, "passe à la télévision et diffuse son émission préférée", fabrique le manioc et va à la piscine changer l'eau des poissons. Personne. La ville est vide. Le soir il ouvre les night-clubs, les casinos, les pharmacies de garde, etc.

Les vivants, les morts et les dieux

Il y a une sorcière, comme la grand-mère de Niangouna, qui raconte les vivants et les morts, lesquels reviennent couramment chez les vivants. Il y a un pasteur qui vient "apporter la commisération", et même des dieux, dont les corps pleuvent depuis la falaise qui surplombe la carrière tels des poupées de son.

On ne comprend pas tout, mais qu'importe, puisque "le but n'est pas que vous compreniez, mais que vous entendiez", dit la pièce.

Les comédiens - dont Niangouna et son frère Criss, Mathieu Montanier, le metteur en scène Frédéric Fisbach - mordent la poussière plus souvent qu'à leur tour, et savent incarner admirablement des personnages multiples, réfugié, zonard, sorcier, rapporteur de nouvelles ou "seigneur" déchu et sa belle éconduite. Deux musiciens, le bassiste de jazz congolais Amel Malonga et le Français Pierre Lambla font magiquement surgir des ambiances de rumba congolaises ou le bruit du vent...

Grand admirateur de Jean Genet, Niangouna adore la "provoc" et déconstruit les discours avec délectation. "Le sous-développement et la chaise électrique, voilà les réelles maladies de l'être humain", reprend en boucle un refrain.

Certains se lasseront des longs monologues, où la diatribe politique le dispute au conte africain. D'autres salueront une oeuvre "monstre", fruit de douze ans de ruminations d'un poète qui a traversé la guerre. A l'arrivée, "dons du ciel, denrées, cadavres vivants, dieux déchus, astres en perditions ou météores évadés".

Par Marie-Pierre FEREY

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Casa Moda Academy récompense ses meilleurs étudiants

$
0
0
Casa Moda Academy récompense ses meilleurs étudiants
Casablanca, (Starducongo.com) - L’Ecole supérieure de création de mode de Casablanca (Casa Moda Academy) a décerné des prix à ses meilleurs étudiants à l’issue du défilé de mode de fin d’année qu’elle a organisé récemment.
Trois prix ont été décernés à cette occasion: le Prix de la Découverte, le Prix du Jeune espoir et celui du Mérite.

Le premier prix «Découverte» a été attribué aux étudiants Kamar Hilmi, Assia El Ghazouani et Anas Yassine. Tandis que le second prix, «Jeune espoir», a été remis à l’étudiant Amal Sougnati. Le prix du «Mérite» est revenu, quant à lui, à deux étudiantes : Zineb Rouas et Yasmine Hamza.

Il est à souligner que les étudiants primés ont été choisis par un jury de professionnels de la mode venus de France et du Maroc. Ce dernier était composé de Sylvie Ebel (directrice adjointe de l’IFM Paris), Christophe Beaufays (créateur de mode, Maroc), Caroline Hanny (styliste, France) et Stéphanie Di Franz (WGSN).

Organisé dans le nouveau bâtiment de cet établissement public d’enseignement supérieur, signé par l’architecte Soumiya Jalal Mikou, ce rendez-vous culturel de fin d’année de Casa Moda Academy consacrait, par la même occasion, la sortie de la première promotion composée de 15 étudiants sélectionnés en 2010.

Fruit d’un partenariat exemplaire entre l’Association marocaine des industries textile habillement (AMITH) et quatre ministères dont celui de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Casa Moda Academy a organisé deux jours durant, mardi 26 et mercredi 27 juin, son défilé de fin d’année, en présence des autorités et responsables dudit établissement.

Cette manifestation « est l’aboutissement d’une année de formation en création, technique, image et événementiel mode pour les métiers de l’habillement, de l’accessoire, du textile, du cuir et du stylisme photo», soulignaient ses responsables dans une note de présentation de l’événement. Ils rappelaient par la même occasion que cet établissement «a pour mission de répondre aux besoins en compétences technico-créatives du secteur textile, habillement, cuir et artisanat dont les métiers ont été reconnus parmi les métiers mondiaux du Maroc».

Soulignons qu’en plus du défilé, Casa Moda Academy a également présenté durant ces festivités les travaux des élèves de la première, deuxième et troisième années Licence professionnelle Design/Stylisme de mode. En présence de nombreux invités et parents venus apprécier le talent de ces créateurs de demain.

Enfin, Casa Moda Academy dispense une formation s’étalant sur 3 ans dans les filières : création mode et habillement textile et cuir, création textile et accessoires, stylisme, modélisme et communication de mode. Au bout de la formation, les lauréats reçoivent un diplôme d’Etat de Licence professionnelle «Design/Stylisme de mode».

Alain Bouithy
alainbouithy@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Les doléances du ministre JC Ngakosso de la Culture

$
0
0
Les doléances du ministre JC Ngakosso de la Culture
A l’approche du Fespam le ministre de la culture a réuni les artistes et chroniqueurs de musique pour une séance pédagogique.
Au cours de cette réunion, le ministre a souhaité une collaboration patriotique des artistes et chroniqueurs de musique Congolais pour la réussite de ce festival qui selon son propos est une chance pour le Congo de l’organiser. Le ministre qui s’est perdu dans un monologue un peu défensif a exhorté les médias Congolais à ne pas noircir ce grand événement par des analyses médisantes. Car selon lui, jamais des journalistes Burkinabés disent du mal du Fespaco, il en est de même de ceux de France pour le Festival de Cannes.

Il en est ainsi parce que les journalistes de ces pays jugent que c’est une grande chance pour eux d’abriter ses différents festivals. Ces propos surgissent suite aux nombreuses interrogations de la population sur la gestion des fonds alloués au Fespam, ce qui semble doute suscitent une indignation du ministre. Par exemple, il est reproché au ministre le peu de communication dont un festival de ce niveau manque, et surtout la qualité des artistes invités.

Avec un budget de plus de 3 milliards, ce festival aurait été une occasion de vendre la marque Congo et surtout Brazzaville. Mais ce n’est pas le cas, les artistes internationaux qui viennent participer à ce festival seront sans doute étonnés de constater le manque de logistique adéquat dont souffre le Fespam qui à sa 7eme édition répète son ouverture dans un stade de football du reste vétuste. Au Burkina Faso, par exemple le Fespaco dispose d’un cadre approprié pour son organisation.

La gestion opaque des fonds alloués ne peut passer inaperçu par la population Congolaise qui par la mauvaise qualité de l’organisation du Fespam a le droit d’avoir des justifications. C’est une bonne chose pour le Congo d’abriter le Fespam, mais c’est une mauvaise chose pour le ministre de s’en servir pour joindre tout le monde à sa cause bien que l’opacité des milliards alloués suscitent des doutes.

Ghislain Malekat Mankou

Lire également Le Village du FESPAM transformé en "Ngandasdrome"

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Des jeunes s’opposent à l’arrestation d’un ami par la police à Ollombo

$
0
0
Des témoignages concordants, recueillis à Oyo, jeudi 4 juillet 2013, ont signalé que des policiers d’Ollombo ont eu maille à partir avec des jeunes de la localité, le matin. Ces policiers tentaient d’appréhender un délinquant. Mais, les amis de ce dernier se sont vigoureusement opposés à son arrestation. Des renforts de policiers et de gendarmes sont partis d’Oyo, pour voler au secours de leurs collègues, visiblement mis en difficulté, certains ayant pris la fuite. Les renforts ont quitté la ville d’Oyo en trombe, à destination d’Ollombo.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Une jeune femme meurt assassinée, après avoir été violée à Talangaï

$
0
0
Vendredi 5 juillet dernier, le corps sans vie d’une jeune femme d’environ 30 ans a été trouvé dans la rue, à Talangaï, vers Kéba-Na-virage. La victime aurait été violée et tuée par des inconnus, avant d’être abandonnée à son funeste sort. Des passants l’ont reconnue. Elle vivait avec son mari, dans la rue Dielé. Mais, ce dernier, un militaire, était absent de Brazzaville. Selon un témoignage fait par la nièce de la victime, elle avait quitté son domicile, à 5h du matin, comme à l’accoutumée, pour se diriger vers une parcelle située vers Kéba-Na-Virage, où elle prépare des beignets de farine. C’est dans les parages que sa vie a été abrégée par des malfrats. Son corps a été déposé à la morgue municipale de Brazzaville. Une enquête devrait être ouverte pour retrouver les présumés assassins.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Voici la liste des généraux nommés au sein de Fardc par Joseph Kabila

$
0
0
Voici la liste des généraux nommés au sein de Fardc par Joseph Kabila
Après la mise en retraite des homes en uniforme avancés en grade, le processus de rajeunissement des effectifs est bel et bien en marche.

Le vice-premier ministre et ministre de la Défense nationale, Alexandre Luba Ntambo, a indiqué que le processus du rajeunissement de l’armée est désormais en marche.

Ceci, indique-t-il, après la mise en retraite des hommes en uniforme avancés en grade, le dimanche 7 juillet dernier par le chef de l’Etat, Joseph Kabila.

Par la même occasion, signale radiookapi, le commandant suprême des Forces armées de la RDC (Fardc) a avancé en grade plusieurs autres hommes en uniforme dont certains à titre posthume.

Ces mesures, souligne Luba Ntambo, inaugurent le processus de rajeunissement de l’armée afin de l’adapter aux normes des armées modernes. « Une première vague de militaires a été mise en retraite dans le cadre d’un des principes directeurs de la réforme qui est le rajeunissement de l’armée », a ajouté le ministre.

Alexandre Luba Ntambo a indiqué que la RDC dispose désormais d’une armée atypique dans laquelle des personnes trop âgées ne peuvent plus assumer certaines fonctions.

Il a estimé que le rajeunissement de l’armée, vise également à accélérer la réforme du secteur de la défense et de la sécurité comme l’a recommandé le président américain Barack Obama lors de son récent séjour en Tanzanie.

Le président américain a appelé, il y a une semaine, son homologue de la RDC, Joseph Kabila à réformer les forces armées du pays (FARDC), estimant qu’il « devait faire mieux et plus en ce qui concerne les capacités de la RDC en matière de sécurité ».

EST NOMME GENERAL D'ARMEE DES FARDC :

ETUMBA LUNGILA DIDIER.

EST NOMME LIEUTENANT GENERAL DES FARDC :

AHUMULI BAHIGBA DIEUDO.

SONT NOMMES AU GRADE DE GENRAL-MAJOR OU VICE-AMIRAL DES FARDC :

MBUAYAMA NSIONA ROMBAUT
NDIMA KONGBA CONSTANT
MUSHALE TSHIBAMBA LEON
BANZE LUBUNZI DIEUDONNE
KABULO DAMAS
KIFWA KAMBILI JEAN-CLAUDE
MBALA MUSENSE CELESTIN
MUKUNTO KIYANA TIM
CIKWEJ NAWEJ SYLVAIN
KASEREKA SINDANI ETIENNE
MAYANGA WA KISHUMBA JEANVIER
RWUBASHIRA ROBERT
BAHUMA AMBAMBA JEAN-LUCIEN
KIBONGE MULOMBA GEDEON
KIJEKE MALIK
MASUNZU PACIFIQUE.

SONT NOMME AU GRADE DE GENERAL DE BRIGADE OU CONTRE-AMIRAL AU SEIN DES FARDC

MBUMBE GBEMA SIMON
MUTOMBO KATALAY TIENDE JOSEPH
ILEBA PANZU ISMAEL
NGONGA MULAMBA NTET BASILE
LOMBE BANGWANGU EMMANUEL
MANTU TEZULWA KAMASUKWE ANDRE
KUYANGI EMEDI ALBERT
BONGWANGELA JEAN-PIERRE
MBIATO KONZOLI AIME
MULENGE WA MUBESA DIEUDONNE
BONTAMBA BONGONGO ALI-PEPE
KASHALE MUKAYA DANIEL
LUYAMBI MADILU ROBERT
ILUNGA DIKITA PAUL
ILUNGA KAPAMBU CONSTANTIN
KAHUMBU YANKOLE ISIDORE
KASONGA TSHIBANGU LEON RICHARD
LUBOYA KASHAMA JHONY
NGOIE LUSHIBA SIMPLICE
ILUNGA KAMPETE HUGUE CONSTANT
IJILA YAV JEAN-LUC
NGUZ'YAV VALENTIN
YAV KABEJ JEAN-CLAUDE
YAV PHILEMON
TSHIWEWE CHONGEZA CHRIST
MANDEVU BRUNO
KISEBWE WA MUSEBWE ISAAC
BANZA KABULO JOSEPH
KAKUDI BOBO GAETAN
FITUMBE KIBWILI RICHARD
ILUNGA KAPETA PLACIDE
NYEMBO ABDALLAH BETU
SALUMU MBILIKA CONSTANTIN
MOLISHO BOMEZA FRANCK
MASUDI ASA ESPERANT
NGINDU AKILI MUNDOS CHARLES
RUGAHI SENGABO DAVID
MBUSUBINDU ETIENNE
KAYIZI INNOCENT
KIRANGA MUTARA SMITH
KASEREKA MATABISI JAMES
MUCHANDO WISEYE EUSTACHE
BONANE BUHORO WILLY
KAMANZI FRANCOIS
YAMBUYA BARUTI DIEUDONNE
BONYOMA DIAKI YA BOYA
DZARINGA LOTSHIMA ROBERT
BOMBELE LOHOLA CAMILE
BOKOTA BOTUMBE RAPHAEL
MUTUPEKE KIAMASA DIEUDONNE
SIKABWE FALL
MUSHIMBA ANTOINE DAVID
KAYIMBI KAZAKE DELPHIN
BWANGE SAFARI GUSTAVE
MBILIZI NYEMO JOSEPH
PADIRI MUHIZI JONAS
NAKABAKA BAUDOUIN
ASUMANI ISSA KUMBA
RURIOMBERE RWANGA ERIC
MUHONGO WA KULUKWENDA
MALILA ALIPATA KOMO FISTON
MBUYI TSHIVUADI MARIE-JOSEE
MABONDANI SHORA MICHEL
MBANGU MASHITA MARCEL
NGUZ SALUSEKE ERODE
KALONDA FWAMBA KAF
TAMBUKA URBAIN
MUNIAKAZI SENGI ESAIE
KABUNDI MUNIANZIZA INNOCENT

ORD. N°13/089 DU 7 JUILLET PORTANT NOMMINATION DANS LA CATEGORIE DES OFFICIERS GENERAUX AU SEIN DES FARDC.

EST NOMME AU GRADE DE GENERAL D'ARMEE DES FARDC :

OLENGA TETE FRANCOIS

SONT NOMMES AU GRADE DE LIEUTENANT-GENERAL DES FARDC :

KALUME NUMBI DENIS
LUKAMA MUSIKAMI MARCELLIN
MASAMBA MUSUMBU RIGOBERT.

SONT NOMMES AU GRADE DE GENERAL-MAJOR OU VICE AMIRAL DES FARDC :

MAYALA KIAMA VAINQUEUR
KIABU KANIKI EMMANUEL
BIVEKETE PINGA SOLO JEAN
MOYA DONGO TONGO JEAN-PIERRE
NABIOLA PROSPER
NYEMBO YABUZILU TUTILA DELPHIN
KONDE ISAMBWA JOSEPH
CHILUNGU NEMBESO OTOKO JEAN-NOEL.

SONT NOMMES AU GRADE DE GENERAL DE BRIGADE OU CONTRE AMIRAL DES FARDC :

NGANGWELE MUTALI JEAN-PAUL
KABANDA KURENGA GILBERT
BOLENGE OKUNGA DIEUDONNE
FUNGULA KATUTU JAMES
BOLINGO LESERENDU
BONIOKO MPIANKUMU ALBERT
MOZIA ZIMA ZAMBA SYLVAIN
SASA MICHELINE
DIASUKA DIAKIANA MAURICE
LINGUMA MATA LINGUMA JEAN-MARIE
EKUBA MONDO MARCEL
YONDO MPANDE MOYOKO CLAUDE
MOLONDO LOMPONDO JEAN-PIERRE
BASEGAYI KAMANGALA BERTIN
MUIPATAYI NKASHAMA DJO
NUMBI NGOY ENOCH
SAMUAKA MBANGU JACOB
NGOY ALIMA MUTIMA PROSPER
KAKUDI ILUNGA LOUIS
MULIMBI NYEMBO ZACCHARIE
MAYANGA MBWENA RENAUT
SHABANI LUSHUNA CHARLES
TABU MAYUTO ETIENNE
AMISI OKITO EDMOND
KAMBALE MALUMBA JEROME
ZOKERE MOZOLI FIRMIN
AGURU MAMBA MAURICE
UKABA ROGER
BALOKO TANGALA GUILLAUME
LIKONGO ELAME WOSSO ERNEST
KASIKILA ISANDA NOEL
AMISI NSHOMBO JEAN DE DIEU
ALUNDA MAUKIA GEORGES
MULAND YAV JOSEPH
NDUWA TSHINGAMBU JEAN DE DIEU
KABEYA KONGOLO
BOFALE WEFONGE GUY-ROGER.

MMC/FAS

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Foot diaspora: retour à l'envoyeur pour Christopher Samba

$
0
0
Foot diaspora: retour à l'envoyeur pour Christopher Samba
Le mercato offre parfois de sacrées histoires. Avec Queen Parks Rangers (QPR), elles sont même légion, puisque le club londonien, relégué en championship ne pourra compter sur Christopher Samba pour la saison prochaine. Ils viennent de laisser filet le congolais à son ancien employeur du côté d’Anzhi.

Retour à l’envoyeur

Arrivé il y a 6 mois en provenance de l'Anzhi Makhachkala, pour solidifier la défense des QPR et évité la relégation du club anglais en championship, pour un transfert de 15 M€ et un salaire de 120 000 euros par semaine. L’international congolais Christopher Samba, (29ans, 1,93m, 93kg) va retrouver la formation russe, qui a réinvesti les 15 millions d'euros touchés il y a quelques mois de ses homologues anglais. Selon la BBC et Skysports, QPR a accepté une offre de 14 M€ de la part du club du Daguestan, qui l’avait vendu six mois plus tôt 15 M€ à QPR. Et acheté en janvier 2012 pour 14 M€ à Blackburn. En un an et demi, Anzhi a donc déboursé au total 29 M€ pour l’international congolais de 29 ans et récupéré 14 M€.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

L'appel de Anges Ngapy aux congolais et à la diaspora

$
0
0
L'appel de Anges Ngapy aux congolais et à la diaspora
Anges Ngapy alias "Cappelman", voilà un nom et un pseudonyme bien connus des congolais. Cadre des Diables Rouges du Congo, il a animé le football congolais grâce à ses prouesses talentueuses au sein du mythique club brazzavillois de CARA, . Anges Ngapy a décidé de tirer sa révérence au monde du football en organisant un jubilé cet été dans son pays natal. Si les étrangers ont répondu favorablement à ses sollicitations, le "vieux Anges" comme l'appelle les jeunes, lance un appel aux congolais et à la diaspora afin de l'accompagner dans l'organisation de cet événement majeur pour le football congolais. Pour cela il a accordé une interview* exclusive à Sports242.com

Sports242.com : quel est votre état d’esprit et à quel niveau de préparation êtes-vous actuellement ?

Anges Ngapy
: Je suis assez serein. Tout simplement je vous sollicite vivement pour assurer le relais au niveau médiatique, afin que les gens puissent savoir comment les choses se préparent ici. Aussi, en ce qui concerne la préparation matérielle, je suis toujours dans la recherche des partenaires et des sponsors. Vous savez, au Congo on n’a pas la culture du sponsoring. Donc je suis confronté à ce problème. Tous les jours je lance les appels pour que les gens m’accompagnent dans l’organisation de cet événement. Je sais que ça va se faire. Mais au stade où je suis, j’ai encore besoin de beaucoup de soutien.

Concrètement quel type de sponsoring cherchez vous ? Et, quelle peut être la contribution de la diaspora ?

je suis ouverts à tous types de sponsoring, individuel ou institutionnel. Nous sommes le 3 (juillet ndlr) et l’événement a lieu le 27 juillet donc il reste plus ou moins 24 jours. L’urgence est là. J’en appelle à ceux qui sont prêts et qui peuvent éventuellement agir le plus rapidement possible que ce soit au niveau de la diaspora ou au niveau du pays.

Le soutien que vous avez besoin aujourd’hui est –il essentiellement financier, ? peut-il être aussi matériel, ou en ressources humaines ?

Le soutien pour dans ce genre d’événement ne peut pas être systématiquement financier. Vous savez, quand vous recevez des gens, des équipes, des jeunes, comme je vais le faire, le matériel fait partie du soutien, notamment ce que je peux donner aux jeunes, parce que la jeunesse c’est l’avenir. C’est dans ce sens que je veux organiser ce jubilé. Il y a longtemps que beaucoup de nos stars qui sont en Europe n’ont plus été vus au pays. Je vais les rassembler, pour montrer aux jeunes qu’il y a des anciens qui sont Europe qui veulent maintenant vous accompagner. Grâce à ce soutien, je vais distribuer des balons, des tee-shirts, bref des équipements sportifs dans les orphelinats, des clubs etc. Ce jubilé a aussi un caractère social comme vous pouvez le constater.

Outre les matchs de gala prévus le 27 juillet à Brazzaville et le 2 août à Pointe-Noire, quelles autres actions avez-vous prévues ?

Le 24 juillet j’irais dans les orphelinats pour faire des dons. La distribution des dons se fera en partenariat de la fondation Ebina et son président Joe Washington. Cette fondation a une expérience reconnue dans ce type d'action.

Anges Ngapy vous lancez un appel aux congolais et à la diaspora pour vous accompagner dans l’organisation de ce jubilé.

Je veux leur dire que je suis sur le terrain bloqué. Je suis un joueur important pour notre pays, j’ai servi ce pays. Je je lance un appel, aux volontaires, aux autorités du pays, au président de la république, les ministres qui m’ont vu évoluer parce que j’ai servi la nation qu’ils puissent m’accompagner parce que c’est un événement national et international, car j’ai des appels du Gabon, de Kinshasa de l’Afrique de l’Ouest et de la France qui veulent participer. Je demande de bénéficier d’un accompagnement au niveau du pays et de la diaspora. J’ai été un enfant du pays qui l’a servi pendant des années, et j’ai fait honneur à mon pays. Je ne vois pas organiser un événement d’une telle ampleur et que je puisse le faire seul avec mes moyens de bord. Même si les supporters viendront, j’ai besoin d’un soutien des responsables politiques, du chef de l’Etat, et de la diaspora.

* interview réalisé par téléphone. Voir la vidéo en page d'accueil ou sur Youtube /sports242

Contact organisation du jubilé:

M. Blaise Ngoma +242066297606

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Jean-Claude Gakosso, ministre de la Culture et des Arts du Congo : « Je suis l’homme-orchestre du Fespam »

$
0
0
Jean-Claude Gakosso, ministre de la Culture et des Arts du Congo : « Je suis l’homme-orchestre du Fespam »
Brazzaville, (Starducongo.com) -Dans un entretien accordé à nos confrères des Dépêches de Brazzaville (édition week-end, du 13 au 20 Juillet), Jean-Claude Gakosso, ministre de la Culture et des Arts du Congo, a déclaré qu’« il y a dans notre pays, une vraie volonté politique de faire de la culture l’un des piliers du développement. Ce ne sont pas que des vœux pieux, mais des choses qui se vérifient quotidiennement… ». Et de préciser: « Quand je suis arrivé à la tête de ce département, le budget était de 750 millions FCFA. Aujourd’hui, il s’élève à 6 milliards FCFA, sans compter le transfert au profit du Fespam qui est de l’ordre de 3,5 milliards ».

A propos justement du Fespam, dont le coup d’envoi a été donné samedi 13 à Brazzaville, le président du Comité de direction du Festival panafricain de musique s’est dit « serein » et confiant quant à la réussite de l’édition en cours. Et pour cause : « Je suis serein, parce que je suis entré en possession de l’entièreté du budget alloué au Fespam. Depuis deux ans, avec le ministre Gilbert Ondongo, le budget est décaissé intégralement et à temps », a-t-il confié, soulignant que : « la culture prend de l’essor dans notre pays, grâce au Fespam qui valorise les cultures et identités africaines ».

Dressant le bilan des premières éditions de ce grand rendez-vous des musiques africaines, l’homme-orchestre du Fespam a estimé que « le bilan est d’abord celui de la régularité du festival, parce que dans le contexte des pays en développement où la culture n’est pas la priorité, ce n’est pas évident ».

Au cours de cet entretien, le ministre congolais a également réagi au scepticisme de certains Congolais à l’égard du Fespam. Et fait remarquer qu’« on ne peut pas espérer dans un contexte de pays en développement organiser les choses comme si on était aux États-Unis, à Las Vegas, à Los Angeles... Il ne faut pas se faire d’illusions », a-t-il admis. Avant de poursuivre en ces termes : « Dès qu’une barre de fer se fissure, il faut passer la commande en Europe. La lumière vient aussi de l’étranger, ainsi que les instruments. Toutes ces choses, il faut les transporter par bateau, les dédouaner. Il y a aussi des faiblesses sur le plan de l’organisation humaine, notamment en ce qui concerne la répartition des tâches. Et de cela nous assumons la responsabilité ».
Pour autant, concède-t-il, «c’est une très bonne chose qu’il y ait de la passion autour du Fespam, même si ce ne sont pas forcément des choses positives qui sont dites, mais le fait que ça suscite la passion, c’est déjà très bien ».

Revenant sur le décès des festivaliers lors de la bousculade qui a entraîné l’arrêt de la précédente édition, Jean-Claude Gakosso a exprimé ses regrets en ces termes : « je porte de manière indirecte une responsabilité puisque c’est moi qui organisais cet événement, même si la bousculade a eu lieu à l’extérieur du stade qui était à ce moment-là une arène culturelle », a d’emblée reconnu le Ministre. Et de rappeler que : « nous avons assumé notre pleine et entière responsabilité en tant que pouvoirs publics. Cela a forcément changé mon regard sur l’organisation de ce genre d’événements. C’était totalement imprévisible, et j’ai compris que cela n’arrive pas qu’aux autres. On voit à la télévision des calamités partout dans le monde, mais cette fois cela nous est arrivé », a-t-il ajouté.

S’agissant des artistes congolais, J-C. Gakosso constate qu’«au Congo, les artistes voient en priorité le cachet. Si un artiste compte sur le Fespam pour vivre, c’est peine. Déjà que le Fespam ne s’organise qu’une fois tous les deux ans. Donc pendant deux ans, cet artiste ne va pas manger ? », s’est-il interrogé. Avant d’encourager ces derniers à « entrer dans les règles du showbiz, c’est-à-dire faire une musique qui rapporte de l’argent contrairement aux musiciens des années 1950 qui chantaient pour le bon plaisir de la cité. Il y a une nouvelle génération qui a compris que c’est bien de chanter, mais c’est mieux de gagner de l’argent en chantant. Les artistes doivent fonctionner avec les businessmen qui organisent les spectacles ».

Enfin, le Ministre a précisé son rôle au sein de cette institution, rappelant aux uns et aux autres que « Je suis l’homme-orchestre du Fespam. Tout s’organise autour de ma personne. Après tout, c’est à moi que le président de la République a confié la responsabilité d’organiser cet événement. C’est moi qui ai choisi les personnes pour m’aider dans l’exécution de cette tâche ». Sans commentaire.

Patricia Engali
redaction@starducongo.com

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Des hommes en uniforme commettent un braquage à Mfilou

$
0
0
Des braqueurs ont visité, dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 juillet 2013, un domicile situé dans le secteur du Lycée de la Réconciliation, au croisement de l’avenue Bouké-Bouké avec la rue Kitombo, à Mfilou, le septième arrondissement de Brazzaville. Il s’agit d’hommes en uniformes reconnus par l’un des ouvriers du chantier, quand il est sorti de la baraque en tôles qui leur sert de logement provisoire. Mais, il s’est retrouvé, nez-à-nez, avec un braqueur qui lui a pointé son arme et intimé l’ordre de ne pas bouger. Alors qu’il est demeuré interdit, les malfrats ont opéré tranquillement. Mais ils n’ont trouvé que des tuyaux en plastique devant servir à l’installation du circuit électrique de la maison en construction dans ladite parcelle, qu’ils ont emportés. Ils ont, ensuite, disparu dans la nature.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Le deal des douaniers et policiers de Maya Maya

$
0
0
Le deal des douaniers et policiers de Maya Maya
La mauvaise conscience ajoutée au mauvais traitement dont souffrent les fonctionnaires d’Etat sont parfois à la base d’un comportement indigne de leur part. L’exemple vient d’en haut disent certains d’entre eux qui ont transformé l’aéroport international de Maya Maya en un véritable centre d’affaires pour rallonger leurs fins du mois.

Les douaniers et policiers en fonction à l’aéroport international de Maya Maya ont développé un système de corruption particulier dont les victimes sont les usagers. Un aéroport est la vitrine d’un Etat et de ce fait donne à l’étranger dès son arrivée une idée du pays qu’il visite. Au départ du pays, on est déjà imprégné des us et coutumes du pays qu’on quitte, mais à l’arrivée on ignore le plus souvent tout du pays qu’on visite. Et le comportement du personnel opérant dans un aéroport peut vous aider dans cette approche.

Vétuste si peu, l’aéroport international de Maya Maya a bénéficié grâce à la municipalisation accélérée d’une réhabilitation et modernisation qui malgré sa non délocalisation lui donne quelques étoiles. Ce changement de statut devrait être accompagné d’un changement drastique des mentalités de ses servants par rapport à ce qu’on a vécu dans l’ancien terminal datant de l’époque coloniale.

A l’inauguration du premier terminal par le chef de l’Etat lors, des festivités marquant le cinquantenaire de l’indépendance du Congo, les autorités aéroportuaires annonçaient une série de mesures visant à rendre plus pratique cet établissement. Selon les propos entendus, les voyageurs empruntant cette structure devaient bénéficier de facilités parmi lesquelles la disponibilité et le professionnalisme du personnel.

Contrairement à l’ancien terminal qui était devenu un lieu de business, le nouveau Maya Maya qui ambitionne de devenir un hub important dans la sous région devrait être un modèle de bonne gérance avec un personnel compétent et exemplaire. Car tant de millions investis devraient justement contribuer au changement de mentalités.

Dans notre chemin vers l’émergence ne devrions-nous pas montrer une autre image de celle négative qui nous catalogue ?…La réalité nous montre autre chose dans cet aéroport.

Si les douaniers n’hésitent pas à demander du Jus aux voyageurs, les policiers eux profitent de la naïveté de certains voyageurs pour leur reprocher une infraction capable de se résoudre aisément en quelques billets de banque. Une femme se rendant au Maroc s’est vue sommée par un policier de lui payer la somme de 30 000 frs CFA, pour la raison fallacieuse qu’elle ne disposait pas d’une carte d’invitation marocaine. Comme si cela relevait de sa compétence. Cette même carte d’invitation est délivrée au Maroc moyennant 200FCFA. Alerté par un autre voyageur, le chef de poste rappela son collègue à l’ordre. Car la victime de cette escroquerie n’était entre autre que l’épouse d’un dignitaire du régime.

Ghislain Malekat Mankou

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Plus d’espace(S) pour la culture

$
0
0
Plus d’espace(S) pour la culture
Jussie Nsana a créé en 2007 à Brazzaville l’espace artistique et ludique « Nsan’Art »; maintenant qu’elle vit à Pointe-Noire, elle aimerait bien démarrer le deuxième « Espace Nsan’Art ». Tous les deux centres partageront des expériences, dans un projet qui a pour but de promouvoir les arts plastiques au Congo.

Jussie Nsana est une de ces personnes qui croient en ce qu’elles font. Elle s’est fixé un objectif. Cette artiste de 28 ans, née à Brazzaville et arborant un air timide, ne veut pas accepter que les arts plastiques soient relégués au second rang. Jussie a le besoin de partager sa passion pour la peinture ; elle veut que les autres expérimentent l’émotion qui suppose le mélange des couleurs, la technique de l’oléo ou les minutes passées en groupe en inventant une nouvelle idée. Pour atteindre cet objectif elle a créé l’association culturelle à Brazzaville « Espace Nsan’Art » où, à travers différents ateliers elle enseigne comment aimer et travailler la peinture. Si tout va bien, le deuxième « Espace Nsan’Art », ouvrira ses portes à Pointe-Noire en octobre 2013.
Les enfants sont le meilleur public de Jussie; en fait ce sont eux qui la comprennent mieux, et c’est en eux que l’artiste peintre et maîtresse met tous ses espoirs. Parce qu’ils seront le futur des arts plastiques; dans leurs mains justes, cet art ne sera plus une discipline en suspens comme dans la majorité des écoles congolaises. Dans ce cas, ce n’est pas que de l’amour pour l’art, mais de l’amour pour le Congo.
Le projet de Jussie commence à se forger quand elle n’est qu’une petite fille. Son nom était motif de moquerie à l’école, parce que dans la langue munukutuba, le mot nsana fait référence à orphelin ou un frottoir dont on se sert pour nettoyer les corps sous la douche. Ainsi, paradoxalement ce mot qui l’a tellement torturée, est devenu l’insigne de son travail et un cliché qui marquera la vie des enfants, dans le bon sens.
Jussie est née et a grandi dans le quartier brazzavillois de Mfilou ; là-bas elle a cultivé sa passion pour la peinture à l’air libre, parce que la parcelle où elle habitait n’était pas fermée. À chaque fois que l’artiste peignait, beaucoup d’enfants se rapprochaient, curieux et intéressés par « la découverte de nouveaux matériaux ou simplement par la contemplation d’un tableau qui les étonne», affirme Nsana. Il n’y a pas beaucoup d’espaces culturels dédiés aux enfants au Congo, mais cela ne veut pas dire, évidemment, que l’esprit artistique n’existe pas.
Devant ce constat, Jussie s’est mise au travail. Avec seuls soutiens la famille et les amis devenus une banque personnalisée d’où elle peut tirer (peintures, feuilles, parcelle vide, moyen de transport pour des sorties culturelles…). «Tout le monde appréciait l’idée, mais presque personne n’était disposé à aider; j’ai tout de même décidé que l’espace devrait continuer, même avec un crayon et une feuille. Ça c’était une expérience et c’est comme ça qu’il faut construire un projet, plus tard viendrait le moment de convaincre les gens ». Jussie a aussi rajouté de l’argent grâce à ses expositions ou celles de ses collaborateurs. C’est ainsi qu’est né « l’Espace Nsan’art », en été 2007 malgré la réaction négative de beaucoup de parents, qui voyaient en l’association une perte de temps pour leurs enfants.
« L’espace Nsan’art » n’a pas mis trop de temps pour gagner une bonne réputation. Quelques semaines après le début des ateliers, l’Espace obtient différents prix lors d’un concours, ce que les parents apprécièrent et ils commencèrent à faire confiance à l’association. Ainsi les mois d’août et septembre finissent avec plus de 30 enfants entre 6 et 18 ans qui viennent trois fois par semaine au centre pour lire, écouter de la musique, jouer, peindre, réaliser des sorties artistiques et surtout développer la pensée créative. Petit à petit, le rêve devient réalité.
En parlant de son projet, Jussie n’est plus la même personne qui une heure auparavant me saluait d’une petite voix. Quand elle défend ce qu’elle croit, elle devient plus grande; elle réalise qu’elle est un point de référence pour beaucoup de personnes qui désirent découvrir un univers magique, une nouvelle façon de s’exprimer. « C’est très dur, parfois je suis épuisée, mais je ne peux pas m’arrêter. J’arrêterais le jour où j’aurai les deux centres prêts, avec des enfants capables de me remplacer et de perpétuer l’œuvre ».

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Ava Diez reprend «Jeannot»

$
0
0
Ava Diez reprend «Jeannot»
Nouveau single pour la chanteuse congolaise Ava Diez (Miss «Epic Nation») qui réside désormais en Côte d’Ivoire. Elle vous propose une belle adaptation du célèbre titre «Jeannot» de Tchico Tchicaya sur un tempo plus rythmé et plein de sensualité.

http://www.starducongo.com/video/

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Afro Basket 2013 d’Abidjan : Le Congo non sans ambition

$
0
0
L’équipe nationale de basket-ball masculin du Congo participera, du 20 au 31 août 2013, à Abidjan (Côte d’Ivoire), au Championnat d’Afrique des nations, appelé Afro-basket-ball. On n’est pas sans ambition, du côté de la Fédération congolaise de basket-ball, qui s’est fixé comme objectif de figurer dans les huit premières équipes.

Les Diables-Rouges bénéficient, pour cela, d’une attention particulière, et des autorités sportives nationales et de la Fécoket (Fédération congolaise de basket-ball). Mardi 9 juin, ils ont été présentés au ministre des sports et de l’éducation physique, Léon Alfred Opimbat. Qui les a rassurés sur les dispositions prises par les pouvoirs publics, allant de leur préparation à leur participation: «Les pouvoirs publics se sont engagés à corriger un certain nombre de faiblesses décriées. Nous avons pris toutes les dispositions pour qu’il n’y ait pas d’excuses. La balle est dans le camp des joueurs qui devraient donner le meilleur d’eux-mêmes pour bénéficier des mêmes avantages que les footballeurs».
Dans la foulée, la Fécoket a animé une conférence de presse, au cours de laquelle a été, notamment, dévoilé le programme de préparation des Diables-Rouges. Une préparation commencée depuis un peu plus d’un mois et qui se poursuit au pas de charge.
Un stage de 10 jours a commencé, mercredi 10 juillet, à Oyo, dans le tout nouveau gymnase de cette localité. Le 19 juillet, l’équipe nationale s’envolera pour le Cameroun où elle disputera des matchs tests, jusqu’au 4 août, date du décollage pour Dakar, au Sénégal. Afin de participer au tournoi international qu’organise, du 8 au 10 août, la Fédération sénégalaise. Y prendront part: outre le Congo, le Sénégal, naturellement, mais aussi l’Angola et un autre pays africain. Tous ces pays seront présents à Abidjan. Cerise sur le gâteau, la Fédération sénégalaise de basket-ball a invité, également, deux équipes des universités américaines.
Les Diables-Rouges débarqueront à Abidjan, le 17 août, où ils auront trois jours de préparation, avant d’entrer dans le bain de la compétition, le 20 août, avec pour premier adversaire le Cameroun. Avant de s’attaquer au Nigeria et au Mali, dans leur groupe.
Pour atteindre son objectif, la Fécoket a, d’abord, fait un remue-ménage au sein du staff technique. Les entraîneurs locaux ayant fait qualifier l’équipe ont été écartés au profit de quatre étrangers, les Français Dominique Guerray et Stephan Paty, et les Camerounais Tsoungui et Jean-Claude Ntep. Elle a, ensuite, constitué un effectif fait d’amalgame de professionnels, dont sept sont déjà au Congo, et de cinq joueurs locaux seulement.
Dans tout ce remue-ménage, deux questions se posent: les Diables-Rouges vont-ils profiter d’un choc psychologique bénéfique, à l’approche de l’Afro-basket ou vont-ils en payer le tribut?
Quoiqu’il en soit, les férus congolais de la balle au panier souhaitent que les Diables-Rouges soient à la hauteur des ambitions affichées par la Fécoket. Pour faire oublier le fiasco de Tripoli 2011.

G.M.

Liste des professionnels
France: Key Missengué, Christ Morlendé (Blois), Jéovan Okemba (P.Levallois), Jean Félix Moupegnou (Quimper UJAP) et Rudy Okemba (Le Portel)
Espagne: Karl Niama Moukoko (Asafa Badajoz)
R.D.Congo: Meryl Boukinda (T.P Mazembé)
Maroc: Valence Assouan.
Attendus: Boungou Colo (France/Limoges) et Junior Etou (USA)

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Au Congo, pensées pour Mandela au festival panafricain de musique

$
0
0
Au Congo, pensées pour Mandela au festival panafricain de musique
BRAZZAVILLE (Congo), 14 juil 2013 (AFP) - L'Afrique du Sud et le héros de la lutte contre l'apartheid Nelson Mandela ont été mis "à l'honneur" du Festival panafricain de musique (Fespam) qui a débuté samedi soir à Brazzaville et s'achèvera le 20 juillet.

Quelque 3.000 à 4.000 personnes assistaient au lancement du Fespam, sous forte surveillance policière, a constaté l'AFP. Au stade Félix Eboué du quartier Poto-Poto, reconnu comme le "berceau de la musique congolaise", cette 9e édition s'est ouverte en présence de la directrice générale de l'Unesco, Irina Bokova et du président congolais Denis Sassou Nguesso.

"Cette année c'est l'Afrique du Sud qui est à l'honneur", a dit le ministre congolais de la Culture, Jean Claude Gakosso en annonçant que la chanteuse sud-africaine Yvonne Chaka Chaka était la "marraine" du Fespam.

Le ministre a appelé le public à avoir "une pensée pieuse pour accompagner dans son ultime combat un homme qui arrive au crépuscule de sa vie", Nelson Mandela, qui aura 95 ans le 18 juillet. L'ancien président sud-africain, qui entame sa sixième semaine d'hospitalisation à Pretoria dans un état critique, est "un homme dont l'existence résume les règles de liberté, c'est l'étoile polaire de la lutte de son peuple vers la liberté", a lancé le ministre.

Le festival accueille cette année des artistes de 15 pays d'Afrique et de la diaspora. Le Congo l'organise tous les deux ans en collaboration avec l'Unesco, l'Union africaine (UA), le Conseil international de la musique (CIM) et le Centre international des civilisations bantoues (Ciciba).

Peu avant l'ouverture, une minute de silence a été observée en mémoire de sept Congolais tués dans une bousculade, dans le même stade Félix Eboué, à l'ouverture de l'édition 2011 qui avait été annulée pour cette raison.

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars

Fespam 2013/Roga-Roga : Le Président et les membres du gouvernement échappent à un attentat à la pudeur

$
0
0
Fespam 2013/Roga-Roga : Le Président et les membres du gouvernement échappent à un attentat à la pudeur
Brazzaville, (Starducongo.com ) -Roga-Roga, le patron du célèbre groupe congolais Extra-Musica, a été « obscène» lors de sa prestation au Stade Eboué, en ouverture du Festival panafricain de musique (Fespam), estime notre confrère Congopage.

« Ayant quitté le spectacle avant la fin des représentations, le Président et les membres du gouvernement ont échappé à un attentat à la pudeur », constate-t-il dans un article dont nous reproduisons ci-dessous un extrait.

Patricia Engali.

«Fespam 2013 : Roga-Roga obscène sur scène
(…) Obéissant à je ne sais quelle règle, Roga Roga et son Extra-Musica sont persuadés que pour monter sur scène il faut être obscène quand on veut captiver le public.

Douteux calembour

Bon bougre, l’artiste a néanmoins a pris soin de prévenir, avant de présenter un titre de son prochain disque : il ne fallait rien " déformer". De peur de se retrouver (lui le compositeur) au trou. Puis le guitariste/chanteur d’embrayer sur le texte d’une chanson au jeu de mot sans équivoque. Jouant sur la nasale MB, notre griot national dont la langue d’usage est le lingala chante au micro ceci : « Soki olingui mwana mwasi, éloko nini oko sala po à linga yo ? » - Réponse ; « Simba yé. » Traduction approximative : « Quand tu veux qu’une nana ne te quitte pas, que faire ? Eh bien ne lâche pas sa main. »
Malin, Roga-Roga opère subtilement un glissement de sens dès le deuxième refrain. « Simba yé » (prendre par la main) devient (« siba yé ») - En clair, « Nique-là ».
L’œil pétillant, le chef d’Extra-Musica fait chanter le public en mettant la musique en fond sonore. Tout le Stade Eboué clame "« siba yé »" (baise-là). Tout Poto-Poto entend vibrer la clameur impudique. Et cela à plusieurs reprises (…) »

www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars
Viewing all 6356 articles
Browse latest View live